Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Comment un combat politique peut-il émerger autrement que par l’indignation ? C’est ce que semble formuler le film de Nicholovitch, comme un avertissement murmuré à l’oreille de son·sa spectateur·trice.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jérémie Couston
C’est un geste politique et poétique pour dénoncer la violence d’État contre une jeunesse qui « promène ses automnes au printemps ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Nicholovitch confère une place importante à la parole, assumant une part d’écriture. Cela se paie parfois de lourdeur ou de maladresse, mais dote les paroles d’une intériorité qu’un parti pris naturaliste aurait échoué à transmettre.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Mêlant fiction et réel, le réalisateur dénonce, avec leur complicité, la violence de l’État face aux jeunes. Sans nuance mais stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Un hymne à l’indispensable éveil d’une conscience politique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le militantisme y prend des airs de propagande qui finissent par rendre sourd aux idées défendues, si louables soient-elles.
aVoir-aLire.com
par Madalen Riou
Coécrit par des lycéens, le film nous immerge dans l’expression d’un deuil partagé, qui est aussi celle de leur malaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Comment un combat politique peut-il émerger autrement que par l’indignation ? C’est ce que semble formuler le film de Nicholovitch, comme un avertissement murmuré à l’oreille de son·sa spectateur·trice.
Télérama
C’est un geste politique et poétique pour dénoncer la violence d’État contre une jeunesse qui « promène ses automnes au printemps ».
Cahiers du Cinéma
Nicholovitch confère une place importante à la parole, assumant une part d’écriture. Cela se paie parfois de lourdeur ou de maladresse, mais dote les paroles d’une intériorité qu’un parti pris naturaliste aurait échoué à transmettre.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant fiction et réel, le réalisateur dénonce, avec leur complicité, la violence de l’État face aux jeunes. Sans nuance mais stimulant.
Première
Un hymne à l’indispensable éveil d’une conscience politique.
Le Monde
Le militantisme y prend des airs de propagande qui finissent par rendre sourd aux idées défendues, si louables soient-elles.
aVoir-aLire.com
Coécrit par des lycéens, le film nous immerge dans l’expression d’un deuil partagé, qui est aussi celle de leur malaise.