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    Beau Is Afraid
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    165 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    136 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2023
    Une belle illustration des névroses psychotiques portée admirablement par un Joaquim Phoenix habité par le personnage.
    djskeud
    djskeud

    5 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2023
    Ce film me rappelle l'adage "faire n'importe quoi en espérant que ceux qui regardent trouvent ça intelligent, ça ne marche que quand on est célèbre". Succession incongrue de scènes sans queue ni tête. J. Phœnix tient le film à bout de bras, mais plus le temps avance et moins il y a à tenir ...
    Bladerunner12
    Bladerunner12

    2 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 octobre 2023
    A part le jeu étonnant de Joaquim Phoenix perdu dans ce rêve éveillé. Je n'ai pas accroché du tout. Trop de situations ou j'étais mal à l'aise pour l'acteur. Ce n'est pas passé et en plus c'est long.....2h59
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2023
    Entre comédie névrosée et odyssée anxiogène, Aster nous livre une longue et dispensable auto-psychanalyse borderline et mais sans déplaisir.
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    83 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2023
    Ari Aster, le réalisateur talentueux derrière des succès cinématographiques tels que "Hereditary" et "Midsommar," revient avec une nouvelle création cinématographique troublante et intense, "Beau is Afraid." Ce thriller psychologique plonge le spectateur dans un véritable cauchemar émotionnel et sensoriel, créant une expérience cinématographique inoubliable.

    Dès les premières minutes, Aster instaure une atmosphère de tension palpable qui se resserre progressivement autour du spectateur, le maintenant sous l'emprise d'une terreur croissante tout au long du film. Cette montée d'angoisse est admirablement soutenue par une bande-son envoûtante et une réalisation visuellement captivante. La manière dont Aster utilise la caméra pour créer des images à la fois saisissantes et perturbantes est tout à fait remarquable.

    Au cœur de cette histoire troublante se trouve le personnage de Beau, incarné par l'acteur Joaquin Phoenix. La performance de Phoenix est tout simplement extraordinaire. Il parvient à incarner avec une profondeur et une authenticité remarquables la vulnérabilité et la terreur de Beau. Le spectateur est entraîné dans un voyage émotionnel intense, partageant la douleur et la confusion du personnage alors qu'il est tourmenté par ses propres démons intérieurs et hanté par des visions terrifiantes. Phoenix est à la hauteur de sa réputation en tant qu'acteur de premier plan, offrant une performance qui imprègne le film d'une puissante émotion.

    La force du film réside également dans sa capacité à mélanger habilement des éléments de réalisme psychologique et des séquences cauchemardesques qui défient les limites de la perception du spectateur. Aster explore avec audace les thèmes de la folie, de la réalité déformée et de la terreur psychologique. Il nous pousse sans relâche à remettre en question ce qui est réel et ce qui ne l'est pas, tout en maintenant une tension constante.

    "Beau is Afraid" est un film qui ne vous laisse pas indemne. C'est une expérience cinématographique viscérale qui plonge profondément dans les recoins les plus sombres de la psyché humaine. Les séquences de cauchemar et les éléments surnaturels sont réalisés avec une maîtrise impressionnante, amplifiant l'horreur du récit.

    "Beau is Afraid" est un chef-d'œuvre d'angoisse psychologique qui marquera les esprits des amateurs de cinéma. La performance exceptionnelle de Joaquin Phoenix et la maestria d'Ari Aster dans la création d'une atmosphère terrifiante en font un incontournable pour les fans de thriller psychologique et d'horreur psychologique. Préparez-vous à être à la fois terrifié et captivé du début à la fin. Une expérience cinématographique que vous n'oublierez pas de sitôt.
    Albert
    Albert

