Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Tel un foyer glaçant qu’on aime néanmoins, intimidé, Beau Is Afraid fascine et repousse, dans un même mouvement. Rien ne pourrait nous inciter à le revoir. Mais on n’a qu’une seule envie : y revenir.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
"Beau Is Afraid" transcende à la fois la narration, avec ces résurgences du passé, ces incarnations symboliques ou divines, et ces passages d’un monde à l’autre ; le genre, avec le tragique teinté de comique, et l’introspection transfiguré par l’épique ; et l’image même grâce à des procédés esthétiques inédits.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’œuvre complexe d’Ari Aster se vit comme une expérience viscérale hors norme, à la fois attirante et inconfortable, sublime et dure.
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie surréaliste aussi sublime que dingue.
L'Ecran Fantastique
par Jérémie Oro
Tout ici suscite la sidération : la narration à tiroirs d’une richesse vertigineuse, la mise en scène, réjouissante dans son alternance entre proximité documentaire et surréalisme expérimental, ou encore l’interprétation grâcieuse, démente et touchante de Joaquin Phoenix, dont Beau sera l’un des plus grands rôles.
LCI
par Romain Le Vern
Une sorte de chef-d'œuvre halluciné, aussi baroque que virtuose, signé d'un des nouveaux maîtres du cinéma d'horreur américain, Ari Aster.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
On marche avec lui dedans, partageant les tempêtes dans sa tête, éprouvé par la puissance déstabilisante de la proposition cinématographique imprévisible d’Ari Aster, bouleversé par la performance de Joaquin Phoenix, si beau et si Beau.
Mad Movies
par Vincent Malausa
POUR - L'ampleur, le degré de maestria et le ton unique avec lesquels ce troisième long-métrage se déploie permettent à Ari Aster de "s'élever" progressivement au-dessus de la notion même de cinéma de genre.
Ouest France
par Cédric Page
Une comédie hallucinée portée par un Joaquin Phoenix déchaîné.
Première
par François Grelet
Rien de monstrueux ici, pas une bête de foire (ni de festivals donc), un simple tour de force totalement prémédité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
L'épopée grotesque et malaisante d'un angoissé au stade terminal. Ou quand les thématiques de prédilection d'Aster deviennent à la fois plus radicales et plus évidentes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par La rédaction
Aster déploie avec une liberté folle sa prodigieuse imagination et ses propres obsessions, laissant le spectateur pantelant, sonné. Un film à expérimenter autant qu'à voir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Bienvenue dans l’esprit passablement dérangé d’Ari Aster, de retour avec un nouveau cauchemar éveillé, plus radical et surréaliste que les précédents (Hérédité, Midsommar) qui assume sa dimension lynchienne en s’égarant dans les dédales du labyrinthe mental d’un héros rongé par la culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Outrancier, virtuose, éprouvant… Avec ce morceau de bravoure aux allures de cauchemar éveillé, le surdoué de l’elevated horror réinvente son genre de prédilection.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Ainsi, Aster contredit Calderón : la vie n’est pas un songe, elle est un (long) cauchemar – et il a rarement été aussi passionnément anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Marqué par l’influence de Kafka, « Beau is Afraid » est un trip drôle et hallucinatoire, où Ari Aster dirige un formidable Joaquin Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Un geste de cinéma radical et démesuré où le réalisateur fait de sa névropathie le moteur intrinsèque de son pays des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Drôle, malséant, superbement réalisé, le troisième long-métrage d’Ari Aster confirme (jusqu’à l’absurde) les nombreux espoirs placés dans le jeune cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
Très polarisant, le film d’Ari Aster est un mélange de psychanalyse, de comédie et de bouffées post-œdipiennes. Un seul défaut : sa longueur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’odyssée sera freudienne, car c’est le rapport dévorant à la mère qu’il s’agit d’expliciter. Ari Aster projette la folie de son héros sur le monde environnant, la réalité américaine apparaissant comme un grand asile à ciel ouvert.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ari Aster donne suite à Hérédité et Midsommar avec une comédie horrifique inattendue, pleine de promesses, mais qui s’essouffle vite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par S.O.
Après une première heure sidérante, le film, qui a le mérite de ne ressembler à aucun autre, vaut surtout pour l'extraordinaire prestation de Joaquin Phoenix.
