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Un visiteur
0,5
Publiée le 6 septembre 2008
« Un homme d’exception » est un film de commande du gouvernement américain destiné à promouvoir des vocations de mathématiciens dociles, soumis aveuglément au pouvoir. Il s’adresse à des ados orgueilleux et misanthropes qui, tout en ayant des prédispositions en maths, seraient tentés de se marginaliser jusqu’à rejeter l’autorité suprême de l’Etat. Il est réalisé à une époque où la NSA (en particulier) est en mal tragique de nouvelles recrues d’ « exception » (des mathématiciens, malins de préférences). Il faut savoir que le personnel de la NSA est lourdement incité à vivre coupée du monde, dans la communauté restreinte de l’agence. Ce film répond à toutes ces exigences de séduction et de pré-conditionnement. En termes d’ingénierie sociale, c’est un très bon film. En termes cinématographiques, je l’ai trouvé plutôt bien. Mais en termes de démocratie, c’est une abjection – d’où mes 0 étoiles.
Ron Howard n’est certes pas le champion pour donner de l’épaisseur à une œuvre, mais bon, il maîtrise quand même pas trop mal les codes et tente toujours deux trois trucs pas trop mauvais. Après, j’avoue n’être vraiment convaincu par la performance en demi-teinte de Russel Crowe (enfin comme d’habitude quoi…) et la deuxième moitié du film part trop dans le sentimentalisme bon marché pour vraiment me convaincre. C’est dommage...
La vie d'un mathématicien sauce Holywood par Ron Howard: toutes les bonnes ficelles sont appliquées et trompent facilement le spectateur. A regarder rapidement.
Il y avait de quoi faire un très bon film sur l'histoire de John Nash, Ron Howard a donc saisi l'opportunité pour faire un très bon film avec "Un homme d'exception". Réalisé avant le décès du brillant mathématicien, le film se penche surtout sur les années sombres de celui-ci lorsqu'il était rongé par la schizophrénie. Russell Crowe aurait pu briguer un second Oscar, après sa remarquable prestation dans "Gladiator", il passe ici de jeune étudiant brillant à malade mental en proie à des délires pour finir vieux sage recevant le prix Nobel. Alors, il n'y a certes pas de grandes fulgurances, et on pouvait presque attendre plus d'une telle histoire, mais Ron Howard donne tout de même tous les ingrédients de la réussite à son film, où l'histoire d'amour se mêle à la démence de l'économiste. "Un homme d'exception" est un film qui mérite totalement son Oscar du meilleur film.
En 2002, le réalisateur Ron Howard (« Rush », « Apollo 13 » etc...) rend un superbe hommage à John Nash, « Un homme d'exception » et un mathématicien de génie, qui a eu un destin pour le moins surprenant. Les qualités techniques de son film sont inattaquables mais il faut vraiment saluer la belle écriture du scénario, tout en nuance et qui dévoile les faits avec une rare intelligence et beaucoup de retenue. L'ensemble est admirablement soutenu par un casting d'exception emmené par Russell Crowe et Jennifer Connelly qui interprètent avec naturel des personnages pourtant fort torturés. Il en résulte un très beau film qui ne peut laisser personne indifférent, d'autant que l'histoire est rigoureusement vraie. C'est du grand « 7ème art » que je vous incite à (re)découvrir toutes affaires cessantes... 4 Oscars, dont celui du meilleur film et autant de Golden Globes, quand même !
Poignant et bouleversant, Un homme d'exception rend un très bel hommage à l'histoire vraie de John Nash. Russel Crowe, très impliqué dans ce rôle, colle parfaitement au personnage et lui donne toute sa pertinence grâce à une prestation touchante. En revanche son aspect froid et effacé fait qu'on a un peu de mal par moment à s'attacher à ce personnage très fébrile et borné, mais là était sans doute le but. On s'y attache bien sûr, mais au final, je ressens personnellement davantage de compassion pour Alicia, très attachante et surtout forte, dont Jennifer Connely nous offre également une très belle prestation. L'intrigue nous offre de beaux moments de suspense, d'attente, de faux espoirs, et au final ne fait pas dans le sensationnel... mais dans la réalité d'un homme malade qui ne peut, et surtout, ne veut se soigner. Ce film mérite largement ses 4 oscars pour son scénario et ses personnages bluffants, et est à voir absolument.
