Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Voici
par L.S.
Un constat terrifiant sur la condition des femmes en Iran.
20 Minutes
par Caroline Vié
Zar Amir Ebrahimi a séduit le jury présidé par Vincent Lindon et remporté le prix d’interprétation à Cannes cette année. Sa prestation dans Les Nuits de Mashhad d’Ali Abbasi est à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Léo Ortuno
Ali Abbasi propose un cinéma violent, politique, jouant avec les codes pour mieux les détourner et nous interpeller.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ali Abbasi retourne sur ses terres natales pour détricoter la sinistre carrière d’un tueur en série, qui en dit autant sur le fanatisme de l’acte que l’état moral de la société dans laquelle – et même pour laquelle – il agit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si le récit est répétitif dans sa reconstitution des meurtres, au même modus operandi, Les Nuits de Mashhad est exemplaire dans sa dénonciation de la violence à l’égard des femmes.
Ecran Large
par Simon Riaux
Fort de tout l'héritage des maîtres qui l'ont précédé, Abbasi explore une nouvelle figure de monstre, celle d'un psychopathe dont la folie épouse celle de la société qui l'entoure. Dangereux, vénéneux, vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Filmé au plus près du réel, le récit est prenant de bout en bout, avec une interprétation remarquable de Zar Amir Ebrahimi en journaliste combative.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Intense et brutal, Les Nuits de Mashhad dresse un portrait implacable de la société iranienne et de ses dérives.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Certes, l’épatant « Border », le précédent film d’Ali Abbasi, était plus tenu que ce thriller poisseux, rageur, volontiers outré. Ses excès et sa violence sont aussi ceux d’une société malade, régie par l’intégrisme, la misogynie et une justice mascarade, qu’aucun film n’avait mis aussi frontalement au jour. Glaçant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) Les Nuits de Mashhad est exemplaire dans sa dénonciation de la violence à l’égard des femmes.
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Le talentueux Ali Abbasi (Border) s’inspire d’un fait divers qui l’a marqué durant son adolescence et signe un polar très noir, haletant et sous très haute tension, magistralement mis en scène dans sa violence et ses rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un polar de toute beauté qui redonne leur humanité à des femmes en perdition.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Armin Arefi
Un polar aussi angoissant que réaliste.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ali Abbasi dresse un portrait impitoyable de l'Iran dans un film noir impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Plus sociologue que criminologue, Abbasi ne cherche pas tant à comprendre les raisons qui ont poussé le tueur à exécuter des prostituées qu'à analyser les réactions d'une opinion qui s'est quasiment rangée de son côté.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Et le courroux desdites autorités a redoublé quand, à l’heure du palmarès, le prix d’interprétation féminine est venu justement récompenser l’actrice Zar Amir Ebrahimi, remarquable dans la peau de Rahimi, la journaliste qui refuse de baisser les bras et de se soumettre à la loi du silence.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Ali Abbasi s'empare de ce fait divers pour raconter, à travers l'enquête d'une journaliste, les jeux de pouvoir et de manipulation à l'oeuvre dans les hautes sphères.
Positif
par Eithne O’Neill
Brute de décoffrage, la mise en scène frappe par une littéralité sans ambages.
Télérama
par Frédéric Strauss
POUR : Des victimes, personne ne veut rien savoir. Sauf Rahimi. Fragile et solitaire, elle garde les yeux ouverts. Un beau symbole pour ce film aussi prenant que politique, courageusement engagé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Toujours est-il que Les nuits de Mashhad est un long métrage captivant, dont les scènes nocturnes n’ont rien à envier à Taxi Driver ou au récent La loi de Téhéran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les Nuits de Mashhad se révèle frontal et glaçant, complaisant peut-être, mais en tout cas édifiant sur le fait qu’une femme, éternel objet de crainte et de menace dans l’idéologie obscurantiste, est forcément coupable et corrompue. Et qu’il s’en trouve beaucoup pour applaudir le monstre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les péripéties et conventions relevant d’un cinéma de genre ou d’exploitation sont mises ici au service d’un regard sur une société vivant ses propres contradictions. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marie Claire
par Emily Barnett
Si cette traque d'un tueur protégé par le système religieux paraît un poil conventionnelle, l'actrice incarnant la journaliste qui enquête sur ce fait divers, Zar Amir Ebrahimi, livre une prestation vibrante.
