Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
Film hanté, Walden travaille sans relâche l’idée de « déplacement », promenant le spectateur dans le temps, entre la fin des années 1980 et l’époque contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Chronique romantique douce et amère d’une époque où la liberté s’osait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
C’est le petit miracle du film de parvenir à faire du lac un royaume originel, œil de la terre et noyau de l’âme, filmé nu dans son vent pur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Un mélange subtil et réussi de gravité et de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Si le récit, attendu, peine à faire revivre l’épaisseur historique de vies révolues, la manière sensuelle de saisir les corps en contact avec la nature restitue avec justesse cette impossibilité même, et la subsistance de sensations furtives.
Culturopoing.com
par Eleonore Vigier
Walden produit sur nous la sensation d’une caresse, d’un effleurement, d’une résonance lointaine, mais parfois trop lointaine encore pour nous imprégner totalement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre l’inquiétude rageuse des années 1980 et la résignation douloureuse des rescapés dont les espoirs ont été fracassés, ce film mélancolique montre le deuil impossible d’une génération sacrifiée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Nicolas Geneix
Bojena Horackova continue de sonder les déchirures mélancoliques de l’exil dont on ne se remet jamais.
Télérama
par Jacques Morice
Malgré sa froideur parfois dommageable, cette élégie imprégnée d’éléments autobiographiques — la réalisatrice a grandi en Tchécoslovaquie avant d’en partir — touche par sa manière délicate de dépeindre aussi bien les contraintes du quotidien que les espoirs, les peurs et les désillusions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Le résultat donne une œuvre d’une poésie mélancolique et sans illusions, qui rappelle l’air de rien comment les anciens pays du bloc communiste attendaient un changement qui n’a jamais vraiment eu lieu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Ce film dresse le portrait de la jeunesse lituanienne de cette période tout en racontant le retour de Jane, installée ensuite à Paris, 30 ans après. Et aurait gagné à se concentrer sur le premier point qui se suffit à lui- même par la finesse de son regard que le jeu de flashbacks- flashforwards alourdit sans rien n’apporter de transcendant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Film hanté, Walden travaille sans relâche l’idée de « déplacement », promenant le spectateur dans le temps, entre la fin des années 1980 et l’époque contemporaine.
Les Fiches du Cinéma
Chronique romantique douce et amère d’une époque où la liberté s’osait.
Les Inrockuptibles
C’est le petit miracle du film de parvenir à faire du lac un royaume originel, œil de la terre et noyau de l’âme, filmé nu dans son vent pur.
Libération
Un mélange subtil et réussi de gravité et de légèreté.
Cahiers du Cinéma
Si le récit, attendu, peine à faire revivre l’épaisseur historique de vies révolues, la manière sensuelle de saisir les corps en contact avec la nature restitue avec justesse cette impossibilité même, et la subsistance de sensations furtives.
Culturopoing.com
Walden produit sur nous la sensation d’une caresse, d’un effleurement, d’une résonance lointaine, mais parfois trop lointaine encore pour nous imprégner totalement.
L'Obs
Entre l’inquiétude rageuse des années 1980 et la résignation douloureuse des rescapés dont les espoirs ont été fracassés, ce film mélancolique montre le deuil impossible d’une génération sacrifiée.
Positif
Bojena Horackova continue de sonder les déchirures mélancoliques de l’exil dont on ne se remet jamais.
Télérama
Malgré sa froideur parfois dommageable, cette élégie imprégnée d’éléments autobiographiques — la réalisatrice a grandi en Tchécoslovaquie avant d’en partir — touche par sa manière délicate de dépeindre aussi bien les contraintes du quotidien que les espoirs, les peurs et les désillusions.
aVoir-aLire.com
Le résultat donne une œuvre d’une poésie mélancolique et sans illusions, qui rappelle l’air de rien comment les anciens pays du bloc communiste attendaient un changement qui n’a jamais vraiment eu lieu.
Première
Ce film dresse le portrait de la jeunesse lituanienne de cette période tout en racontant le retour de Jane, installée ensuite à Paris, 30 ans après. Et aurait gagné à se concentrer sur le premier point qui se suffit à lui- même par la finesse de son regard que le jeu de flashbacks- flashforwards alourdit sans rien n’apporter de transcendant.