*T'imagines ? Raté son oscar avec un téléphone* Il y a définitivement un problème dans " A Beautiful Mind ". Je pense que la faute doit être imputé à une narration peu efficace, qui traîne avec elle quarante autres bonnes minute de film après le twist principal. C'est embêtant. J'avais du mal à voir le twist en toute fin de film, donc je n'ai pas réellement de solution à ce problème. Je n'y peut rien à vrai dire. Howard compte l'histoire John Nash mathématicien qui a monter la fameuse théorie " d'économique des jeux", et qui fut atteint de schizophrénie tout au long de sa vie. Russel Crowe endosse avec brio un rôle qu'on aurait pu juger peu adéquat pour un homme de son gabarit ( un an auparavant il avait jouer dans Gladiator ) mais fait preuve d'une crédibilité sans faille ( même si les stéréotypes sur les mathématiciens sont encore une fois poussés à l'extrême, un peu comme dans Imitation Game ) et d'une intensité comme lui seul sait en dégager. Ce n'est plus un secret pour personne : Russel Crowe est charismatique. Entraider par la remarque Jennifer Connelly et par le second rôle d'Ed Harris, le réalisateur ne peut compter que sur ses fortes interprétations et sa réalisation habile pour rendre un biopic touchant mais mal schématisé selon moi au niveau du récit. Vraiment dommage.
Critique de "Un homme d'exception". Alors là merci les tags qui te spoilent le film sans pression, bon en même temps c'est un peu ma faute de fouiner partout. Sinon c'est un film qui se laisse regarder sans difficulté. Russell Crowe offre une belle prestation de plu après avoir incarné Maximus dans Gladiator. 3,5/5
Russel Crowe détient l un des ses meilleurs rôles avec Gladiator dans ce film . L histoire vraie de ce physicien est incroyable . spoiler: Le twist où l on se rencontre qu il est Schizophrène est tellement triste... : Super film .
Un film brillantissime je me suis laisser emporter tout au long du film et sur le personnage principal John nash interprété majestueusement bien par Rusell Crowe, un scénario très originale je m'attendais à un film sans fond j'ai était vraiment étonnée le film et touchant et nous fait non seulement montrer ce que le travail peut coûter mais a la fois jusqu'a la schizophrénie peut aller Rusell Crowe tient son rôle au bout des doights du début à la fin rien à redire sur cette performance ci ce n'est qu'elle est excellente et jennifer connely est aussi surprenante une actrice tres talentueuse .par contre pour bien comprendre le film faut l'avoir suivi du début sans louper aucun dialogue ni aucune scène car chaque détails et important dans ce film en parlant des dialogues il sont tous juste brillant on perçois beaucoup de morale a chaque fois qu'un personnage de ce film prend la parole, la bande son et vraiment magnique.
Ron Howard signe là une oeuvre adaptée de la biographie de John Nash, pourvue d'un scénario très bien écrit, d'un excellent casting et remarquablement interprété par Russell Crowe. Ce film est-il vraiment réel ?
Ce biopic Hollywoodien ( et donc un peu romancé) de la vie de John Nash est une véritable réussite. Le démarrage est un peu long mais le film prend vite de l'ampleur avec de nombreux bouleversements de situation et s'avère être exceptionnel. La performance de Russel Crowe est peu commune et la ravissante Jennifer Connely époustouflante. Les critiques de cinéma ont encore montré leur profonde incompétence en décriant ce film... Pressez vous de le voir si comme moi vous l'avez loupé à sa sortie, car rare sont les petites perles cinématographiques de ce genre.
Quelques films font tâche dans le travail talentueux mais souvent décevant de Ron Howard. Il a su réalisé de très bons films - De l'ombre à la lumière, Apollo 13 - comme il a su réalisé des ratés - DaVinci Code, Le Grinch - et avec Un homme d'exception, il parvient à prouver son talent certain à travers un biopic qui s'annonçait mal. Mal, pourquoi ? Tout simplement parce que la première partie est à mon avis raté. La découvert de la paranoïa de John Nash est beaucoup beaucoup trop prévisible pour prévoir une chute au beau milieu du film et c'est pourquoi j'ai trouvé que c'était le passage qui détruisait un peu le scénario. Mais après ces 45 première minutes, Un homme d'exception joue sur notre immersion dans la paranoïa du personnage. Où finit le complot, où commence la folie ? On ne peut ressortir de ce film sans envisager, ne serait-ce qu'un instant, que ce qui nous entoure n'est finalement peut être qu'une illusion de notre esprit. John Nash, le célèbre mathématicien, luttera contre sa maladie, épaulé par sa femme, jusqu'à l'obtention d'un prix Nobel de science économique. Ce rôle est interprété à la perfection par un Russel Crowe émouvant, fort, et sincère. Un des plus grands acteurs du moment. C'est clairement le genre d'acteurs qui peut faire passer un dialogue niais comme un grand dialogue de film et c'est ce qui se passe dans Un homme d'exception. Malheureusement, le film souffre d'une mise en scène pauvre et le scénario s'étire dans une longueur difficilement supportable. Un bon scénario mais que Ron Howard a rallongé afin de faire un film plus long mais le problème est qu'on finit pas ressentir un petit ennui. Mais Un homme d'exception reste un bon film en partie grâce au talent de Russel Crowe et à l’histoire vraie d'un mathématicien courageux qui a su vivre avec ses hallucinations jusqu'à sa mort. Un bon film.