Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Ilian Kipper étonne par sa capacité à s’adapter au profil de chaque « acteur », partant du principe que la mise en scène se doit d’être au service du récit et non le contraire. Ce n’est donc pas un film sur la psychiatrie mais sur des patients qui deviennent les acteurs de leur propre univers qu’ils nous invitent à partager.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Avec des petits moyens et une grande délicatesse, Ilan Klipper poursuit, après "Sainte-Anne, hôpital psychiatrique", un désir non de capter la folie, mais de cheminer avec elle.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un drôle de film qui débute comme un doc classique avant d’arpenter leurs paysages mentaux, via une mise en scène audacieuse imaginée avec les protagonistes eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Joseph Cartron
C’est à travers plusieurs témoignages de personnes désignées comme folles qu’Ilan Klipper constitue un document majeur de la psychologie moderne et du cinéma documentaire, tout en gardant une liberté de ton et de forme exemplaire, traitant le sujet à l’os.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Sur le fil, comme son titre et comme ses personnages, Funambules est la tentative d’un cinéma d’états-limites, une poétique borderline.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Une oeuvre puissamment sensorielle.
Positif
par Nicolas Geneix
Ilan Klipper entrelace parcelles de réel et fragments de fiction, en ayant en tête le déstabilisant Gummo de Harmony Korine. La démarche équilibriste du projet s’incarne dans son montage, puzzle nécessairement original et intuitif.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Avec son nouveau documentaire Funambules, Ilan Klipper regarde avec tendresse des quotidiens fragiles et solitaires, bercés par la musique d’une folie douce.
Télérama
par Jacques Morice
Funambules tient ainsi d’une mosaïque collective, proche de l’art brut. Où le tourment n’est pas escamoté – tous souffrent de solitude, éprouvent une sensation de claustration. Mais de ces rencontres vécues comme un partage émergent des instants poétiques, synonymes d’ailleurs, de délivrance…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Sans évacuer ce que les situations peuvent avoir de douloureux ou de sordide, Funambules fixe ainsi chacune des figures dans une bulle qui se voudrait poétique. Le nimbe dans lequel baigne la plupart évoque de la même façon un état proche de la sainteté. La limite du projet se fait alors sentir, qui ne peut trouver d’autre horizon qu’une fantasmagorie décorative.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Cette façon de jouer sur la porosité entre les mondes, de brouiller les lignes entre le documentaire et la fiction, est cohérente avec le souci de Klipper de décloisonner la folie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En filmant moins les pathologies que la solitude de celles et ceux qui en sont atteints, Ilan Klipper déborde le cadre du seul documentaire pour aller vers le récit fictionnel et nous plonge littéralement, par l’image et le son, dans le mental de ses modèles. Avec le risque de manquer à son tour d’équilibre et d’appuyer un peu trop sur le levier dramaturgique (...). Pour le reste, son essai étrange et surréaliste nous fait traverser la frontière de la folie sans jamais nous mettre ni mal à l’aise, ni dans la position indésirable de voyeurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par B. P.
Le réalisateur Ilan Klipper, qui connaît le sujet de la psychiatrie pour avoir réalisé un film sur l'hôpital Sainte-Anne, laisse la parole à ces personnalités singulières. Pas de voix off, pas d'analyses, peu de contexte : il s'abstient de nous donner des clés pour les comprendre. On se retrouve un peu seul.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y a là, dans cette façon de filmer, un oeil, une sensibilité, une empathie avec ces isolés qui font largement honneur à son auteur.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Difficile de parfaitement saisir la trajectoire du film, et c’est aussi toute sa force : il reste tapi dans une bizarrerie dont le dispositif hybride, entre réalisme et fantastique, réel et fiction, distille un trouble aussi singulier que puissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Au lieu de chercher en vain à dresser un état des lieux de la psychiatrie en France, Funambules se vit comme une œuvre expérimentale, entre rêves et cauchemars, dans laquelle on s’abandonne jusqu’à se perdre parfois mais avec la certitude que le capitaine tient bon la barre.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Avec ce documentaire déroutant, parfois sidérant, Ilan Klipper offre un moment de lumière à ces oubliés de la campagne présidentielle et de l’action politique que sont les malades psychiatriques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
Ilian Kipper étonne par sa capacité à s’adapter au profil de chaque « acteur », partant du principe que la mise en scène se doit d’être au service du récit et non le contraire. Ce n’est donc pas un film sur la psychiatrie mais sur des patients qui deviennent les acteurs de leur propre univers qu’ils nous invitent à partager.