    9 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2023
    Par ou commencer ? Ce film qui est très clairement une folie du réalisateur qui ferait bien de soigner sa santé mentale dépeint un monde presque post-apocalyptique par moments avec une société sans foi ni loi, on voit des jeunes filmer un suicide on se dit que le film va être une critique de la société réactionnaire des réseaux sociaux et en fait pas du tout.
    ( On n'éduquera certainement pas la nouvelle génération avec un film aussi débile que celui là )
    Aucun message, aucune morale, pas une ligne de dialogue intéressante. Joaquin Phoenix est le seul aspect positif du film.
    Le film est un faux chef d'œuvre, un délire inspiré de Joker, Inception, Mr robot, et Truman Show qui, pour le coup ont le mérite, eux, d'être de vrais chefs d'œuvres et de vrais œuvres d'arts et enfin du vrai cinéma. Le film m'a très rapidement fait pensé à The Whale car le constat est le même, visuellement c'est très travaillé mais ça ne va pas plus loin. Le fond est inexistant et le sujet inintéressant. A l'heure ou l'écologie est la priorité de l'humanité faire un film avec autant de moyens et si peu d'intérêt est lamentable. On voit enfin un français à l'international, donc on est content pour Denis Minochet, dommage qu'on lui ai donné un rôle complètement débile. Tout comme The Whale ou les crimes du futur que je mets dans la même poubelle, le film est choquant inutilement, le scénario n'est pas clair, on ne comprend rien, ( précisément parce qu'en fait il n'y a rien à comprendre ) sans parler du rythme qui donne au film ses 3h. UNE HONTE. J'ai de la peine pour ceux qui sont allez le voir au cinéma!
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Bonne chance si vous arrivez à rentrer dans l'univers absurde et déjanté d'Ari Aster. Personnellement j 'ai eu du mal malgré toute mon admiration pour Joaquim Phoenix qui porte indéniablement le film . C'est pour lui que l'on subit les images certes débordant d'invention mais dépourvues d'émotion pendant 3 heures! Sur le fond, le film se vent freudien mais l'image de la mère est ici peu convaincante comme le sont dans l'ensemble tous les seconds rôles. Ari Aster signe un film déjanté, insensible et trop long, son mauvais trip est très loin des grandes réussites d'un Terry Gilliam ou même d'un David Lynch, cinéastes qu'Ari Aster voudrait égaler, il y a encore du travail surtout dans l'écriture du scénario !
    Clint B
    Clint B

    50 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2023
    Quand je lis certains ici qui te font limite passer pour un attardé pour être poli parce que tu n'as pas apprécié ce truc de 3h....Bref. J'adore Joaquin Phoenix, énorme acteur selon moi, et Hérédité et Midsommar m'avaient plutôt plu malgré selon moi des maladresses. Mais là, au bout d'une heure ça commençait déjà à me gonfler sévère ce Beau is afraid, et il restait encore 2 heures à faire ! Il y a de bonnes idées, mais aussi et surtout un gloubiboulega de personnages et de scènes qui partent dans tous les sens sans réellement que l'on saisisse leur intérêt quant au déroulé du film, et je répète c'est très long ! Je ne voyais pas passer les 4h de Once upon a time in America, mais là ce n'était pas la même. Et quand je lis dans un commentaire " Midsommar est sans doute le film d’horreur le plus réussi, et le plus effrayant de ces trente dernières années, voir plus..." je me suis étouffé de rire ! Enfin...je dois être stupide j'imagine...
    Léa
    Léa

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2023
    spoiler: J'ai bien réfléchi mais j'ai toujours pas compris pourquoi il y avait un monstre zizi géant.
    Sinon dinguerie le film
    Marc Leparquier
    Marc Leparquier

    65 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2023
    Beau is afraid est un film particulier c'est le moins que l'on puisse dire. Particulier mais pompeux et caricatural avant tout. Si le concept de départ à tout pour séduire, il n'en reste pas moins que cette épopée freudienne/jungienne sur un homme qui doit ses névroses à la main étouffante de sa mère sur sa vie se perd en voulant multiplier les genres. Les élan cartoonesque et les longs plans silencieux viennent à bout de nos patiences. Et ce Joaquim Phoenix qui s'auto-caricature nous tape vite sur les nerfs. Le personnage passif sur 3h de film était trop audacieux. Les situations sont ubuesques, peu de personnages sont réellement crédible et aucun n'est particulièrement intéressant. La photographie et la réalisation reste belle et intéressante et c'est peut-être ce qui sauve un film qui aurait surtout gagné à être écourté.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2023
    La levée de boucliers critique contre Beau is afraid constitue, pour les détracteurs des deux premiers films d’Ari Aster, une aubaine, l’occasion de délaisser le système qui prévalait dans Hereditary (2018) et Midsommar (2019), réalisations prétentieuses et complaisantes, pour assister à l’avènement d’un véritable cinéaste qui atteint ici une précieuse et nécessaire maturité. En effet, si le long métrage repose lui aussi sur un système, il présente l’intérêt de constamment repenser ce dernier en inventant des formes, en creusant dans son récit des galeries souterraines peuplées d’intrigues secondaires qui contribuent à la complexité de l’ensemble : cette odyssée familiale d’un homme que tout le monde méprise et déteste surprend par la densité de sa matière fictionnelle, puisant aussi bien aux sources du conte initiatique qu’à celles des mythes antiques ; la catabase suivie rappelle d’ailleurs celle du remarquable The House that Jack built (Lars von Trier, 2018), quoique la trajectoire du personnage marginal représenté diffère profondément – Jack gouverne sa destinée là où Beau la subit.

