Il faut sauver l’assureur Schmidt !
En quelques semaines, les références de Warren Schmidt, cadre dans une société d’assurances, s’effondrent, les unes après les autres.
Tout d’abord, il part à la retraite, à contrecœur.
Il y, ensuite, a aussi la préparation du mariage de sa fille unique avec un commercial qu’il n’apprécie guère.
Enfin, sa femme Helen meurt subitement, pendant qu’il va poster une lettre.
Et bien, cette lettre est bien la seule chose d’important dans sa vie.
Ces évènements convoquent l’heure du bilan pour Warren. Il en est convaincu : il n’a rien fait de sa vie !
Pourtant, une simple publicité télévisée va donner un sens à sa vie.
Pour qui, pour quoi, cette publicité, cette lettre, vous demandez-vous ?
Une publicité pour le parrainage d’un enfant.
Une lettre pour Ngudu, un Tanzanien orphelin de 6 ans, qu’il décide de parrainer et qui devient son seul confident, au travers de lettres profondes et terribles.
Sur un ton désinvolte, mais parfois grinçant, Jack Nicholson est l’interprète central de sujets tels que la nécessité de préparation de l’accès à la retraite, le deuil, la solitude, l’acceptation du départ d’un enfant avec un inconnu et, enfin, son testament philosophique.
Le spectateur est proprement désolé pour Nicholson, mais ne s’ennuie pas un instant.