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Votre avis sur Un Homme d'exception ?
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Immersion dans ce que fut la vie d'un génie des math et prix Nobel. C'est diaboliquement tourné et semé d'indices qui trahissent un voile d'illusions (surveillé les pigeons). Très bon.
Théo Pouillet
Un sujet touchant, qui aborde la schizophrénie avec justesse et émotion. Même si les débuts sont un peut compliqué, le film s'envole grâce à sa mise en scène et le fait de parler de la maladie au travers du couple et des recherches. Une belle performance d'acteur pour Russell Crowe et un grand film pour Ron Howard.
T-Tiff
Il y avait de quoi faire un très bon film sur l'histoire de John Nash, Ron Howard a donc saisi l'opportunité pour faire un très bon film avec "Un homme d'exception". Réalisé avant le décès du brillant mathématicien, le film se penche surtout sur les années sombres de celui-ci lorsqu'il était rongé par la schizophrénie. Russell Crowe aurait pu briguer un second Oscar, après sa remarquable prestation dans "Gladiator", il passe ici de jeune étudiant brillant à malade mental en proie à des délires pour finir vieux sage recevant le prix Nobel. Alors, il n'y a certes pas de grandes fulgurances, et on pouvait presque attendre plus d'une telle histoire, mais Ron Howard donne tout de même tous les ingrédients de la réussite à son film, où l'histoire d'amour se mêle à la démence de l'économiste. "Un homme d'exception" est un film qui mérite totalement son Oscar du meilleur film.
Un excellent biopic autour de John Nash qui en fait beaucoup sur les à côté et l'émotion, mais est porté par un excellent Russell Crowe.
J'ai adoré ! Un super film à ne pas louper. Les acteurs sont excellents, Russel Crowe en tête. Et en plus c'est un biopic ! Il est très romancé mais c'est un biopic quand même.
Ca faisait une bonne quinzaine d'années que j'avais envie de voir ce film. Comme quoi, tout vient à point à qui sait attendre. Alors qu'en est-il ?
Hé bien j'ai beaucoup aimé. J'ai trouvé que c'était un film à la fois risqué, original, et beau.
Pourquoi risqué ? On a l'habitude de voir des biopics sur des Ray Charles, des Tina Turner ou des Mohammed Ali, des "stars" que tout le monde connait. Ici, le réalisateur nous fait le biopic d'un scientifique des années 50 que personnellement, je ne connaissais ni d'Eve, ni d'Adam. Et c'est vraiment passionnant de suivre sa vie jusqu'aux années 2000.
Pourquoi original ? alors là, ce serait un peu spoiler le film pour ceux qui ne l'ont pas encore vu donc je n'en dirais pas plus. On peut simplement dire que c'est un biopic tourné comme un thriller psychologique, avec certaines scènes bien angoissantes ou stressantes. Ce qu'on voit très rarement dans un biopic. En gros, c'est donc un biopic qui ne ressemble à aucun autre.
Enfin, pourquoi c'est un beau film ? Pour le savoir, il vous faudra le regarder. Mais déjà la réalisation est impeccable, et puis les acteurs sont magnifiques, surtout Jennifer Connelly qui m'a complètement bluffé, je l'ai trouvé absolument magnifique, époustouflante, sublime dans ce film ; les mots me manquent...
Hé bien j'ai beaucoup aimé. J'ai trouvé que c'était un film à la fois risqué, original, et beau.
Pourquoi risqué ? On a l'habitude de voir des biopics sur des Ray Charles, des Tina Turner ou des Mohammed Ali, des "stars" que tout le monde connait. Ici, le réalisateur nous fait le biopic d'un scientifique des années 50 que personnellement, je ne connaissais ni d'Eve, ni d'Adam. Et c'est vraiment passionnant de suivre sa vie jusqu'aux années 2000.
Pourquoi original ? alors là, ce serait un peu spoiler le film pour ceux qui ne l'ont pas encore vu donc je n'en dirais pas plus. On peut simplement dire que c'est un biopic tourné comme un thriller psychologique, avec certaines scènes bien angoissantes ou stressantes. Ce qu'on voit très rarement dans un biopic. En gros, c'est donc un biopic qui ne ressemble à aucun autre.
