Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Lorsque le mélo à l'américaine chausse ses gros sabots et n'hésite devant aucun trémolo, c'est soit hilarant soit navrant. Ici, Irwin Winkler (...) n'hésite devant aucune lourdeur pour son cinquième film de réalisateur.
Chronic'art.com
par Laurent Robert
La beauté du film jaillit inopinément du déploiement down tempo de ces relations amoureuses fugitives mais vitales, souvent hors morale, et condamnées par avance car sans issue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) l'interprétation sauvageonne de Kevin Kline ainsi qu'une pléiade de seconds rôles inattendus (Jena Malone, Mary Steenburgen, Hayden Christensen) donne une réelle amplitude à ce qui ne reste toutefois qu'un mélo aseptisé sur l'Amérique la plus conventionnelle.
Cine Libre
par Jean-Julien Primack
Le réalisateur nous entraîne durant plus de deux longues, très longues heures dans une histoire larmoyante (abraccadabrantesque serions-nous tenté d'écrire) n'offrant pas beaucoup d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Gilles Renault
Mine de rien, avec sa "performance" d'homme digne dans la souffrance, Kevin Kline a piqué un rôle en or pour Robin Williams. Si la maison du film est en bois, le matériau utilisé par Irwin Winkler, lui, possède le charme et la finesse du béton.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Tout est prévisible dans ce mélo familial, qui pompe allégrement AMERICAN BEAUTY, et qu'on croirait écrit par un logiciel pour films à Oscars. L'évolution des personnages (...), les confrontations (...), et les plans interminables sur l'océan achèvent de rendre ce film sordide de ridicule.
Première
par Mathieu Carratier
Le film est aussi sensible qu'un clip de Guns and Roses, et s'il parvient à susciter de l'émotion dans sa dernière partie, c'est un artifice purement mécanique. Perdre un proche est douloureux, le filmer de manière si peu inspirée est franchement gênant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Et ça marche : le fils se démaquille, boit du lait et embrasse la petite voisine sur la bouche, tandis que son ex-épouse découvre que, finalement, elle l'aime encore. Une histoire grosse comme une maison sur un océan de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Lorsque le mélo à l'américaine chausse ses gros sabots et n'hésite devant aucun trémolo, c'est soit hilarant soit navrant. Ici, Irwin Winkler (...) n'hésite devant aucune lourdeur pour son cinquième film de réalisateur.
Chronic'art.com
La beauté du film jaillit inopinément du déploiement down tempo de ces relations amoureuses fugitives mais vitales, souvent hors morale, et condamnées par avance car sans issue.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
(...) l'interprétation sauvageonne de Kevin Kline ainsi qu'une pléiade de seconds rôles inattendus (Jena Malone, Mary Steenburgen, Hayden Christensen) donne une réelle amplitude à ce qui ne reste toutefois qu'un mélo aseptisé sur l'Amérique la plus conventionnelle.
Cine Libre
Le réalisateur nous entraîne durant plus de deux longues, très longues heures dans une histoire larmoyante (abraccadabrantesque serions-nous tenté d'écrire) n'offrant pas beaucoup d'intérêt.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Mine de rien, avec sa "performance" d'homme digne dans la souffrance, Kevin Kline a piqué un rôle en or pour Robin Williams. Si la maison du film est en bois, le matériau utilisé par Irwin Winkler, lui, possède le charme et la finesse du béton.
MCinéma.com
Tout est prévisible dans ce mélo familial, qui pompe allégrement AMERICAN BEAUTY, et qu'on croirait écrit par un logiciel pour films à Oscars. L'évolution des personnages (...), les confrontations (...), et les plans interminables sur l'océan achèvent de rendre ce film sordide de ridicule.
Première
Le film est aussi sensible qu'un clip de Guns and Roses, et s'il parvient à susciter de l'émotion dans sa dernière partie, c'est un artifice purement mécanique. Perdre un proche est douloureux, le filmer de manière si peu inspirée est franchement gênant.
Télérama
Et ça marche : le fils se démaquille, boit du lait et embrasse la petite voisine sur la bouche, tandis que son ex-épouse découvre que, finalement, elle l'aime encore. Une histoire grosse comme une maison sur un océan de clichés.