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Alejandro Almodoclint
18 abonnés
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1,0
Publiée le 31 janvier 2010
Un biopic…qui raconte le destin de John Forbes Nash (prix Nobel d’économie en 1994 pour sa fameuse théorie des jeux après avoir traversé 25 ans de schizophrénie). Cette maladie est d’ailleurs le sujet du film : comment vivre avec cette névrose qui envahit l’esprit, entraine la dégénérescence du cerveau et qui a provoqué chez Nash son internement ? Très compliqué mais il a appris à vivre avec cette maladie et cela ne l’a donc pas empêché d’etre un homme brillant… Hélas, il n’y a que le personnage réel qui soit brillant car la réalisation de Ron Howard n’est pas à la hauteur : comme souvent chez Howard, c’est de la mise en scene classique avec certes un réel pouvoir d’émotion mais trop académique pour être envoutante. L’ennui est exécrable dans la 1ère demi-heure, ensuite ça s’accélère mais c’est décevant… Alors même si Jennifer Connelly est brillante, est-ce suffisant pour faire un bon film ? Bien sur que non, surtout quand Russell Crowe est si peu crédible (du moins au début en étudiant)
Surprenant, magnifiquement bien joué, une mise en scène sans faille, on est entrainé dans un tourbillon de questions sans réponse. Le scénario à la "fight club" m'a quelque peu agacé mais qu'importe, mon regard sur une maladie méconnue est enrichi et au final j'ai passé un très bon moment ;)
Film lent mais qui se laisse regarder. L'intérêt est qu'il est base sur une histoire vrai et nous fait cogiter sur la conscience et la réalité. Mais bon rien de transcendant comme dans tous les films de ron Harris.
Un film vraiment extraordiniare, qui vous reste en memoire tres longtemps, a remarquer l'extraordinaire performance de Russel Crow et la realisation talentueuse de Ron Howard, film a voir absolument!!!
Un homme d'exception peut-être, mais sans grand intérêt... L'histoire est intéressante et qui plus est inspiré de faits réels mais traitée avec tellement de monotonie que la fin m'a semblé trop loin. En résumé, le film était trop long et trop lent. Et Russel Crowe qui offre une sublime performance mérite mieux qu'un film où il ne peut exprimer l'étendu de son talent.
Il faut bien comprendre que le réalisateur a exagéré les symptômes les plus caricaturaux et les moins fréquents de la schizophrénie (surtout avec les traitements bien plus efficaces d'aujourd'hui), car il y a des formes et des degrés de gravité très différents. Mon frère en souffre et la plupart du temps ses symptômes sont imperceptibles, c'est surtout des troubles de la communication et des incapacités à entreprendre des actions. Mais au moins pour une fois on ne les fait pas passer pour des psychopathes tueurs ou des "doubles personnalités" pour faire frissonner dans les chaumières!
Ce film a été massacré par la presse : ne lisez pas ce qu'ils écrivent, regardez le car même s'il n'est pas parfait, il est doté d'une excellente interprétation.
Si ce film est aussi réussi, c'est assurément grâce à l'extraordinaire performance de Russell Crowe, tout simplement génial dans son rôle de surdoué un peu bizarre. La vie de John Forbes Nash Jr était effectivement un scénario à elle toute seule, bien retranscrite sur grand écran par Ron Howard. Ce film est prenant avec l'évolution du personnage principal, et on en sort bouleversé.
Très beau film biographique de Ron Howard, dans lequel Russel Crowe incarne de manière très réussie l’un des génies mathématiques du XXe siècle, John Forbes Nash (prix Nobel d’économie). L’histoire nous entraine dans la tourmente de l’esprit de Nash, atteint très tôt par la schizophrénie, à l’aube d’une carrière scientifique prometteuse. C’est comme s’il eut été en quelque sorte victime d’une passion excessive pour l’usage de la raison. Mention spéciale aussi à Jennifer Connely, qui joue la femme parfaite. Seul bémol, le film ne nous épargne pas sur la fin l’utilisation de quelques ressorts dramatiques grand spectacle, décrédibilisant un peu la réalité au profit de la fiction.