Enfin, pourquoi c'est un beau film ? Pour le savoir, il vous faudra le regarder. Mais déjà la réalisation est impeccable, et puis les acteurs sont magnifiques, surtout Jennifer Connelly qui m'a complètement bluffé, je l'ai trouvé absolument magnifique, époustouflante, sublime dans ce film ; les mots me manquent...
videoman29
En 2002, le réalisateur Ron Howard (« Rush », « Apollo 13 » etc...) rend un superbe hommage à John Nash, « Un homme d'exception » et un mathématicien de génie, qui a eu un destin pour le moins surprenant. Les qualités techniques de son film sont inattaquables mais il faut vraiment saluer la belle écriture du scénario, tout en nuance et qui dévoile les faits avec une rare intelligence et beaucoup de retenue. L'ensemble est admirablement soutenu par un casting d'exception emmené par Russell Crowe et Jennifer Connelly qui interprètent avec naturel des personnages pourtant fort torturés. Il en résulte un très beau film qui ne peut laisser personne indifférent, d'autant que l'histoire est rigoureusement vraie. C'est du grand « 7ème art » que je vous incite à (re)découvrir toutes affaires cessantes... 4 Oscars, dont celui du meilleur film et autant de Golden Globes, quand même !
L'histoire réelle d'un schizophrène qui fut tout autant un génie tout au long de sa vie. On se laisse envoûter par l'intrigue, ses rebondissements et son dénouement rappelant quelque peu Shuffer Island. La réalisation est magnifique et le personnage principal particulièrement bien vieilli à la fin du film. Un hymne à la tolérance et une invitation à comprendre que la maladie mental n'empêche pas l'intelligence, voire le génie.
Ne connaissant pas la véritable histoire de John avant le film, j'ai été extrêmement surpris de la tournure de ce long métrage qui en surprendra plus d'un.
Un énorme bravo à Russell Crowe (sûrement du même niveau que Gladiator selon moi).
À titre de comparaison j'ai été nettement plus ému à travers l'histoire de John Forbes Nash que celle de Stephen Hawking "Une merveilleuse histoire du temps" que je conseil néanmoins.
Un énorme bravo à Russell Crowe (sûrement du même niveau que Gladiator selon moi).
À titre de comparaison j'ai été nettement plus ému à travers l'histoire de John Forbes Nash que celle de Stephen Hawking "Une merveilleuse histoire du temps" que je conseil néanmoins.
je trouve l'histoire, et les acteurs très bons, mais le film m'a déplu, long, je n'ai pas accroché.
c'est poignant mais agaçant, trop facile, on devine une grande partie...
je m'attendais vraiment à mieux, on me l'a peut être trop bien vendu!
c'est poignant mais agaçant, trop facile, on devine une grande partie...
je m'attendais vraiment à mieux, on me l'a peut être trop bien vendu!
Ce film de Ron Howard est une très bonne surprise. Le niveau est vraiment excellent pour tous les domaines : l'histoire, la mise en scène, les acteurs, la musique, l'ambiance... que du très haut niveau. L'histoire, relaté de faits réels, montre l'évolution de la vie de John Forbes Nash Jr, un célèbre mathématicien qui souffrit de schizophrénie. Cet homme sera sauvé et incroyablement aidé par sa femme. Le film, au final, rendra un magnifique hommage à Alicia Nash.
Bref : un homme d'exception qui révèlera une femme d'exception... magnifique !
Bref : un homme d'exception qui révèlera une femme d'exception... magnifique !
