Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Revenu du Dogme (...), le jeune Danois privilégie une image léchée qui renforce la dimension fantastique de ce conte "boule de neige" où les deux amoureux dansent un ballet funèbre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
par Annie Coppermann
Le réalisateur de " Festen " change d'univers. Mais l'amour romantique sur fond de thriller futuriste, avec effets spéciaux et stars américaines, lui réussit moins que le réalisme d'un drame familial...On peut toutefois lui reconnaître une incontestable originalité, quelques beaux moments, et le très grand charme du couple vedette.
Ciné Live
par Emmanuel Cirode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Festen avait été conçu en respectant minutieusement les principes du Dogme : caméra portée, tournage en extérieur, là ou se situe l'action. It is all about love a été tourné d'une façon plus classique avec des caméras sophistiquées, en décor et en studio. Mais on a du mal à croire aux personnages. Restent certaines séquences d'une indéniable poésie.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Avec deux comédiens d'emblée intéressants, cette étrange affaire d'amour brisé, de trafic de vedettes du patinage artistique, de clonage sauvage sur un arrière-plan de mégapole cynique suscite un appétit que le film n'aura de cesse de décevoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Après avoir soulé tout le monde avec le Dogme attrape-nigaud et son application à succès Festen, Thomas Vinterberg a, semble-t-il, traversé une grave crise de doute. (...) Le verbiage inepte de Sean Penn déclamant des sornettes sur le monde, l'amour, le chaos, la mort, depuis un Boeing survolant des massifs enneigés, personnage dont Vinterberg se dit le plus proche, en dit long sur la surchauffe neuronale (de) cet opus.
Première
par Nicolas Schaller
A force de se sentir plus malin que ses protagonistes, (...) de ne jamais décider au sein de quel genre s'inscrit son film, Vinterberg désincarne tout son film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Cécile Mury
Effets spéciaux, images léchées, stars branchées, il utilise ici la grosse cavalerie hollywoodienne pour un film d'anticipation " psychologique ". Hélas, le résultat déçoit, c'est peu de le dire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
Lumières travaillées, tournage en studio et musique mystique, le film est on ne peut plus stylisé. Le résultat n'est hélas pas à la hauteur de sa prise de risque et l'on se désole de cette manipulation improbable autour d'une star du patinage et de son ex-mari. Si le climat délétère intrigue au départ, on est assommé par tant de langueur et un scénario aussi abscons. L'élégance semble alors prétentieuse, voire grotesque avec un final, sous la neige, d'anthologie.
TéléCinéObs
Revenu du Dogme (...), le jeune Danois privilégie une image léchée qui renforce la dimension fantastique de ce conte "boule de neige" où les deux amoureux dansent un ballet funèbre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Le réalisateur de " Festen " change d'univers. Mais l'amour romantique sur fond de thriller futuriste, avec effets spéciaux et stars américaines, lui réussit moins que le réalisme d'un drame familial...On peut toutefois lui reconnaître une incontestable originalité, quelques beaux moments, et le très grand charme du couple vedette.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Festen avait été conçu en respectant minutieusement les principes du Dogme : caméra portée, tournage en extérieur, là ou se situe l'action. It is all about love a été tourné d'une façon plus classique avec des caméras sophistiquées, en décor et en studio. Mais on a du mal à croire aux personnages. Restent certaines séquences d'une indéniable poésie.
Le Monde
Avec deux comédiens d'emblée intéressants, cette étrange affaire d'amour brisé, de trafic de vedettes du patinage artistique, de clonage sauvage sur un arrière-plan de mégapole cynique suscite un appétit que le film n'aura de cesse de décevoir.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Après avoir soulé tout le monde avec le Dogme attrape-nigaud et son application à succès Festen, Thomas Vinterberg a, semble-t-il, traversé une grave crise de doute. (...) Le verbiage inepte de Sean Penn déclamant des sornettes sur le monde, l'amour, le chaos, la mort, depuis un Boeing survolant des massifs enneigés, personnage dont Vinterberg se dit le plus proche, en dit long sur la surchauffe neuronale (de) cet opus.
Première
A force de se sentir plus malin que ses protagonistes, (...) de ne jamais décider au sein de quel genre s'inscrit son film, Vinterberg désincarne tout son film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Effets spéciaux, images léchées, stars branchées, il utilise ici la grosse cavalerie hollywoodienne pour un film d'anticipation " psychologique ". Hélas, le résultat déçoit, c'est peu de le dire.
Zurban
Lumières travaillées, tournage en studio et musique mystique, le film est on ne peut plus stylisé. Le résultat n'est hélas pas à la hauteur de sa prise de risque et l'on se désole de cette manipulation improbable autour d'une star du patinage et de son ex-mari. Si le climat délétère intrigue au départ, on est assommé par tant de langueur et un scénario aussi abscons. L'élégance semble alors prétentieuse, voire grotesque avec un final, sous la neige, d'anthologie.