La Septième Obsession
Avec des petits moyens et une grande délicatesse, Ilan Klipper poursuit, après "Sainte-Anne, hôpital psychiatrique", un désir non de capter la folie, mais de cheminer avec elle.
Le Journal du Dimanche
Un drôle de film qui débute comme un doc classique avant d’arpenter leurs paysages mentaux, via une mise en scène audacieuse imaginée avec les protagonistes eux-mêmes.
Les Fiches du Cinéma
C’est à travers plusieurs témoignages de personnes désignées comme folles qu’Ilan Klipper constitue un document majeur de la psychologie moderne et du cinéma documentaire, tout en gardant une liberté de ton et de forme exemplaire, traitant le sujet à l’os.
Libération
Sur le fil, comme son titre et comme ses personnages, Funambules est la tentative d’un cinéma d’états-limites, une poétique borderline.
Ouest France
Une oeuvre puissamment sensorielle.
Positif
Ilan Klipper entrelace parcelles de réel et fragments de fiction, en ayant en tête le déstabilisant Gummo de Harmony Korine. La démarche équilibriste du projet s’incarne dans son montage, puzzle nécessairement original et intuitif.
Transfuge
Avec son nouveau documentaire Funambules, Ilan Klipper regarde avec tendresse des quotidiens fragiles et solitaires, bercés par la musique d’une folie douce.
Télérama
Funambules tient ainsi d’une mosaïque collective, proche de l’art brut. Où le tourment n’est pas escamoté – tous souffrent de solitude, éprouvent une sensation de claustration. Mais de ces rencontres vécues comme un partage émergent des instants poétiques, synonymes d’ailleurs, de délivrance…
Cahiers du Cinéma
Sans évacuer ce que les situations peuvent avoir de douloureux ou de sordide, Funambules fixe ainsi chacune des figures dans une bulle qui se voudrait poétique. Le nimbe dans lequel baigne la plupart évoque de la même façon un état proche de la sainteté. La limite du projet se fait alors sentir, qui ne peut trouver d’autre horizon qu’une fantasmagorie décorative.
Critikat.com
Cette façon de jouer sur la porosité entre les mondes, de brouiller les lignes entre le documentaire et la fiction, est cohérente avec le souci de Klipper de décloisonner la folie.
L'Obs
En filmant moins les pathologies que la solitude de celles et ceux qui en sont atteints, Ilan Klipper déborde le cadre du seul documentaire pour aller vers le récit fictionnel et nous plonge littéralement, par l’image et le son, dans le mental de ses modèles. Avec le risque de manquer à son tour d’équilibre et d’appuyer un peu trop sur le levier dramaturgique (...). Pour le reste, son essai étrange et surréaliste nous fait traverser la frontière de la folie sans jamais nous mettre ni mal à l’aise, ni dans la position indésirable de voyeurs.
Le Figaro
Le réalisateur Ilan Klipper, qui connaît le sujet de la psychiatrie pour avoir réalisé un film sur l'hôpital Sainte-Anne, laisse la parole à ces personnalités singulières. Pas de voix off, pas d'analyses, peu de contexte : il s'abstient de nous donner des clés pour les comprendre. On se retrouve un peu seul.
Le Monde
Il y a là, dans cette façon de filmer, un oeil, une sensibilité, une empathie avec ces isolés qui font largement honneur à son auteur.
Les Inrockuptibles
Difficile de parfaitement saisir la trajectoire du film, et c’est aussi toute sa force : il reste tapi dans une bizarrerie dont le dispositif hybride, entre réalisme et fantastique, réel et fiction, distille un trouble aussi singulier que puissant.
Première
Au lieu de chercher en vain à dresser un état des lieux de la psychiatrie en France, Funambules se vit comme une œuvre expérimentale, entre rêves et cauchemars, dans laquelle on s’abandonne jusqu’à se perdre parfois mais avec la certitude que le capitaine tient bon la barre.
aVoir-aLire.com
Avec ce documentaire déroutant, parfois sidérant, Ilan Klipper offre un moment de lumière à ces oubliés de la campagne présidentielle et de l’action politique que sont les malades psychiatriques.