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Farfalle
10 abonnés
266 critiques
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2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ouahhhh, quel film bizarre !!!! Entre l'écoeurement et la fascination, c'est très bizarre !!! Il est clair que les scènes sont très crues et l'intrigue est quelquefois décousue, mais on assiste - au moins- à la réalité des sentiments et de la vie. Certes c'est très cru mais n'est ce pas comme cela dans la vie ??? Entre personnes qui s'aiment ??? Qui se connaissent ??? Quant à Meg Ryan, je dois reconnaître qu'elle est une excellente actrice !!! Le film est très lent, mais j'ai tout de suite adhéré, loin des effets spéciaux, des fins a n'en plus finir, ce film a au moins une qualité : la réalité !!!
Dommage, Meg Ryan est très bien mais le film ne marche pas, l'intrigue n'est pas intéressante, les frustrations de l'actrice non plus, le tout avec une fin tirée par les cheveux au possible...bref, inutile d'aller le voir. Je préfère quand Jane Campion reste dans son registre, plus dramatique et personnel, sans fond de polar comme dans "Holly Smoke", excellent.
Jane Campion signe ici un p'tit érotico-thriller sympatoche et travaillé. Meg Ryan est méconnaissable et endosse un rôle de femme énigmatique avec force et conviction, loin du carcan d'éternelle trentenaire dans lequel on a voulu l'enfermer et pour lequel certaines critiques frustrées ont employé leurs oeuillères pour mieux casser Campion (que connaissez_vous de sa vie privée?). L'esthétique demeure le point fort de la réalisatrice et c'est vrai que l'intrigue est quelque peu mince, mais tout ça est proposé avec tant d'élégance qu'on en garde une impression de légèreté. A voir.
Jane Campion en panne ? Jamais vu film aussi ennuyeux, aussi vulgaire, aussi cousu de "fils blancs", dès le début je savais déjà qui était l'assassin, tant ce film est plein de clichés, de "déjà-vu". En plus, il y a des invraisemblances, des situations inutiles. Meg Ryan se traîne lamentablement dans ce polar stupide, on a franchement envie de lui conseiller un bon psy tant son comportement est incohérent. J'avais tellement le temps de me déconcentrer, que je m'amusais à noter les détails classiques du genre : lumière sombre, boîtes de nuits sordides, Meg Ryan qui se ballade dans un New York sordide, humide, dangereux, brrrr ! Mille fois déjà vu, elle perd sans arrêt ses godasses, se trimbale avec une valise à roulettes (on ne sait pas pourquoi) emmène ses élèves dans des bars à putes : bref, complètement ridicule, du "serial-killer" déjà fait mais en mieux, et en plus avec des séquences caméra-aux-poings à vomir, des gros plans douteux etc.... !!! A éviter d'urgence !
Un film vraiment troublant. Meg Ryan se met véritablement à nue dans cette histoire sordide et charnelle. Mais si Jane Campion excelle dans la mise en scène (l'ambiance du film, comme la photo sont travaillés), l'histoire laisse un goût amer. L'intrigue policière (nullisime et incohérente) comme la romance avec un flic pervers sont complètement bancales.
Jane Campion signe ici un film aussi glauque que sensuel, gardant le désir sexuel comme pilier de l'oeuvre pour développer un thriller ambitieux, travaillé et haletant. La première fois que je trouve Mark Ruffalo aussi bon, à un niveau de charisme maximal, il arrive avec brio à incarner et installer une tension sexuelle à couper au couteau, accompagné du talent brut de Meg Ryan qui est totalement impliquée dans son rôle. Des images très belles, des dialogues géniaux et des personnages complexe, ce film rassemble tous les éléments nécessaires pour en faire une oeuvre policière engagée et libérée réussite à 100%.