    Beau is afraid ne fait que muter, se transforme encore et encore, ce qui le rend en partie insaisissable ; et pourtant la constance de son protagoniste principal oppose aux dynamiques qui l’écartèlent une force tranquille qui devient aussitôt suspecte : est-ce le monde extérieur qui vit dans la folie, ou Beau qui souffre de paranoïa et de démence ? Le vertige que procure le film tient à l’insécurité reconduite d’un être que personne ne comprend mais que tout le monde juge, sur lequel tout le monde s’acharne ; celle-ci s’exprime notamment lors de l’itinérance dans la forêt, évoquant explicitement le modèle médiéval du chevalier errant en quête d’exploits à accomplir pour retrouver les siens.

    En réactualisant la figure de l’étranger à lui-même, Aster interroge la notion de masculinité, qu’il peint comme une excroissance testiculaire que porte Beau comme une épée de Damoclès ; et derrière cette malédiction familiale grotesque, et en cela fort drôle, se cache le thème freudien de la castration par la mère, figure spectrale qui n’existe de prime abord qu’à l’état de voix sortie d’un téléphone et qui s’affirme peu à peu comme un monstre qui monopolise et dévore les ressources qui l’entourent : la ville porte son nom (Wassermann, nom dans lequel on entend « wasser », comprenons l’eau, l’une des traumatismes d’enfance qui habite Beau), ses habitants lui vouent un culte, son grenier cache un lourd secret de famille qui emprunte, dans sa matérialisation, aux cauchemars de la matière tels qu’ils étaient conçus par la Trauma. L’incapacité à vivre vient de la mère qui a projeté ses angoisses et ses frustrations sur son enfant, notamment l’idée qu’un individu ne peut connaître qu’un unique grand amour ; derrière cette figure transparaît l’autorité religieuse qui sacralise la virginité et l’engagement devant Dieu, qui culpabilise l’homme en le rendant responsable de tous les maux de la Terre ; celle-ci offre alors à Ari Aster un garde-fou qui l’empêche de se complaire dans la chute de Beau, à l’égard duquel il semble éprouver un mélange de compassion et d’amusement tragique. Beau is afraid mobilise un registre aujourd’hui rare et mal compris, le grotesque, pour peindre la détresse d’un homme névrosé égaré dans une société malade et gangrénée par une violence endémique, miroir tendu à nos sociétés occidentales. Il orchestre la rencontre de la thématique héréditaire et de celle du fanatisme que portaient respectivement les deux précédents films d’Aster, pour mieux les densifier et les sublimer.