Le plus étonnant à propos de “A Beautiful Mind� réside dans le fait que Ron Howard a gagné l’Oscar du meilleur réalisateur devant David Lynch avec “Mulholland Drive� et Ridley Scott avec “Blackhawk Down,� dont les oeuvres sont d’un autre apport au cinéma que celle du lauréat. En adaptant le livre de Sylvia Nasar, le scénariste Akiva Goldsman a gommé antisémitisme et penchants homosexuels du personnage principal, pour mieux se concentrer sur le génie et la folie qui cohabitant dans le cerveau du mathématicien John Forbes Nash Jr. Malgré ce sujet peu ciné génique, Howard réalise un film à la lisibilité évidente, par le truchement d’un visuel aussi sobre qu’efficace. Malgré l’absence d’enjeu (la double personnalité est découverte assez tôt) le spectateur est tenu en haleine pendant deux heures et quart, la mise en scène “au plus près� apportant un surcroit de réalisme et de densité. Quant au casting, si la lumineuse Jennifer Connelly remporta logiquement l’Oscar du meilleur deuxième rôle, Ed Harris, excellent en inquiétant agent de la CIA, ne fut même pas nominé. Mais la surprise vient de l’Oscar du meilleur rôle masculin remporté par le cabotinant Russell Crowe. Sa prestation à la limite du grotesque fait passer Howard tout à côté d’un chef d’oeuvre. Tel quel “A Beautiful Mind� reste un grand film. Compte tenu des antécédents d’Howard, bon faiseur sans génie, c’est sans doute la surprise la plus inattendue!
Un film poignant et émouvant mais qui manque de quelque chose, d'une certaine épaisseur. l'histoire est belle, le film un peu moins.
Le film prend des ficelles de réalisation douteuses, le spectateur est trompé.
spoiler:
Il n'est pas possible de deviner que ce qui est montré est une hallucination dans la première partie du film, au moins dans la partie université
. C'est une majeure partie du film censée être le biopic de John Forbes Nash alors que la maladie spoiler: hallucinatoire
sur laquelle est basée le film n'était pas celle de Nash. Le début du film et sa fin sont davantage basés sur des faits, l'ambiguïté extrême du film est que Nash est montré "correctement" au début en Asperger syndrome du savant et à ce niveau R Crowe maintient ce rôle ingrat le long du film. La véritable maladie de Nash était des crises d'angoisses à tendance paranoïaque du fait du climat de la guerre froide dans laquelle il a été impliqué, de la tension lié à l'incompréhension et manque de soutient qu'il a rencontré (la vie conjugale de Nash dans le film est aussi une tromperie) ensuite du fait de mauvais traitement des médicaments et électrochocs. Il a ensuite réussit à retrouver son intégrité après avoir échappé à ces mauvais traitements. spoiler: Les hallucinations visuelles
sont une pure invention du film sans rapport avec son vécu. J'hésite avec la note de 0.5 tant c'est une tromperie mais choisit 2 pour les acteurs dans un film construit malgré son indignité.
. C'est une majeure partie du film censée être le biopic de John Forbes Nash alors que la maladie spoiler: hallucinatoire
sur laquelle est basée le film n'était pas celle de Nash. Le début du film et sa fin sont davantage basés sur des faits, l'ambiguïté extrême du film est que Nash est montré "correctement" au début en Asperger syndrome du savant et à ce niveau R Crowe maintient ce rôle ingrat le long du film. La véritable maladie de Nash était des crises d'angoisses à tendance paranoïaque du fait du climat de la guerre froide dans laquelle il a été impliqué, de la tension lié à l'incompréhension et manque de soutient qu'il a rencontré (la vie conjugale de Nash dans le film est aussi une tromperie) ensuite du fait de mauvais traitement des médicaments et électrochocs. Il a ensuite réussit à retrouver son intégrité après avoir échappé à ces mauvais traitements. spoiler: Les hallucinations visuelles
sont une pure invention du film sans rapport avec son vécu. J'hésite avec la note de 0.5 tant c'est une tromperie mais choisit 2 pour les acteurs dans un film construit malgré son indignité.
Je suis "tombée " par hasard "sur ce film , moi qui m'endors toujours devant la télé J'ai été totalement subjuguée par ce film
Il m'a touchée , troublée .Un des plus beaux films que j'ai cu
Il m'a touchée , troublée .Un des plus beaux films que j'ai cu
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