Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Jane Campion laisse au récit le soin de rassurer, et à la mise en scène le soin de troubler. Avec des comédiens qui semblent aussi malléables que la matière même du film, faite de rêves, de cauchemars et de mots sans cesse mouvants, l'exercice est assez virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Obs
par François Forestier
Jane Campion excelle dans ce malaise, ce sentiment de cauchemar froid. In the cut (...) est un film magnifique. Il y passe une poignante nostalgie de l'amour, et aussi une terrible peinture de la rouille intime des êtres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Intense, c'est bien le qualificatif pour In the cut, film qui tranche dans le vif et joue avec la bestialité de l'être humain (...) entre langueur et horreur. Dans le rôle de Frannie, Meg Ryan se livre comme jamais et trouve peut-être le rôle de sa vie.
Positif
par Olivier de Bruyn
Dans le camaïeu froid, mettalique et sombre de la ville, In the Cut laisse couler le rouge sang que Frannie (Meg Ryan) prend pour la couleur de la mort. Cinéaste de l'énergie et de l'élan vital, [Jane Campion] relève à chaque fois brillamment le défi qu'on lui lance. "Etonnez-nous!" Et dans ce mélange rare de grâce et de passion, Jane Campion nous étonne.
Première
par Olivier de Bruyn
Sensuelle et ultrasensible, la mise en scène traduit, avec une intense subtilité, les vacillements perceptibles de l'héroïne. (...) Toute l'action d'In the cut reflère l'urgence de l'attraction charnelle et du bouillonnement psy. Un tumulte qui ne s'oublie pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour cette nouvelle variation sur les arcanes de la féminité, Jane Campion a, encore une fois, trouvé une actrice qui s'en remet totalement à sa volonté. Il y a quelque chose de spécialement savoureux dans la manière dont Meg Ryan se livre à elle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Domnique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
In the Cut est une oeuvre inquiétante avec beaucoup de très belles scènes.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour sa première incursion en territoire américain, Jane Campion joue avec son matériau, avec ses spectateurs : en suivant les traces sanglantes qui parcourent In the Cut,on arrivera très loin des horreurs qui sont la récompense usuelle des amateurs de films gore, vers un monde à la fois plus secret et infiniment plus riche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Gilles Renault
Jane Campion, qui a toujours su jouer des ambiguïtés du rapport de séduction, malaxe ces éléments avec une aisance vénéneuse que nul ne contestera y compris dans un contexte urbain (New York) qui lui était peu familier. Mais ce qu'elle gagne en puissance n'est pas sans nuire à l'estampille.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
In the cut promet plus qu'il ne donne, abandonnant le spectateur sur un sentiment de frustration. La réalisatrice se concentre tellement sur l'atmosphère très sophistiquée de son récit, qu'elle délaisse progressivement le propos initial. Du thriller, il ne reste qu'une histoire sans suspense à la résolution presque grotesque ; du plaidoyer féministe, ne subsistent que quelques plans torrides.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Tout cela, qui est censé créer une atmosphère sensuelle et trouble de confusion, sert à enrober avec complaisance la crudité d'un sujet mal assumé. Jane Campion a beau montrer à l'écran un sexe d'homme ou intituler son film "Dans la fente", on a très envie qu'elle arrête ses chichis.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Il y a tant de suffisance et de préciosité dans In the cut, pour un résultat plus que médiocre, qu'on en vient à se demander ce que Jane Campion a désormais à nous dire. Peut-être qu'elle se sent bien en spécialiste du bluff, tantôt du côté de la netteté froide (La Leçon de piano), tantôt du côté du flou chaud (In the cut).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré un filmage parfois chichiteux - jouant sur le flou et le net -, cette oeuvre assez réaliste restitue avec justesse l'ambiance new-yorkaise. Même si l'intrigue, en soi, n'a pas grand-chose d'excitant ni d'original.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) cette histoire pour exister et impressionner devrait être filmée avec simplicité et sobriété, mais la cinéaste soit s'y refuse, une question de statut peut-être, soit en est incapable (...) Ce n'est malheureusement qu'une déception de plus de la part d'une cinéaste en perte de vitesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
Jane Campion filme flou, confus et nous laisse sur une impression de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
Jane Campion laisse au récit le soin de rassurer, et à la mise en scène le soin de troubler. Avec des comédiens qui semblent aussi malléables que la matière même du film, faite de rêves, de cauchemars et de mots sans cesse mouvants, l'exercice est assez virtuose.
