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vanou97
44 abonnés
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2,0
Publiée le 17 novembre 2012
Entre ses images "lumineuses", sa modestie "France d'en-bas", ses personnages "pittoresques", et la bassesse de la réalisation, on se lasse très vite du récit qui semblait couler comme de l'eau de source...
J'ai eu l'impression d'être devant un téléfilm de France 3. Je sais pas si on peux considérer ça comme du cinéma. Heureusement que Omar Sharif sort un peu du lot.
Plat , sans consistance , le film joue sur une histoire de viellesse et d'une jeune ex petite délinquante repentie , juste bon pour faire un téléfilm de qualité médiocre , on essaiede faire jouer les sentiments mais rien d'accrocheur , rien à voir dans le meme genre " N'oublie jamais " qui es lui un superbe film
Film inconsistant, juste bien joué par O. Sharif. Emilie Dequenne en fait trop dans son rôle de délinquante au grand coeur débordant d' amour chaste pour un vieux monsieur. Des clichés du début à la fin de ce téléfilm (on ne peut pas appeler cette production un film); des bons sentiments, rien de plus. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! Film consensuel, bon à émouvoir pour toute la famille, du nouveau né à l' arrière grand père.
Rien à jeter dans ce drame qui commence comme une comédie dramatique légère aux parfums du sud et que tout enchante. Un rare film où l'histoire n'est pas basée sur le passé (pourtant important) mais l'avenir ! Un contre-pied saisissant traité avec délicatesse et flanquée de situations chocs, éprouvantes. Emilie D. et Omar S. d'une justesse implacable dans leurs rôles respectif, d'une retenue attendrissante, passant rire et émotion sur un thème dont chacun, demain, peut en être la victime ou l'accompagnant. Un film sucré / salé, rire et larmes et réflexions. A considérer comme une perfection dans le traitement. Un regret que cela passe si vite. Sans conteste 5/5 !!!
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3,0
Publiée le 25 octobre 2019
Savoir peindre, ce n'est pas savoir recopier ou dessiner! C'est un peu plus que ça! C'est ce que un ancien cycliste professionnel - qui courait du temps de Louison Bobet - va apprendre à une jeune femme tout juste sortie de prison! L'un est un peintre en fin de course qui souffre de la Maladie d'Alzheimer et l'autre va se dècouvrir une nouvelle vie! Omar Sharif et Emilie Dequenne incarnent ses deux personnages que tout oppose et qui vont finalement apprendre à se connaitre! Imaginez ce qu'èvoque un visage ou une lumière, sentir l'expression que l'on recherche, domptez les couleurs, apprendre à structurer, apprendre les nuances, mèlanger les matières, faire vivre le tableau...les amateurs de peinture se retrouveront dans certains passages du film! Même si "J'ai oubliè de te dire" ressemble à un bon tèlèfilm du samedi soir sur France 3, l'ensemble se laisse voir sans dèplaisir! La participation amicale de Cali, les clins d'oeil sympathiques sur le Tour de France et les paysages ensoleillès des Pyrènèes-Orientales (avec un petit dètour dans la magnifique ville de Collioure) sont ègalement au programme! Touchant...
Un sujet douloureux traité sans apitoiement. Des acteurs formidables qui laissent passer une forte émotion. Pour un premier film, c'est une grande réussite.
Un très beau film, simple et bien servie par Emilie Dequenne et Omar Sharif, toujours très charismatique. Les paysages sont magnifiques et la narration d'Omar Sharif est parfaite. J'ai beaucoup aimé les réflexions sur la vie et la bande originale, très agréable.
Malgré un look de téléfilm pendant sa première moitié, "J'ai oublié de te dire" devient un joli spectacle qui arrive à nous toucher sur des sujets universels : vivre, vieillir puis mourir. Omar Sharif n'est pas toujours convaincant en peintre passeur, et Emilie Dequenne joue quelquefois un peu à côté. Mais si le scénario comporte quelques grosses ficelles, il fini par tirer son épingle du jeu, moins sirupeux et plus proche de ses personnages, pour devenir finalement plutôt bon. Un film pas essentiel, mais en tout cas correctement porté.
Une belle histoire sur les rapports humains a la fin de la vie. Un onavr sharrif etonant dams ce role de vieux peintre malade. Mais au final, un film un peu lent ou l'émotion ne prend pas.
Dégénérescence du cerveau…. euthanasie… des sujets plutôt délicats pour un premier long métrage Difficile d’y rester insensible puisqu’un français sur 2 est, directement ou indirectement, touché par ces maladies. Félicitations à Laurent Vinas-Raymond pour son travail malgré quelques coquilles au niveau de la lumière notamment. Une pensée toute particulière pour Lluis Llach qui nous a offert la magnifique "L'Estaca" reprise à travers le monde pour symboliser la liberté. -merci-
Je voulais absolument le voir puisque le film a été fait dans mon département ; mais je m'attendais pas à aimer autant ! D'habitude j'adhère peu aux récentes productions françaises du 7ème art, mais là ça m'a touché. L'histoire est simple et efficace, le casting est convaincant (petit coup de cœur pour Emilie Dequenne) et la réalisation rend le tout encore plus poignant ! "J'ai oublié de te dire" est un petit bijou à découvrir malgré quelques longueurs, et quelques clichés (on devine plusieurs dénouements)...
Pour ceux qui osent critiquer ce chef-d'oeuvre un seul mot à dire : désapointement. Visiblement la plupart d'entre vous n'a jamais vécu une histoire comme celle là. Cette descente aux enfers est une réalité pour certains d'entre nous bien malheureusement. Omar Sharif joue merveilleusement bien, j'ai reconnu à travers lui une personne qui m'était chère et ça ce n'est pas évident. L'histoire de base semble peut etre improbable mais pourquoi pas après tout...