Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un premier long métrage à l’étonnante maîtrise narrative.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Premier film, coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La réalisation sensible d’Aleem Khan excelle à évoquer des thèmes profonds sous un apparent minimalisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Habilement scénarisé et mis en scène, le film entraîne le spectateur dans son récit ambigu et bénéficie des prestations de ses deux actrices principales : l'étonnante Joanna Scanlan (Mary) et la toujours impeccable Nathalie Richard (Geneviève), comédienne bien trop rare sur nos écrans.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans After Love, son premier film prometteur, Aleem Kahn met en scène les faux-semblants familiaux avec une délicatesse et une intelligence qui hantent chaque scène. Une des révélations cinématographiques du moment.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Ariane Allard
After Love est donc moins un film sur le deuil que l’histoire, pleine d’intelligence et d’amour, d’un éveil. On se laisse d’autant mieux embarquer que sa photo est splendide et ses actrices (Joanna Scanlan et Nathalie Richard), magnifiques de pudeur et d’élégance.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un premier film vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Loin de tous les stéréotypes sur la condition féminine au sein d’une communauté musulmane, After Love est d’une indéniable beauté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un point de départ intéressant, mais la confrontation entre les deux femmes tourne court.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il y a là un regard empathique et subtil, une pudeur qui n'empêche jamais l'émotion d'affleurer, et deux comédiennes remarquables de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Si le film est porté par des acteurs sachant donner vie à leurs personnages, la réalisation, trop modeste, l’empêche de laisser un souvenir marquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une telle histoire aurait mérité une réalisation plus affirmée.
Ouest France
par La Rédaction
Séduisant en première partie, flirtant avec le fantastique, le film devient ensuite trop explicatif pour que le charme opère totalement.
Première
par Thomas Baurez
Malheureusement, une fois bien installé, le récit se déleste de son mystère et sa retenue. L’interprétation si juste jusqu’ici, fait soudain déborder les émotions rompant définitivement le charme originel. Le mélo ne passe pas. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
La délicatesse hyperbolique du film se retourne contre lui, et en voulant avoir l'air de ne pas y toucher, il finit en effet par ne plus toucher du tout. Des multiples projets qu'il se propose de traiter, il ne sera finalement pas vraiment question.
Libération
par Sandra Onana
On a l’impression d’avoir vu mille fois auparavant cet arsenal d’émotions discrètes, verrouillé dans un scénario que même une mise en scène affirmée (ce dont le film manque cruellement) aurait peiné à rendre mémorable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Un premier long métrage à l’étonnante maîtrise narrative.
L'Obs
Premier film, coup de maître.
La Croix
La réalisation sensible d’Aleem Khan excelle à évoquer des thèmes profonds sous un apparent minimalisme.
Les Echos
Habilement scénarisé et mis en scène, le film entraîne le spectateur dans son récit ambigu et bénéficie des prestations de ses deux actrices principales : l'étonnante Joanna Scanlan (Mary) et la toujours impeccable Nathalie Richard (Geneviève), comédienne bien trop rare sur nos écrans.
Marianne
Dans After Love, son premier film prometteur, Aleem Kahn met en scène les faux-semblants familiaux avec une délicatesse et une intelligence qui hantent chaque scène. Une des révélations cinématographiques du moment.
Positif
After Love est donc moins un film sur le deuil que l’histoire, pleine d’intelligence et d’amour, d’un éveil. On se laisse d’autant mieux embarquer que sa photo est splendide et ses actrices (Joanna Scanlan et Nathalie Richard), magnifiques de pudeur et d’élégance.
Télérama
Un premier film vibrant.
aVoir-aLire.com
Loin de tous les stéréotypes sur la condition féminine au sein d’une communauté musulmane, After Love est d’une indéniable beauté.
Le Figaro
Un point de départ intéressant, mais la confrontation entre les deux femmes tourne court.
Le Journal du Dimanche
Il y a là un regard empathique et subtil, une pudeur qui n'empêche jamais l'émotion d'affleurer, et deux comédiennes remarquables de justesse.
Les Fiches du Cinéma
Si le film est porté par des acteurs sachant donner vie à leurs personnages, la réalisation, trop modeste, l’empêche de laisser un souvenir marquant.
Le Monde
Une telle histoire aurait mérité une réalisation plus affirmée.
Ouest France
Séduisant en première partie, flirtant avec le fantastique, le film devient ensuite trop explicatif pour que le charme opère totalement.
Première
Malheureusement, une fois bien installé, le récit se déleste de son mystère et sa retenue. L’interprétation si juste jusqu’ici, fait soudain déborder les émotions rompant définitivement le charme originel. Le mélo ne passe pas. Dommage.
Cahiers du Cinéma
La délicatesse hyperbolique du film se retourne contre lui, et en voulant avoir l'air de ne pas y toucher, il finit en effet par ne plus toucher du tout. Des multiples projets qu'il se propose de traiter, il ne sera finalement pas vraiment question.
Libération
On a l’impression d’avoir vu mille fois auparavant cet arsenal d’émotions discrètes, verrouillé dans un scénario que même une mise en scène affirmée (ce dont le film manque cruellement) aurait peiné à rendre mémorable.