Télérama
par Louis Guichard
Le résultat mérite d’être découvert pour le brio étourdissant de son début – l’équivalent d’un moyen métrage. Le reste, on le laisse à Ari Aster, cinéaste qui gagnerait à contenir son talent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jerôme Momcilovic
[...] en théâtralisant d’emblée la matière psychanalytique de son histoire, Aster se prive d’un précieux atout. Car le malaise saisissant que parvenaient à susciter Hérédité et Midsommar tenait à leur lente et sournoise décoction, opérant un glissement très progressif du monde vers sa doublure hallucinée. Or Beau Is Afraid ne fait pas longtemps mystère que l’odyssée hagarde de son personnage relève du cauchemar pur et simple.
Critikat.com
par Bastien Gens
La dimension retorse du film ne suffit pas à masquer sa faiblesse intrinsèque : trop copieux et redondant, il semble comme tirer à la ligne, jusqu’à l’étiolement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Adam Sanchez
Beau is Afraid ne manque certes pas de panache et d'ingéniosité quand il doit restituer à l’écran toutes les pensées noires de son héros, mais l'ensemble pèche par son inconsistance et s'avère bien moins fascinant que ce que le cinéaste en rêvait.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Malheureusement, il reste à ce stade deux heures de film à dérouler et un gros ventre mou à se farcir. C’est l’épopée œdipienne de Beau, qui, au gré de ses pérégrinations, expérimentera différents types de foyers, symbolisés par des accouchements métaphoriques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Il était moins une. Beau is Afraid dure 2 heures 59 minutes. Ouf. Il aurait sans doute été impossible de supporter une seconde de plus. Pourtant, le début s’annonçait bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Ari Aster signe un cauchemar loufoque et horrifique de trois heures, un voyage aux confins de la folie, foisonnant mais épuisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par Gilles Esposito
CONTRE - Un film engoncé dans une thématique préétablie, mis sous cloche au point de ne plus pouvoir respirer, et en fin de compte, totalement désincarné.
Le Parisien
par La Rédaction
Va pour cette philosophie narquoise et désabusée du chaos, mais pas de cette manière, plombée par une lenteur exaspérante et un recours systématique à la métaphore et au quinzième degré : assommant !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
Tel un foyer glaçant qu’on aime néanmoins, intimidé, Beau Is Afraid fascine et repousse, dans un même mouvement. Rien ne pourrait nous inciter à le revoir. Mais on n’a qu’une seule envie : y revenir.
Culturopoing.com
"Beau Is Afraid" transcende à la fois la narration, avec ces résurgences du passé, ces incarnations symboliques ou divines, et ces passages d’un monde à l’autre ; le genre, avec le tragique teinté de comique, et l’introspection transfiguré par l’épique ; et l’image même grâce à des procédés esthétiques inédits.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’œuvre complexe d’Ari Aster se vit comme une expérience viscérale hors norme, à la fois attirante et inconfortable, sublime et dure.
Elle
Une comédie surréaliste aussi sublime que dingue.
L'Ecran Fantastique
Tout ici suscite la sidération : la narration à tiroirs d’une richesse vertigineuse, la mise en scène, réjouissante dans son alternance entre proximité documentaire et surréalisme expérimental, ou encore l’interprétation grâcieuse, démente et touchante de Joaquin Phoenix, dont Beau sera l’un des plus grands rôles.
LCI
Une sorte de chef-d'œuvre halluciné, aussi baroque que virtuose, signé d'un des nouveaux maîtres du cinéma d'horreur américain, Ari Aster.
Le Dauphiné Libéré
On marche avec lui dedans, partageant les tempêtes dans sa tête, éprouvé par la puissance déstabilisante de la proposition cinématographique imprévisible d’Ari Aster, bouleversé par la performance de Joaquin Phoenix, si beau et si Beau.
Mad Movies
POUR - L'ampleur, le degré de maestria et le ton unique avec lesquels ce troisième long-métrage se déploie permettent à Ari Aster de "s'élever" progressivement au-dessus de la notion même de cinéma de genre.
Ouest France
Une comédie hallucinée portée par un Joaquin Phoenix déchaîné.
Première
Rien de monstrueux ici, pas une bête de foire (ni de festivals donc), un simple tour de force totalement prémédité.
Ecran Large
L'épopée grotesque et malaisante d'un angoissé au stade terminal. Ou quand les thématiques de prédilection d'Aster deviennent à la fois plus radicales et plus évidentes.
