Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Les Affluents traduit avec subtilité ces mouvements contradictoires de la vie en faisant coexister plastiquement la pauvreté et la richesse ostentatoire, la douceur et l’âpreté.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au fil d'une mise en scène limpide et posée, sans prétention ni temps morts, ce premier long-métrage reflète les paradoxes, les tensions et les défis imposés par une soi-disant modernité capitaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Jessé Miceli filme avec une fébrilité bienvenue le parcours de jeunes gens en quête d'avenir dans la capitale cambodgienne en ébullition.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Pour son premier essai tourné, le cinéaste, avec un réalisme quasi documentaire, dresse le portrait à vif d'une jeunesse en quête de sens et radiographie les mutations douloureuses du Cambodge. Un récit fiévreux malgré quelques maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Un premier film émouvant par son regard aiguisé et sa sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
L’indéniable sentiment que le réalisateur français, dont c’est le premier film, touche plutôt juste dans sa « symphonie d’une ville » et la réalité sociale qu’il documente achoppe néanmoins sur l’extériorité du point de vue. La faute à une mise en scène trop souvent conventionnelle, qui cherche plus à fixer le sens de ses scènes qu’à donner accès au regard de ses acteurs se prêtant au jeu, émouvants malgré tout.
Positif
par Yann Tobin
La caméra portée et la B.O. qui mêle influences hip-hop et nostalgie pré-Khmers rouges contribuent au climat prenant, hélas gâché par un récit qui, pour réunir les trois destins, se fait à la fois trop artificiel et trop elliptique.
Première
par François Léger
Un monde instable qui va bien trop vite pour ses protagonistes mais que Miceli choisit de filmer dans la lenteur, sous une lumière aussi crue que délicate. Touchant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le réalisateur s’attache aux visages, aux métiers et aux bruits de la ville, à son effervescence diurne et nocturne, dans une circulation permanente. Il survole un peu vite les situations, mais les tonalités poétiques et musicales concourent au charme de cette chronique impressionniste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une œuvre personnelle mais fragile, dont le déploiement est entravé par des influences trop visibles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
Les Affluents traduit avec subtilité ces mouvements contradictoires de la vie en faisant coexister plastiquement la pauvreté et la richesse ostentatoire, la douceur et l’âpreté.
Le Journal du Dimanche
Au fil d'une mise en scène limpide et posée, sans prétention ni temps morts, ce premier long-métrage reflète les paradoxes, les tensions et les défis imposés par une soi-disant modernité capitaliste.
Le Monde
Jessé Miceli filme avec une fébrilité bienvenue le parcours de jeunes gens en quête d'avenir dans la capitale cambodgienne en ébullition.
Les Echos
Pour son premier essai tourné, le cinéaste, avec un réalisme quasi documentaire, dresse le portrait à vif d'une jeunesse en quête de sens et radiographie les mutations douloureuses du Cambodge. Un récit fiévreux malgré quelques maladresses.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film émouvant par son regard aiguisé et sa sincérité.
Cahiers du Cinéma
L’indéniable sentiment que le réalisateur français, dont c’est le premier film, touche plutôt juste dans sa « symphonie d’une ville » et la réalité sociale qu’il documente achoppe néanmoins sur l’extériorité du point de vue. La faute à une mise en scène trop souvent conventionnelle, qui cherche plus à fixer le sens de ses scènes qu’à donner accès au regard de ses acteurs se prêtant au jeu, émouvants malgré tout.
Positif
La caméra portée et la B.O. qui mêle influences hip-hop et nostalgie pré-Khmers rouges contribuent au climat prenant, hélas gâché par un récit qui, pour réunir les trois destins, se fait à la fois trop artificiel et trop elliptique.
Première
Un monde instable qui va bien trop vite pour ses protagonistes mais que Miceli choisit de filmer dans la lenteur, sous une lumière aussi crue que délicate. Touchant.
Télérama
Le réalisateur s’attache aux visages, aux métiers et aux bruits de la ville, à son effervescence diurne et nocturne, dans une circulation permanente. Il survole un peu vite les situations, mais les tonalités poétiques et musicales concourent au charme de cette chronique impressionniste.
L'Obs
Une œuvre personnelle mais fragile, dont le déploiement est entravé par des influences trop visibles.