L'Obs
Jane Campion excelle dans ce malaise, ce sentiment de cauchemar froid. In the cut (...) est un film magnifique. Il y passe une poignante nostalgie de l'amour, et aussi une terrible peinture de la rouille intime des êtres.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Intense, c'est bien le qualificatif pour In the cut, film qui tranche dans le vif et joue avec la bestialité de l'être humain (...) entre langueur et horreur. Dans le rôle de Frannie, Meg Ryan se livre comme jamais et trouve peut-être le rôle de sa vie.
Positif
Dans le camaïeu froid, mettalique et sombre de la ville, In the Cut laisse couler le rouge sang que Frannie (Meg Ryan) prend pour la couleur de la mort. Cinéaste de l'énergie et de l'élan vital, [Jane Campion] relève à chaque fois brillamment le défi qu'on lui lance. "Etonnez-nous!" Et dans ce mélange rare de grâce et de passion, Jane Campion nous étonne.
Première
Sensuelle et ultrasensible, la mise en scène traduit, avec une intense subtilité, les vacillements perceptibles de l'héroïne. (...) Toute l'action d'In the cut reflère l'urgence de l'attraction charnelle et du bouillonnement psy. Un tumulte qui ne s'oublie pas.
Télérama
Pour cette nouvelle variation sur les arcanes de la féminité, Jane Campion a, encore une fois, trouvé une actrice qui s'en remet totalement à sa volonté. Il y a quelque chose de spécialement savoureux dans la manière dont Meg Ryan se livre à elle.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
In the Cut est une oeuvre inquiétante avec beaucoup de très belles scènes.
Le Monde
Pour sa première incursion en territoire américain, Jane Campion joue avec son matériau, avec ses spectateurs : en suivant les traces sanglantes qui parcourent In the Cut,on arrivera très loin des horreurs qui sont la récompense usuelle des amateurs de films gore, vers un monde à la fois plus secret et infiniment plus riche.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Jane Campion, qui a toujours su jouer des ambiguïtés du rapport de séduction, malaxe ces éléments avec une aisance vénéneuse que nul ne contestera y compris dans un contexte urbain (New York) qui lui était peu familier. Mais ce qu'elle gagne en puissance n'est pas sans nuire à l'estampille.
aVoir-aLire.com
In the cut promet plus qu'il ne donne, abandonnant le spectateur sur un sentiment de frustration. La réalisatrice se concentre tellement sur l'atmosphère très sophistiquée de son récit, qu'elle délaisse progressivement le propos initial. Du thriller, il ne reste qu'une histoire sans suspense à la résolution presque grotesque ; du plaidoyer féministe, ne subsistent que quelques plans torrides.
Cahiers du Cinéma
Tout cela, qui est censé créer une atmosphère sensuelle et trouble de confusion, sert à enrober avec complaisance la crudité d'un sujet mal assumé. Jane Campion a beau montrer à l'écran un sexe d'homme ou intituler son film "Dans la fente", on a très envie qu'elle arrête ses chichis.
Chronic'art.com
Il y a tant de suffisance et de préciosité dans In the cut, pour un résultat plus que médiocre, qu'on en vient à se demander ce que Jane Campion a désormais à nous dire. Peut-être qu'elle se sent bien en spécialiste du bluff, tantôt du côté de la netteté froide (La Leçon de piano), tantôt du côté du flou chaud (In the cut).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Malgré un filmage parfois chichiteux - jouant sur le flou et le net -, cette oeuvre assez réaliste restitue avec justesse l'ambiance new-yorkaise. Même si l'intrigue, en soi, n'a pas grand-chose d'excitant ni d'original.
L'Obs
(...) cette histoire pour exister et impressionner devrait être filmée avec simplicité et sobriété, mais la cinéaste soit s'y refuse, une question de statut peut-être, soit en est incapable (...) Ce n'est malheureusement qu'une déception de plus de la part d'une cinéaste en perte de vitesse.
Les Inrockuptibles
Jane Campion filme flou, confus et nous laisse sur une impression de déjà-vu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com