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Breeder est un navet intégral, rien à sauver, rien. En dépit de son affiche ridicule de balourdise (un clin d'oeil des plus subtils à un autre chef d'oeuvre...) j'étais curieux de voir le film, car si je me tiens à l'écart des pelloches sordides/dégueulasses, en revanche je suis assez client des survival et le film est vendu notamment comme tel, alors ok, j'étais prêt à encaisser une expérience un peu difficile comme celle proposée dans Martyrs qui s'il est très sombre n'en demeure pas moins un bon film (mais que je ne reverrai pas). J'étais prévenu par les critiques étrangères (je n'en ai pas encore trouvé en français), Breeder serait donc un film sombre, difficile car d'une rare violence blablabla.
Bon alors en fait déjà, non, là-dessus vous pouvez être tranquille, pas de risque de traumatisme à l'horizon, c'est très soft.
En fait le réalisateur semble avoir, comme un écolier studieux, assimilé les codes du genre de film où l'on séquestre, torture et autres joyeusetés, ce qui déjà en soi dénote une démarche particulière, voire putassière, mais...ok. Le problème est que l'histoire n'a rien de de bien original, l'intrigue ne tient pas debout, les acteurs sont mauvais (ça je ne le dis pas souvent mais là, vraiment, les gars, vous êtes mauvais), les scènes d'action... ben c'est les acteurs quoi, y'a pas de cascadeurs, donc on voit que ça fait semblant, le doublage est une purge, la réalisation d'une grande platitude, le récit et le rythme qui en découle sont complètement artificiels (évidemment, puisque ça ne raconte rien...).
Et... et évidemment tout cela contraste avec les prétentions du cinéaste et de son film.
Et ce contraste voyez-vous, ce contraste entre nullité et prétention, si elles sont portées par assez de moyen pour que le film fasse assez pro, ce contraste c'est celui de l'authentique navet. Vous voyez l'équation? Prétention+médiocrité sur assez de moyen: le navet. L'authentique navet.
Un genre finalement assez rarement proposé pour qu'on s'y intéresse, pour en rire.
Mais cela dit, je ne vous conseille pas de regarder Breeder, qui est surtout un film médiocre.
Bon alors en fait déjà, non, là-dessus vous pouvez être tranquille, pas de risque de traumatisme à l'horizon, c'est très soft.
En fait le réalisateur semble avoir, comme un écolier studieux, assimilé les codes du genre de film où l'on séquestre, torture et autres joyeusetés, ce qui déjà en soi dénote une démarche particulière, voire putassière, mais...ok. Le problème est que l'histoire n'a rien de de bien original, l'intrigue ne tient pas debout, les acteurs sont mauvais (ça je ne le dis pas souvent mais là, vraiment, les gars, vous êtes mauvais), les scènes d'action... ben c'est les acteurs quoi, y'a pas de cascadeurs, donc on voit que ça fait semblant, le doublage est une purge, la réalisation d'une grande platitude, le récit et le rythme qui en découle sont complètement artificiels (évidemment, puisque ça ne raconte rien...).
Et... et évidemment tout cela contraste avec les prétentions du cinéaste et de son film.
Et ce contraste voyez-vous, ce contraste entre nullité et prétention, si elles sont portées par assez de moyen pour que le film fasse assez pro, ce contraste c'est celui de l'authentique navet. Vous voyez l'équation? Prétention+médiocrité sur assez de moyen: le navet. L'authentique navet.
Un genre finalement assez rarement proposé pour qu'on s'y intéresse, pour en rire.
Mais cela dit, je ne vous conseille pas de regarder Breeder, qui est surtout un film médiocre.
Breeder est l'un de ces films qui ne laisse pas de satisfaction particulière, son scénario maintes fois exploité et ses acteurs sans réels charisme ont bien du mal à convaincre. Associés, deux "chercheurs" sont sur le point d'inventer un procédé révolutionnaire qui empêcherait le vieillissement. Un des deux sera plus gourmand et impatient que l'autre...Des longueurs et incohérences gâchent un peu l'histoire, parfois ça traine...sans compter que les trois acteurs principaux laissent froid et sans empathie. L'univers glauque voulu semble réussi, tout comme ce qui se passe en sous sols, reste des clichés agaçants et une histoire à l'allure décousue et parfois incohérente (un exemple ?
spoiler:
Ben le gars arrive dans un 4X4 quasi neuf, une fille tente de repartir avec mais il ne veut plus démarrer...ah ouiiiiii, l’antidémarrage électronique, ben voyons..)
Film sans grand intérêt qui enfonce des portes ouvertes.
