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Note moyenne
3,2
9 titres de presse
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La Croix
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Les Inrockuptibles
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aVoir-aLire.com
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Le Monde
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Les Fiches du Cinéma
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Libération
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Positif
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Télérama
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Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
La Croix
Le résultat est brutal, parfois malaisant, mais ouvre une fenêtre intime bouleversante sur les relations entre les deux hommes, dont le cinéma semble avoir été le principal vecteur de communication, tout comme il offre une réflexion passionnante sur la vie comme moteur de toute création.
Les Inrockuptibles
Pour son premier long-métrage, auréolé du label Cannes 2020, le réalisateur israélien Dani Rosenberg signe un docufiction audacieux. Pari réussi.
aVoir-aLire.com
Un film grave et léger à la fois, qui traite de la mort annoncée d’un père, lui-même acteur d’un jour dans la mise en perspective d’un tournage de fiction.
Le Monde
C’est vraiment le miracle du cinéma que d’offrir, sous ce patchwork couturé à mort, l’impression d’une fluidité narrative, d’une histoire qui, pour ainsi dire, vit sa vie. C’est sans doute aussi que le spectateur y discerne très rapidement, sous les oripeaux d’un certain maniérisme, la douleur véritable qu’éprouve le fils à envisager la perte de son père.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant documentaire et fiction, portrait familial et méditation sur le cinéma, ce drame intime s'égare dans un montage labyrinthique, mais dévoile toute sa force dans un final bouleversant.
Libération
L’exercice tient de la touchante confession et du grand déballage névrotique [...], les registres du drame et de la comédie surgissant d’une séquence à l’autre dans un continuum de moments incertains et parfois plus traumatiques d’être délestés de toute importance ou gravité.
Positif
Pour le spectateur non averti, il s’avère difficile de se repérer dans ce projet cinématographique qui mélange les registres d’images et de sons, et qui slalome avec plus ou moins de grâce entre des archives intimes et un présent chaotique.
Télérama
Pétri d’autofiction, d’images d’archives et de courts-métrages en VHS, ce film un peu filandreux sur une tentative de « comédie » autour d’un vieil homme convaincu du futur bombardement de Tel-Aviv émeut surtout par sa manière anguleuse et bougonne de traiter les rapports filiaux.
Première
La Mort du cinéma et de mon père aussi est riche donc mais aussi relativement confus. On devine ce que Rosenberg ambitionne à travers ces récits entremêlés : une allégorie de cette société israélienne ballotée entre angoisses bel et bien réelles et paranoïa et où la vie politique se révèle aussi tourmentée que les relations familiales. Mais tout cela reste par trop théorique [...].