Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Avec ces deux monstres, le forgeron à la chevelure de Siegfried, et le petit roquet au doigt pointé, Herzog avait de quoi construire une fable troublante, mais la folie lui a manqué.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
L'intérêt du film vient du personnage donnant son titre au film : il incarne l'autre imaginaire, celui qui devra recevoir la folie meurtrière en tant que victime. (...) Dommage que le cinéaste allemand n'ait pas trouvé de forme à donner à ce sujet passionnant !
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
La rencontre entre ces deux êtres (...) aurait pu être passionnante, mais les deux acteurs sont trop différents. Si le film ne convainc pas tout à fait, son propos et sa teneur se situent toutefois nettement au-dessus du tout venant cinématographique.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce dilemme moral (être sincère ou utiliser les armes de l'ennemi pour le tromper) fait le prix d'un film qui pourtant déçoit par sa mise en scène terne, sans résonance. Invincible reste toutefois une étonnante réflexion sur les armes du spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Un cinéma de la fascination est toujours contestable, mais une entreprise artistique qui se moque à ce point des modes ne peut-être qu'appréciable, aussi hasardeuse soit-elle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Invincible ne tourne à plein que dans le déroulé fascinant de la séquence. L'outrage dure ce que dure un numéro, et le film, justement, ne fonctionne que par accumulation, pour atteindre les dernières couches de la bouffonnerie critique. Pour le reste, Herzog ne s'embarrasse pas. Ne soigne pas les séquences qui l'ennuient, toutes celles qui sortent de la confrontation entre Tim Roth et Jouko Ahola.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Lorsque la formule fonctionne, elle donne lieu à quelques moments envoûtants, mais trop souvent, les faiblesses détournent l'attention (...). Le rôle principal ne manque pas de présence, mais il est si manifestement éclipsé par Tim Roth que lorsque celui-ci sort du champ, le désequilibre et flagrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Entre la fable et le pamphlet, entre l'énigmatique et le concret, entre le gentil et le méchant, le coeur du metteur en scène balance et sa mise en scène, aussi hésitante, affadit malheureusement un sujet fort qui semblait pourtant convenir idéalement au cinéaste (...).
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
Il y a un décalage énorme entre les intentions sincères d'Herzog et le résultat final qui frise l'hypnose. Constamment, nous sommes intrigués par la lenteur des plans, par leur incapacité à traduire une émotion.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Grégoire Leménager
(...) film flottant, parabole bancale qui parle la langue de Hollywood sur une musique de Hollywood, et noie son sujet dans un sentimentalisme irritant.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Marc Arlin
lNVINCIBLE semble justement bloqué dans la décennie des pattes d'eph' et du disco. Quoique, ici, le propos est nettement moins drôle. (...) L'hypnose que fait subir le personnage de Tim Roth dans le film marche très bien aussi pour les spectateurs de INVINCIBLE. Vous avez sommeil. Beaucoup sommeil. Vous fermez les yeux. Vous dormez.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le tempétueux Werner Herzog s'est bien assagi : il illustre ici sagement une histoire, à la fois véridique et fabuleuse, qui aurait mérité sa fureur d'antan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
(...) ce portrait d'une authentique figure d'avant-guerre pèche autant par la lourdeur de ses intentions que par celle de sa mise en scène. C'est dommage (...).
Cahiers du Cinéma
Avec ces deux monstres, le forgeron à la chevelure de Siegfried, et le petit roquet au doigt pointé, Herzog avait de quoi construire une fable troublante, mais la folie lui a manqué.
Chronic'art.com
L'intérêt du film vient du personnage donnant son titre au film : il incarne l'autre imaginaire, celui qui devra recevoir la folie meurtrière en tant que victime. (...) Dommage que le cinéaste allemand n'ait pas trouvé de forme à donner à ce sujet passionnant !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
La rencontre entre ces deux êtres (...) aurait pu être passionnante, mais les deux acteurs sont trop différents. Si le film ne convainc pas tout à fait, son propos et sa teneur se situent toutefois nettement au-dessus du tout venant cinématographique.
Le Monde
Ce dilemme moral (être sincère ou utiliser les armes de l'ennemi pour le tromper) fait le prix d'un film qui pourtant déçoit par sa mise en scène terne, sans résonance. Invincible reste toutefois une étonnante réflexion sur les armes du spectacle.
Les Inrockuptibles
Un cinéma de la fascination est toujours contestable, mais une entreprise artistique qui se moque à ce point des modes ne peut-être qu'appréciable, aussi hasardeuse soit-elle.
Libération
Invincible ne tourne à plein que dans le déroulé fascinant de la séquence. L'outrage dure ce que dure un numéro, et le film, justement, ne fonctionne que par accumulation, pour atteindre les dernières couches de la bouffonnerie critique. Pour le reste, Herzog ne s'embarrasse pas. Ne soigne pas les séquences qui l'ennuient, toutes celles qui sortent de la confrontation entre Tim Roth et Jouko Ahola.
Première
Lorsque la formule fonctionne, elle donne lieu à quelques moments envoûtants, mais trop souvent, les faiblesses détournent l'attention (...). Le rôle principal ne manque pas de présence, mais il est si manifestement éclipsé par Tim Roth que lorsque celui-ci sort du champ, le désequilibre et flagrant.
Aden
Entre la fable et le pamphlet, entre l'énigmatique et le concret, entre le gentil et le méchant, le coeur du metteur en scène balance et sa mise en scène, aussi hésitante, affadit malheureusement un sujet fort qui semblait pourtant convenir idéalement au cinéaste (...).
Fluctuat.net
Il y a un décalage énorme entre les intentions sincères d'Herzog et le résultat final qui frise l'hypnose. Constamment, nous sommes intrigués par la lenteur des plans, par leur incapacité à traduire une émotion.
L'Obs
(...) film flottant, parabole bancale qui parle la langue de Hollywood sur une musique de Hollywood, et noie son sujet dans un sentimentalisme irritant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
lNVINCIBLE semble justement bloqué dans la décennie des pattes d'eph' et du disco. Quoique, ici, le propos est nettement moins drôle. (...) L'hypnose que fait subir le personnage de Tim Roth dans le film marche très bien aussi pour les spectateurs de INVINCIBLE. Vous avez sommeil. Beaucoup sommeil. Vous fermez les yeux. Vous dormez.
Télérama
Le tempétueux Werner Herzog s'est bien assagi : il illustre ici sagement une histoire, à la fois véridique et fabuleuse, qui aurait mérité sa fureur d'antan.
Zurban
(...) ce portrait d'une authentique figure d'avant-guerre pèche autant par la lourdeur de ses intentions que par celle de sa mise en scène. C'est dommage (...).