Au vu du synopsis c'était devinable mais on a de la violence gratuite. Le scénario aurait mérité d'être plus approfondi et plus présent car ici on se perd un peu
Au vu du synopsis c'était devinable mais on a de la violence gratuite. Le scénario aurait mérité d'être plus approfondi et plus présent car ici on se perd un peu
Nous avons un réalisateur des acteurs et un scénariste pour créer un grand films d'horreur mais pas cette fois c'est trop superficiel. Il a un mauvais jeu des acteurs et une mécanique de l'intrigue trop paresseuse. Les monologues étaient horribles. Et pourquoi les femmes sont toujours aussi stupides dans ce genre de films. J'espérais vraiment un grand film d'horreur du Danemark à un moment donné mais ce n'est certainement pas l'un d'eux. Il y a un bon effort mais non ca ne marche pas...
C’est un très bon film, le début était lent mais on se laisse prendre par l’histoire. Quelques incohérences qui sont comblés par un scénario travaillé à la fin. Vive les femmes, je valide et je confirme profondément l’organe féminin. Breeder faut pas avoir peur!!!
Quelques scènes de tension et beaucoup d'autres assez mauvaises. Du vu et revu, prestations non satisfaisantes. Scénario linéaire. 2/5 !!!
Benito G
Assez surpris pour une production qui sous une image soignée côté ambiance / atmosphère. Et qui n est pas sans rappeler sur les grandes lignes quelques films plus gore mais tout aussi malaisant pour les femmes je suppose (Hostel par ex etc..). Un thriller lorgnant sur les tornmovies que l on peut connaître. Ce film pourra paraître un peu longuet mais nous tient un peu plus en haleine au fur et à mesure que l on avance (même si le coeur coeur de l action est un peu loin dans le film) dans l histoire. Mais c est un peu comme si on nous préparait à la dernière partie ou pas mal d élément s s avèrent prévisible. la mise en place et le déroulement de celui-ci le sont un peu moins. Entraînant un petit mystère puisque l on comprend certaines choses, mais dans l attente de voir comment ils ont mis en place cela. Et dans son ensemble il reste réservé à un public averti. Quelques petites questions sont en suspend vis à vis des recherches, même si l'on a compris que pour elle ; la vieillesse est une maladie. Bref, assez déroutant car je n'avais pas visionné la BA (et je trouve que depuis que je me limite au synopsis, mes attentes étant moins élevée. J aurais tendance a légèrement mieux apprécier les films). Une impression d une nouvelle forme de tornmovie ou l on ne mise plus sur le gore qui a force d être trop souvent "tellement gros sur pas mal de scènes". Moins de scènes gore et ici, un ensemble centré a l écran sur les femmes. N en n ait pas pour autant moins choquant. J avoue avoir été bien surpris, là où je pensais cela déjà-vu (ou comme un mix de plusieurs idées ne tenant pas la route et qui l ennuierait vite, mais ce ne fut pas le cas). Le parallèle des femmes avec le bétail...(sans spoiler), c est montré plus intriguant et prenant que je ne le pensais. A méditer
Vinz1
Une scientifique ayant besoin de jeunes femmes pour fabriquer un traitement anti vieillissement qu’elle revend excessivement cher à de vieux riches, en fait enlever certaines par ses sbires qu’elle nomme « les animaux ». La femme trop curieuse d’un collègue de la doctoresse, subira le sort des victimes et sera donc enfermée dans une salle souterraine d’un laboratoire. Ce film danois lorgne étrangement sur plusieurs genres à la fois (thriller, torture porn, survival) sans toutefois se démarquer d’illustres métrages l’ayant précédé. Certes, c’est gore et sadique pour ceux aimant ça, mais les réactions étranges de certains protagonistes voire le peu de réaction de certaines laisseront dubitatif car elles plomberont l’ensemble qu’on pourra trouver mou du genou malgré quelques scènes assez trash. Et on attendra inexorablement la fin dont l’ultime plan inattendu pour certains, laissera une note d’espoir, mais c’est bien trop peu pour satisfaire pleinement tout cinéphile averti !
Au Danemark de jeunes femmes sont enfermées dans des entrepôts afin d'alimenter les recherches d'une chercheuse en quête de la jeunesse éternelle. Alors que notre époque compte désormais son lot de transhumanistes persuadés qu'ils arriveront grâce à la science à repousser voir annuler la mort, ce genre de thème et ses dérives peut être intéressant à traiter. Malheureusement ce film enfonce des portes déjà ouvertes et n'apporte rien au débat si ce n'est de la violence gratuite, de la platitude et de l'ennui.