Paris Match
par Yannick Vely
La démonstration est hélas un peu trop appuyée mais elle reste nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Si tout apparaît un tantinet scolaire dans l’exécution jusqu’à un final trop didactique, Abbasi réussit toutefois à maintenir une pression permanente. C’est donc bien par son approche réaliste que le fantastique peut advenir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
En dépit d'une poignée de scènes intrigantes, l’entrelacement du polar et du film social accouche d’une morale assez grossière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Iranien exilé au Danemark depuis vingt ans, le réalisateur de Border (...) bâtit avec ce troisième film tourné en Jordanie un thriller habile (...). Mais la froideur de son regard finit par nous glacer les sangs et rend sa démonstration sur la condition des femmes dans la société iranienne un peu lourde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre le polar et le thriller politico-social, le nouveau film d’Ali Abbasi peine à trouver son équilibre et trébuche même sur son approche complaisante de l’affaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Programmatique, pour ne pas dire opportuniste, dans sa dénonciation du machisme d’État, Les Nuits de Mashhad met en scène la violence avec une certaine complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Dédié aux scènes de meurtre avec un luxe de bruits de cou qui craque, le film recourt à des procédés de suspense si racoleurs qu’il s’agirait presque de s’équiper d’un seau de pop-corn.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Solitude absolue du personnage et de l’actrice, tant la mise en scène prend parti, en confondant intensité et fascination dans les scènes de meurtre, et en installant le suspense quelque part entre le sadisme et la comédie, plongeant le film dans la même pourritude qu’il prétend dénoncer.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Bien que le réalisateur s'en défende, Les Nuits de Mashhad est bien un film de serial-killer. Il n'apporte pas grand-chose au genre. Il est même très inférieur aux fleurons que sont, par exemple, L'Étrangleur de Boston et L'Étrangleur de la place Rillington (...) à la mise en scène autrement plus originale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : Certes, le constat terrible d’Ali Abbasi sur la société iranienne en général, et la condition des femmes en particulier, ne manque pas d’intérêt. Le problème est que le cinéaste ne recule devant aucun effet choc pour appuyer son propos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
Un constat terrifiant sur la condition des femmes en Iran.
20 Minutes
Zar Amir Ebrahimi a séduit le jury présidé par Vincent Lindon et remporté le prix d’interprétation à Cannes cette année. Sa prestation dans Les Nuits de Mashhad d’Ali Abbasi est à couper le souffle.
Bande à part
Ali Abbasi propose un cinéma violent, politique, jouant avec les codes pour mieux les détourner et nous interpeller.
CinemaTeaser
Ali Abbasi retourne sur ses terres natales pour détricoter la sinistre carrière d’un tueur en série, qui en dit autant sur le fanatisme de l’acte que l’état moral de la société dans laquelle – et même pour laquelle – il agit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si le récit est répétitif dans sa reconstitution des meurtres, au même modus operandi, Les Nuits de Mashhad est exemplaire dans sa dénonciation de la violence à l’égard des femmes.
Ecran Large
Fort de tout l'héritage des maîtres qui l'ont précédé, Abbasi explore une nouvelle figure de monstre, celle d'un psychopathe dont la folie épouse celle de la société qui l'entoure. Dangereux, vénéneux, vertigineux.
Franceinfo Culture
Filmé au plus près du réel, le récit est prenant de bout en bout, avec une interprétation remarquable de Zar Amir Ebrahimi en journaliste combative.
GQ
Intense et brutal, Les Nuits de Mashhad dresse un portrait implacable de la société iranienne et de ses dérives.
L'Obs
Certes, l’épatant « Border », le précédent film d’Ali Abbasi, était plus tenu que ce thriller poisseux, rageur, volontiers outré. Ses excès et sa violence sont aussi ceux d’une société malade, régie par l’intégrisme, la misogynie et une justice mascarade, qu’aucun film n’avait mis aussi frontalement au jour. Glaçant.
Le Dauphiné Libéré
(...) Les Nuits de Mashhad est exemplaire dans sa dénonciation de la violence à l’égard des femmes.
Le Journal du Dimanche
Le talentueux Ali Abbasi (Border) s’inspire d’un fait divers qui l’a marqué durant son adolescence et signe un polar très noir, haletant et sous très haute tension, magistralement mis en scène dans sa violence et ses rebondissements.
Le Parisien
Un polar de toute beauté qui redonne leur humanité à des femmes en perdition.
Le Point
Un polar aussi angoissant que réaliste.