New-York. Un tueur en série de la pire espèce, un découpeur de femmes en petits morceaux, a pris ses "habitudes" dans le quartier et même dans l'entourage de Frannie (Meg Ryan), professeur de lettres en mal d'amour et que sa sexualité travaille au moins autant que l'argot new-yorkais qu'elle étudie. Frannie a été le témoin involontaire d'une scène très érotique qui l'a scotchée et au cours de laquelle elle a remarqué un petit tatouage sur le bénéficiaire du blow job (filmé avec complaisance par Jane Campion), ce détail servant ensuite de fil conducteur à l'histoire. Il se trouve que le flic chargé de l'enquête (Marc Ruffalo), peu sympathique mais séduisant aux yeux de Meg-Frannie, a le comportement et les stigmates du suspect idéal. Dès lors, on évolue dans un climat poisseux, malsain, anxiogène et légèrement confus, une ambiance étrange qu'alourdit encore la photographie (quelquefois très belle, notamment dans les scènes de pluie nocturne sur la ville) cantonnée dans le crépusculaire et l'obscur. On se demande qui de éros et de thanatos finira par l'emporter dans ce jeu érotico-pervers entre la prof de lettres et ce drôle d'inspecteur, aussi moustachu qu'inquiétant et cynique. Pendant ce temps, l'intrigue policière avance à pas de nain et, bien souvent, l'on s'ennuie ferme, attendant avec impatience le dénouement. Le scénario se révèle trop pauvre et trop paresseux pour nous "prendre aux tripes". Il faut vraiment aimer Meg Ryan et avoir fait provision de patience pour ne pas décrocher. La fin, assez banale (du déjà-vu) ne relève en rien l'ensemble du film. Très très moyen donc et c'est certain que, de Jane Campion, on préfèrera en rester à "la leçon de piano"...
Madame Campion a voulu réaliser un thriller psychologique sophistiqué, même si les images sortent de l’ordinaire, j'ai eu un peu de difficulté à rentrer dans ce film dont le scénario ne sort pas du tout de l'ordinaire. Très rapidement on voit comment va se terminer cette histoire ponctuée de quelques longueurs. Un petit film à l'ambiance glauque et parfois pesante illustré par une Meg Ryan quelque peu naïve dans ce rôle.
Je ne suis pas du tout rentré dans le film, pourvu selon moi d'un scénario bas de gamme, des acteurs peu impliqués ou se rendant compte de l'histoire inintéressante.
Je n'ai ni compris ni n'ai pu m'attacher à un seul des personnages.
Je consulte Télé 7 Jours pour le programme du soir et la critique Laurence Tournier décernant 777 (trois 7) à ce film avec Meg Ryan comme 1° role et Jane Campion aux commandes, Je m'apprète à passer une bonne soirée. Que nenni !! D'un scénario insipide ponctué de scènes de sexe (à la limite de la pornographie) à une Meg Ryan dont la transformation d'enseignante un brin coincée en une nymphomane affamée ... tout ceci frise le ridicule. Par ailleurs, il me semble discerner, chez Jane Campion, une certaine délectation pour les femmes soumises (La leçon de piano) et les éclairage aux bougies ... fantasmes ou troubles obsessionnels ?? En conclusion : un film à mettre aux oubliettes.
C'est nul. Les dialogues sont minables (c'est en plus mal doublé), et ne suscitent aucun désir, sauf pour Meg Ryan. L'intrigue est stupide, le scénario mal ficelé, certains personnages n'ont aucun intérêt. Comme les films pornos, il y a une histoire prétexte à des scènes érotiques. En plus, Meg Ryan ne se fait plus toute jeune et a les seins qui tombent !!!!
Un thriller sulfureux, excellemment joué par Meg Ryan, dont pour moi c'est le meilleur rôle de sa carrière -et qui aurait dû lui mériter une nomination aux oscars - et Mark Ruffalo, acteur à l'instinct animal ! On peut en voyant le début, penser que ce sera un banal thriller comme tant d'autre qui sortent à longueur d'années, mais la réalisatrice Jane Campion place les personnages dans des situations embarras-santes, quitte à les mettre en danger de mort.Quant aux seconds rôles, comme Jennifer Jason Leigh, on voit qu'elle n'est pas à l'aise dans le monde qui l'entoure, et que seule Meg Ryan lui apporte un peu de réconfort. Enfin, même avec un court second rôle, Kevin Bacon joue avec un minimun de retenue, son personnage ne lui en laissant pas davantage le choix.
Avec ce film, Jane Campion et Meg Ryan cassent leur image d'intellectuelle pour Campion et de fleur bleue pour Meg. In The cut (couteau dans la plaie) jeu de mot avec In the cunt (dans la chatte) est un thriller plutôt série B avec un habillage érotique soigné. Ce n'est certes pas le meilleur Campion mais il reste très honorable.