Une ambiance qui vire au thriller puis l intrigue vire au huit clos.... qui tourne un peu en rond. Néanmoins le suspense est gardé même si on se doute de l issue. Pas si mal.
Les personnages sont plutôt bon et malgré qu'il ne soit pas non plus subtiles ils sont l'une des plus grandes forces du film. Signe Egholm Olsen m'a convaincu idem pour Anders Heinrichsen. Sara Hjort Ditlevsen a un jeu aux petit oignons. Nous avons à faire à un petit casting avec son efficacité. Scénario agréable mais qui va, malheureusement, dans le déjà vu. Il y a de l'essai, une petit vibe original mais qui retombe dans son "seulement bon". Les effets spéciaux sont bien fait sans plus. L'histoire n'est pas anodine et pourtant elle ne va pas du tout, du tout dans la nouveauté ! L'histoire est tout bonnement normal et sans éclat. Et puis petit à petit l'histoire perd le spectateur. Au début l'histoire était bonne, puis plus le film avançait plus ça devenait mauvais et illogique. Gore mauvais est détestable. Il n'y a pas de côté anxiogène, c'est raté, et débile. Et puis l'ambiance qui foire vraiment le film n'aide pas. Et en plus la faim n'est pas originale, elle est d'un simple !
Si l’on s’attend à un film de genre bien confortable, ou pire, à un bon thriller de type hollywoodien, inutile de dire qu’on tombe assez mal. Par contre si on aime être surpris, voire un peu secoué, on tient là une perle rare. Le danois Jens Dahl ne cherche pas à ménager son spectateur, bien au contraire. Il fait plutôt dans l’anticipation froide, réaliste et aseptisée. En acceptant une mise en situation un peu longue au début, on risque bien d’embrayer dans une descente aux enfers assez inexorable, et proprement fascinante. On finira vite par comprendre qu’ici, les ressources humaines ont une valeur marchande, et les soutiers du business concentrationnaire, de beaux profils de psychopathes. Sans beaucoup de moyen, le réalisateur parvient à maintenir une tension dramatique redoutable. Pour trouver un équivalent du même genre, aux sujets d’inspiration proches, il n’y aurait guère qu’un Xavier Gens avec Frontière(s) en 2007 et The Divide en 2011. Voilà qui situe à peu près tout l’intérêt de l’entreprise.
Le Scénario est bien et l’histoire tient mais le film est saoulant et proche d’un contexte huit-clos. Pas de tension. Le couple qui sert d’acteurs, l’un aussi médiocre que l’autre. Le mari a un jeu d’acteur mortellement ennuyant mêlé à cette antagoniste de biologiste prétentieuse et arrogante.
Au moins j’ai aimé le dénouement de la fin en avançant le film de beaucoup de minutes.
Au moins j’ai aimé le dénouement de la fin en avançant le film de beaucoup de minutes.
Concept intéressant, mais plus approprié pour la production d’une série...
Mise en contexte trop discrète pour générer une intrigue qui « tient en haleine ». L’élément déclencheur, au moment où l’actrice principale se retrouve à « l’usine », crée un changement de rythme intéressant, toutefois, la cascade d’événements pour laquelle il y a une grande quantité d’éléments contextuels, crée une distorsion temporelle qui inhibe les messages du scénario. Le sadisme des scènes d’agression des femmes, tout autant que celles où nous observons la vengeance de leur part, honore la catégorie « horreur » de ce film, mais font l’effet de « poudre aux yeux », considérant qu’il y avait assurément du contenu à explorer en profondeur pour ce scénario.
Mise en contexte trop discrète pour générer une intrigue qui « tient en haleine ». L’élément déclencheur, au moment où l’actrice principale se retrouve à « l’usine », crée un changement de rythme intéressant, toutefois, la cascade d’événements pour laquelle il y a une grande quantité d’éléments contextuels, crée une distorsion temporelle qui inhibe les messages du scénario. Le sadisme des scènes d’agression des femmes, tout autant que celles où nous observons la vengeance de leur part, honore la catégorie « horreur » de ce film, mais font l’effet de « poudre aux yeux », considérant qu’il y avait assurément du contenu à explorer en profondeur pour ce scénario.
Rien a redire de négatif, un film violent dans sa deuxième partie, avec un tension maintenue sur le devenire de l'héroïne et de ses malheureuses compagnes d'infortunes.
Certes, certain diront que le début est un peu long, mais en ce qui me concerne, je ne me suis pas ennuyé une minute devant ce film.
Je le recommande donc sans soucis.
Certes, certain diront que le début est un peu long, mais en ce qui me concerne, je ne me suis pas ennuyé une minute devant ce film.
Je le recommande donc sans soucis.
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