Les Echos
Ali Abbasi dresse un portrait impitoyable de l'Iran dans un film noir impressionnant.
Mad Movies
Plus sociologue que criminologue, Abbasi ne cherche pas tant à comprendre les raisons qui ont poussé le tueur à exécuter des prostituées qu'à analyser les réactions d'une opinion qui s'est quasiment rangée de son côté.
Marianne
Et le courroux desdites autorités a redoublé quand, à l’heure du palmarès, le prix d’interprétation féminine est venu justement récompenser l’actrice Zar Amir Ebrahimi, remarquable dans la peau de Rahimi, la journaliste qui refuse de baisser les bras et de se soumettre à la loi du silence.
Ouest France
Ali Abbasi s'empare de ce fait divers pour raconter, à travers l'enquête d'une journaliste, les jeux de pouvoir et de manipulation à l'oeuvre dans les hautes sphères.
Positif
Brute de décoffrage, la mise en scène frappe par une littéralité sans ambages.
Télérama
POUR : Des victimes, personne ne veut rien savoir. Sauf Rahimi. Fragile et solitaire, elle garde les yeux ouverts. Un beau symbole pour ce film aussi prenant que politique, courageusement engagé.
aVoir-aLire.com
Toujours est-il que Les nuits de Mashhad est un long métrage captivant, dont les scènes nocturnes n’ont rien à envier à Taxi Driver ou au récent La loi de Téhéran.
La Voix du Nord
Les Nuits de Mashhad se révèle frontal et glaçant, complaisant peut-être, mais en tout cas édifiant sur le fait qu’une femme, éternel objet de crainte et de menace dans l’idéologie obscurantiste, est forcément coupable et corrompue. Et qu’il s’en trouve beaucoup pour applaudir le monstre.
Le Monde
Les péripéties et conventions relevant d’un cinéma de genre ou d’exploitation sont mises ici au service d’un regard sur une société vivant ses propres contradictions. A voir.
Marie Claire
Si cette traque d'un tueur protégé par le système religieux paraît un poil conventionnelle, l'actrice incarnant la journaliste qui enquête sur ce fait divers, Zar Amir Ebrahimi, livre une prestation vibrante.
Paris Match
La démonstration est hélas un peu trop appuyée mais elle reste nécessaire.
Première
Si tout apparaît un tantinet scolaire dans l’exécution jusqu’à un final trop didactique, Abbasi réussit toutefois à maintenir une pression permanente. C’est donc bien par son approche réaliste que le fantastique peut advenir.
Critikat.com
En dépit d'une poignée de scènes intrigantes, l’entrelacement du polar et du film social accouche d’une morale assez grossière.
La Croix
Iranien exilé au Danemark depuis vingt ans, le réalisateur de Border (...) bâtit avec ce troisième film tourné en Jordanie un thriller habile (...). Mais la froideur de son regard finit par nous glacer les sangs et rend sa démonstration sur la condition des femmes dans la société iranienne un peu lourde.
Les Fiches du Cinéma
Entre le polar et le thriller politico-social, le nouveau film d’Ali Abbasi peine à trouver son équilibre et trébuche même sur son approche complaisante de l’affaire.
Les Inrockuptibles
Programmatique, pour ne pas dire opportuniste, dans sa dénonciation du machisme d’État, Les Nuits de Mashhad met en scène la violence avec une certaine complaisance.
Libération
Dédié aux scènes de meurtre avec un luxe de bruits de cou qui craque, le film recourt à des procédés de suspense si racoleurs qu’il s’agirait presque de s’équiper d’un seau de pop-corn.
Cahiers du Cinéma
Solitude absolue du personnage et de l’actrice, tant la mise en scène prend parti, en confondant intensité et fascination dans les scènes de meurtre, et en installant le suspense quelque part entre le sadisme et la comédie, plongeant le film dans la même pourritude qu’il prétend dénoncer.
Le Figaro
Bien que le réalisateur s'en défende, Les Nuits de Mashhad est bien un film de serial-killer. Il n'apporte pas grand-chose au genre. Il est même très inférieur aux fleurons que sont, par exemple, L'Étrangleur de Boston et L'Étrangleur de la place Rillington (...) à la mise en scène autrement plus originale.
Télérama
CONTRE : Certes, le constat terrible d’Ali Abbasi sur la société iranienne en général, et la condition des femmes en particulier, ne manque pas d’intérêt. Le problème est que le cinéaste ne recule devant aucun effet choc pour appuyer son propos.