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DarkgothBTZ
53 abonnés
1 080 critiques
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3,0
Publiée le 22 mars 2012
Autant le film est d'un réalisme impressionnant et Russell Crowe joue magistralement bien, mais la 2e partie du film essouffle, c'est long et ennuyeux. Avis partagé donc.
Des hallucinations présentent dans la tête du spectateur et du mathématicien .Ce qui nous permet ,à nous spectateur ,de prendre le rôle de "fou" et par conséquent ,de mieux comprendre ce que ressent le mathématicien .Une réalisation originale et fidèle.
Un homme d’exception = un film d'exception!!!! le film traite super bien la schizophrénie et les émotions sont bien ressenties grâce aux musiques exceptionnelles du film!!! Un film a ne surtout pas rater !!!!
Un excellent drame avec Russell Crowe et Jennifer Connelly. Un professeur de mathématiques est hanté de visions d'amis imaginaires. La plus dangereuse de ses visions est joué par le grand Ed Harris.
Un très bon film qui laisse songeur en voyant les halluciantion qu'il est possible d'avoir. Le choc est grand lorsque l'on apprend ce qui va tout changé dans le film !
Avant de le voir je ne m'attendait pas à un film aussi poignant ! D'après l'histoire vraie du mathématicien John Nash, ce film nous transporte dans un monde étrange de par la condition instable du personnage principal et de part l'envoutement qu'il nous impose. Ca tient la route, et on y croit.
A voir, ne serait-ce que pour les amateurs de Russell Crowe. Ou alors juste pour la musique..
Il y a un problème majeur dans ce film. Ce n'est pas les interprètes, plutôt bons; ce n'est pas la mise en scène, classique mais solide; ce n'est pas le côté hollywoodien qui fonctionne bien. Tout ça est très bien. Le gros défaut c'est ce scénario qui s'est permis d’aseptiser la réalité de cette histoire vraie pour coller à un moule tout aussi hollywoodien que ses qualités. Des faits modifiés, oubliés, gommés. Quid de l'homosexualité du héros ? de ses crises de folies bien plus extrêmes ? Un aspecte pas assez politiquement correct pour coller au label qualité Oscar. Et Ron Howard emballe tout ça sans se poser de question. Non, "Un homme d'exception" n'est pas une histoire vraie. C'est une histoire modifiée pour être plus correcte à regarder.
John Nash (interprété par Russell Crowe) était doué pour les mathématiques et aussi malade de schizophrénie. Les traitements qu'il a subis sont inhumains, au contraire de l'aide de sa femme et de ses amis. À peine arrivé à Princeton, le héros refuse d'aller en classe : "Les cours nous ramollissent l'esprit. Ils détruisent notre potentiel de vraie créativité." Voilà une phrase qui mérite réflexion. John Nash résume le monde à un jeu d'équations mathématiques, y compris les relations humaines, et pour la drague, ce n'est pas idéal, mais qu'est-ce que c'est drôle ! Pour le pousser à agir, William Parcher (Ed Harris) le titille : "Les convictions ne sont que le luxe des observateurs qui ne s'engagent pas." Encore une phrase qui mérite réflexion. Le script en propose plusieurs de cet acabit, comme pendant le discours de décembre 1994 lors de la remise du prix Nobel, John Nash s'adressant à sa femme assise dans le public : "Il n'y a que dans les mystérieuses équations de l'amour que l'on peut trouver raison et logique. Si je suis ici ce soir, c'est grâce à toi. Tu es ma raison d'être. Tu es toutes mes raisons. Merci." Quelle magnifique déclaration d'amour ! La réalisation de Ron Howard est superbe et mérite qu'on fasse un petit effort pour plonger dans l'univers des mathématiques avancées.
Ce film est un immense hommage à John Forbes Nash, mathématicien et économiste américain. Introverti et schizophrène, il a obtenu le prix Abel, la plus prestigieuse récompense en Mathématiques avec la médaille Fields (équivalents d'un prix Nobel). Le Golden Globes de Russell Crowe est largement mérité, les 4 oscars pour le film peut-être un peu moins. Même si l’histoire suffit à délivrer le message, la mise en scène reste un peu tiède et académique en glissant parfois dans le mélodrame. Le film aurait mérité 30 minutes de moins. Ed Harris est parfait, comme toujours. C’est un bon film mais pas d’exception.
Le plus étonnant à propos de “A Beautiful Mind� réside dans le fait que Ron Howard a gagné l’Oscar du meilleur réalisateur devant David Lynch avec “Mulholland Drive� et Ridley Scott avec “Blackhawk Down,� dont les oeuvres sont d’un autre apport au cinéma que celle du lauréat. En adaptant le livre de Sylvia Nasar, le scénariste Akiva Goldsman a gommé antisémitisme et penchants homosexuels du personnage principal, pour mieux se concentrer sur le génie et la folie qui cohabitant dans le cerveau du mathématicien John Forbes Nash Jr. Malgré ce sujet peu ciné génique, Howard réalise un film à la lisibilité évidente, par le truchement d’un visuel aussi sobre qu’efficace. Malgré l’absence d’enjeu (la double personnalité est découverte assez tôt) le spectateur est tenu en haleine pendant deux heures et quart, la mise en scène “au plus près� apportant un surcroit de réalisme et de densité. Quant au casting, si la lumineuse Jennifer Connelly remporta logiquement l’Oscar du meilleur deuxième rôle, Ed Harris, excellent en inquiétant agent de la CIA, ne fut même pas nominé. Mais la surprise vient de l’Oscar du meilleur rôle masculin remporté par le cabotinant Russell Crowe. Sa prestation à la limite du grotesque fait passer Howard tout à côté d’un chef d’oeuvre. Tel quel “A Beautiful Mind� reste un grand film. Compte tenu des antécédents d’Howard, bon faiseur sans génie, c’est sans doute la surprise la plus inattendue!
Un bon film avec un bon jeu d'acteurs ! Ça permet de découvrir l'histoire de ce chercheur à la fois génie, schizophrène, père de famille. Il m'a manqué qqs aspérités, qqch de moins romancé mais film qui mérite notre intérêt ! 3,7/5
Long, vide et très ennuyeux. Les oscars, c'est un peu le même principe que le Goncourt, on y croit toujours avant et on est à peu près à chaque fois déçu.