Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
Les films de Marie Dumora sont relâchés, montés souplement, avec de l’air, laissant souffler en eux l’apparemment insignifiant et le non-symbolique, parce qu’ils sont libres – qu’ils nous laissent libre d’y raconter ce qui nous parle, ce qui s’adresse, des vies captées, des relations comprises, à chacune et chacun d’entre nous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela pour dire que notre système de protection sociale permet parfois d’enrayer l’engrenage dans lequel est entraînée une famille paria. Évolution vertueuse qui est complétée et mise en parallèle avec l’omniprésence de la nature vosgienne, avec « l’appel de la forêt », chère à London, qui fournit une scansion au récit et un terrain de jeu à Nicolas et à son meilleur ami.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une approche empathique, une capacité à émouvoir sans effet de manche, un talent pour rendre au réel son romanesque en le saisissant dans ce qu'il a de brutal et de beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
L'art de Marie Dumora est précisément celui des distances, et donc, par extension, de la proximité.
Positif
par Yann Tobin
Marie Dumora ne fait ni un constat politique sur les foyers éducatifs, ni une étude anthropologique sur une minorité ethnique (d’ailleurs persécutée par le régime nazi dans cette région même), ni un pamphlet contre le déterminisme social, mais son film parle aussi de tout cela à la fois, tout en préservant l’essentiel, à savoir le portrait d’un garçon taiseux mais vif qu’elle a vu naître et évoluer.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Il ne faut pas se laisser tromper par la modestie de l’objet, par son apparente simplicité. Loin de vous j’ai grandi s’inscrit en effet dans une œuvre documentaire passionnante.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Dumora, en s’attachant à Nicolas, filme aussi plus que jamais une distance de soi à soi. Non pas un voyage comme celui d’Ulysse dont le jeune garçon lit les aventures, mais un cheminement entre deux points de l’existence. C’est la grandeur discrète de Dumora : par un sens de la présence, du cérémonial individuel et social, faire s’épaissir des figures pour atteindre un alliage de quotidienneté et de tragique.
La Croix
par Céline Rouden
Un récit touchant qui est une invitation à découvrir l’ensemble de l’œuvre sensible de cette réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thierry Chèze
La cinéaste sait filmer l’intime avec une infinie justesse, sans forcer le trait ou à l’inverse se détourner de la dureté de certaines situations. Toujours parfaitement à sa place, elle signe une œuvre aussi incroyablement poignante qu’attachante qui donne une furieuse envie de connaître la suite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La rédaction
La cinéaste poursuit sa fresque familiale en explorant délicatement la thématique de l’exil : une expérience de la distance, entre quête d’altérité et retour parmi les siens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un portrait touchant mais un peu longuet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
Les films de Marie Dumora sont relâchés, montés souplement, avec de l’air, laissant souffler en eux l’apparemment insignifiant et le non-symbolique, parce qu’ils sont libres – qu’ils nous laissent libre d’y raconter ce qui nous parle, ce qui s’adresse, des vies captées, des relations comprises, à chacune et chacun d’entre nous.
L'Humanité
Cela pour dire que notre système de protection sociale permet parfois d’enrayer l’engrenage dans lequel est entraînée une famille paria. Évolution vertueuse qui est complétée et mise en parallèle avec l’omniprésence de la nature vosgienne, avec « l’appel de la forêt », chère à London, qui fournit une scansion au récit et un terrain de jeu à Nicolas et à son meilleur ami.
Le Journal du Dimanche
Une approche empathique, une capacité à émouvoir sans effet de manche, un talent pour rendre au réel son romanesque en le saisissant dans ce qu'il a de brutal et de beau.
Le Monde
L'art de Marie Dumora est précisément celui des distances, et donc, par extension, de la proximité.
Positif
Marie Dumora ne fait ni un constat politique sur les foyers éducatifs, ni une étude anthropologique sur une minorité ethnique (d’ailleurs persécutée par le régime nazi dans cette région même), ni un pamphlet contre le déterminisme social, mais son film parle aussi de tout cela à la fois, tout en préservant l’essentiel, à savoir le portrait d’un garçon taiseux mais vif qu’elle a vu naître et évoluer.
Transfuge
Il ne faut pas se laisser tromper par la modestie de l’objet, par son apparente simplicité. Loin de vous j’ai grandi s’inscrit en effet dans une œuvre documentaire passionnante.
Cahiers du Cinéma
Dumora, en s’attachant à Nicolas, filme aussi plus que jamais une distance de soi à soi. Non pas un voyage comme celui d’Ulysse dont le jeune garçon lit les aventures, mais un cheminement entre deux points de l’existence. C’est la grandeur discrète de Dumora : par un sens de la présence, du cérémonial individuel et social, faire s’épaissir des figures pour atteindre un alliage de quotidienneté et de tragique.
La Croix
Un récit touchant qui est une invitation à découvrir l’ensemble de l’œuvre sensible de cette réalisatrice.
Première
La cinéaste sait filmer l’intime avec une infinie justesse, sans forcer le trait ou à l’inverse se détourner de la dureté de certaines situations. Toujours parfaitement à sa place, elle signe une œuvre aussi incroyablement poignante qu’attachante qui donne une furieuse envie de connaître la suite.
Télérama
La cinéaste poursuit sa fresque familiale en explorant délicatement la thématique de l’exil : une expérience de la distance, entre quête d’altérité et retour parmi les siens.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait touchant mais un peu longuet.