Franceinfo Culture
Aster déploie avec une liberté folle sa prodigieuse imagination et ses propres obsessions, laissant le spectateur pantelant, sonné. Un film à expérimenter autant qu'à voir.
Le Journal du Dimanche
Bienvenue dans l’esprit passablement dérangé d’Ari Aster, de retour avec un nouveau cauchemar éveillé, plus radical et surréaliste que les précédents (Hérédité, Midsommar) qui assume sa dimension lynchienne en s’égarant dans les dédales du labyrinthe mental d’un héros rongé par la culpabilité.
Les Inrockuptibles
Outrancier, virtuose, éprouvant… Avec ce morceau de bravoure aux allures de cauchemar éveillé, le surdoué de l’elevated horror réinvente son genre de prédilection.
Rolling Stone
Ainsi, Aster contredit Calderón : la vie n’est pas un songe, elle est un (long) cauchemar – et il a rarement été aussi passionnément anxiogène.
Sud Ouest
Marqué par l’influence de Kafka, « Beau is Afraid » est un trip drôle et hallucinatoire, où Ari Aster dirige un formidable Joaquin Phoenix.
aVoir-aLire.com
Un geste de cinéma radical et démesuré où le réalisateur fait de sa névropathie le moteur intrinsèque de son pays des merveilles.
Bande à part
Drôle, malséant, superbement réalisé, le troisième long-métrage d’Ari Aster confirme (jusqu’à l’absurde) les nombreux espoirs placés dans le jeune cinéaste.
L'Obs
Très polarisant, le film d’Ari Aster est un mélange de psychanalyse, de comédie et de bouffées post-œdipiennes. Un seul défaut : sa longueur.
Le Monde
L’odyssée sera freudienne, car c’est le rapport dévorant à la mère qu’il s’agit d’expliciter. Ari Aster projette la folie de son héros sur le monde environnant, la réalité américaine apparaissant comme un grand asile à ciel ouvert.
Les Fiches du Cinéma
Ari Aster donne suite à Hérédité et Midsommar avec une comédie horrifique inattendue, pleine de promesses, mais qui s’essouffle vite.
Télé Loisirs
Après une première heure sidérante, le film, qui a le mérite de ne ressembler à aucun autre, vaut surtout pour l'extraordinaire prestation de Joaquin Phoenix.
Télérama
Le résultat mérite d’être découvert pour le brio étourdissant de son début – l’équivalent d’un moyen métrage. Le reste, on le laisse à Ari Aster, cinéaste qui gagnerait à contenir son talent.
Cahiers du Cinéma
[...] en théâtralisant d’emblée la matière psychanalytique de son histoire, Aster se prive d’un précieux atout. Car le malaise saisissant que parvenaient à susciter Hérédité et Midsommar tenait à leur lente et sournoise décoction, opérant un glissement très progressif du monde vers sa doublure hallucinée. Or Beau Is Afraid ne fait pas longtemps mystère que l’odyssée hagarde de son personnage relève du cauchemar pur et simple.
Critikat.com
La dimension retorse du film ne suffit pas à masquer sa faiblesse intrinsèque : trop copieux et redondant, il semble comme tirer à la ligne, jusqu’à l’étiolement.
GQ
Beau is Afraid ne manque certes pas de panache et d'ingéniosité quand il doit restituer à l’écran toutes les pensées noires de son héros, mais l'ensemble pèche par son inconsistance et s'avère bien moins fascinant que ce que le cinéaste en rêvait.
L'Humanité
Malheureusement, il reste à ce stade deux heures de film à dérouler et un gros ventre mou à se farcir. C’est l’épopée œdipienne de Beau, qui, au gré de ses pérégrinations, expérimentera différents types de foyers, symbolisés par des accouchements métaphoriques.
Le Figaro
Il était moins une. Beau is Afraid dure 2 heures 59 minutes. Ouf. Il aurait sans doute été impossible de supporter une seconde de plus. Pourtant, le début s’annonçait bien.
Les Echos
Ari Aster signe un cauchemar loufoque et horrifique de trois heures, un voyage aux confins de la folie, foisonnant mais épuisant.
Mad Movies
CONTRE - Un film engoncé dans une thématique préétablie, mis sous cloche au point de ne plus pouvoir respirer, et en fin de compte, totalement désincarné.
Le Parisien
Va pour cette philosophie narquoise et désabusée du chaos, mais pas de cette manière, plombée par une lenteur exaspérante et un recours systématique à la métaphore et au quinzième degré : assommant !