    Une réussite plastique et symbolique flamboyante, quelque peu desservie par des longueurs et répétitions inutiles, qu’incarne un Joachim Phoenix au sommet. Nous sommes bien loin des pitreries exigées par Todd Phillips dans son Joker (2019), long métrage simpliste qui, à côté de Beau is afraid, sonne bien creux.
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2023
    J’avais bien aimé Hérédité, le premier film d’Ari Aster, et Midsommar est sans doute le film d’horreur le plus réussi, et le plus effrayant de ces trente dernières années, voir plus. Curieux donc de voir ce nouvel opus. Cela part plutôt bien. C’est intriguant, l’absurde et l’angoisse se mêlent pour monter progressivement. Puis cela retombe un peu avant de repartir de plus belle. Cela part alors dans une direction complètement inattendue pour finir en apothéose avec un dénouement délirant. Une fois de plus Aster nous offre une mise en scène somptueuse, des effets spéciaux et une direction artistique superbes. L’interprétation suit évidemment le mouvement et Joaquin Phoenix nous offre, un pléonasme, une prestation mémorable. Le reste du casting assure également, avec notamment Patti LuPone, Amy Ryan, Nathan Lane, Parker Posey et même notre Denis Ménochet national. Un film étrange, exigeant et parfois dérangeant qui finit par être fascinant. Une sorte de cauchemar éveillé, mais très différent et un cran en dessous de Midsommar en terme de puissance. Malgré tout une très belle nouvelle réussite de la part du réalisateur. On attend la suite avec impatience !
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    133 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 août 2023
    Fonder son art sur la psychanalyse ne réussit pas à Ari Aster, qui réalise là son premier mauvais film. Que nous sommes loin du génial "Midsommar"... Entre complexe d'Oedipe, mère castratrice et obsessions phalliques, on patauge ici dans la bouillie (misogyne) freudienne, une fois de plus pour le pire.
    Et quel gâchis pour l'immense acteur qu'est J. Phoenix, qui campe avec son talent habituel cet homme faible, désemparé, détruit par une réalité aussi atroce qu'absurde.
    Heureusement, en filigrane, il y a la dénonciation de l'horreur du monde contemporain, avec sa violence omniprésente, sa réduction des individus à des monstres régressifs dénués de surmoi, sa pauvreté galopante, sa bêtise et ses enclaves de luxe, qui ne sont pas à l'abri non plus - loin de là - des névroses et autres tares morbides.
    Marie Breton
    Marie Breton

    67 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2023
    Inutile de rappeler qui est Ari Aster et ce qu'il a fait auparavant : il est fort probable que seuls ses fans osent se lancer dans le visionnage de "Beau is afraid" qu'on a tous attendu très longtemps parce que le réalisateur a mis plus de temps que prévu à le monter (et je comprends maintenant pourquoi, et je remercie la prod d'avoir limité à 3 heures et non 4).

    Il est recommandé d'être cinéphile pour voir ce film, parce qu'il est difficile d'accès, et je ne vais pas mentir : il aurait encore pu être amputé d'une quarantaine de minutes.

    Pourquoi ?
    Parce que son propos est si évident et si simple (chanceux sont ceux qui ne se sentent pas en permanence coupable face à leurs mères), que certaines scènes semblent vraiment inutiles et ont l'air de figurer simplement dans le film parce que Ari Aster avait envie de les filmer.
    Alors pour un cinéaste (pour tout artiste en fait) c'est compréhensible, mais il faut aussi penser au public (on ne fait pas un film pour le regarder soi-même, c'est quand même bien de s'en souvenir)

    Il est donc très difficile de noter "Beau is afraid" du fait de l'inégalité de son très large contenu.

    Alors je m'adresse ici à ceux qui aiment le cinéma et qui aiment les métaphores : Oui, c'est un film qui vous fera forcément beaucoup d'effet à certains moments. Mais il est fort probable que vous trouviez le temps long.
    La première heure est absolument géniale (attention de ne rien manquer à tout ce qui figure dans le décor, c'est truffé de pépites), et pourrait faire office de film unique à elle seule.

    Pour la suite, c'est compliqué d'en parler.
    Certaines séquences sont mémorables, mais beaucoup d'autres sont juste vraiment très longues et ne font que rappuyer de façon moins aboutie sur le même bouton.

    Entre du 2/5 et du 4,5/5, c'est compliqué de faire une moyenne.
    Mais ça vaut le coup, au moins pour l'originalité et pour certaines de ces séquences absolument géniales.
    Evan D
    Evan D

    12 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2023
    J'ai vue le nouveau long métrage d'Ari Aster hier, et je n'ai pas pu faire la critique tout de suite. C'est un film assez dure à encaisser sur le coup. Et derrière l'humour que peut avoir à certain moment le film, les thématiques derrière sont beaucoup plus profonde et sombre. Le film va diviser, et je pense que c'est une bonne chose.
    C'est un film qui sort de l'ordinaire, et dans un monde où le cinéma est dirigé par Disney et d'autre grosse production, ça fait du bien d'avoir des œuvres originales.
    Joaquin Phœnix est incroyable dans ce film, il reste la meilleure performance que j'ai vue depuis le début d'année.
    Bref, un visionnaire atypique mais qui ne laisse pas indifférent.
    Nous ne pouvons pas comprendre tout le film dès le premier visionnage, mais bon courage pour les courageux qui le regarderont une deuxième fois !
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