Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Ce plan récurrent, visage d’aujourd’hui sur motif d’hier, raconte dans cette métaphore admirable de simplicité la vie d’Amin, qui porte encore les traumatismes de son enfance alors qu’il est devenu professeur à la faculté et vit dans un bel appartement avec son compagnon à Copenhague.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Agnès Le Morvan
C'est fort et poignant.
Première
par François Léger
Un grand récit à suspense, jamais larmoyant et d’une grande pudeur, sur la violence de l'incertitude et du chaos du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par L.S.
Un film-thérapie danois universel.
aVoir-aLire.com
par Myriam Desvergnes
Un film d’animation universel qui donne la parole à un migrant, des années après son voyage. Absolument bouleversant, ce film remarqué et multi-récompensé n’est pas seulement un témoignage, c’est une autre manière de voir le monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film d’animation cité aux Oscars et récompensé par le Grand Prix du festival d’Annecy est aussi puissant que lumineux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Cette reconquête de soi touche à l’universel, et l’animation emballante n’est en rien un frein à l’empathie. Le cinéaste célèbre un chemin bouleversant avec un regard bienveillant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par T.L.
Un mensonge qui se mêle à l’intimité d’Amin, découvrant son homosexualité notamment grâce à ses fantasmes sur Jean-Claude van Damme, et tentant de vivre avec. Par le biais de l’animation, Flee donne à son témoignage une forme d’universalité, car si ce film est parfois dur, il reste délicat et humain.
Ecran Large
par La rédaction
Une oeuvre d'une sensibilité et d'une tendresse infinie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par T.L.
(...) délicat et humain.
Le Figaro
par O.D.
Ce délicat portrait d'un déraciné fait écho à tous les exodes d'aujourd'hui…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Avec les acteurs Riz Ahmed et Nicolaj Coster-Waldau comme producteurs exécutifs, ce récit sur le traumatisme du migrant est captivant et édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Lumineux et profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Le choix du cinéma d’animation est une nouvelle fois justifié car ce témoignage, à la fois stylisé, humaniste et touchant, prend une dimension universelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marie Klock
Un documentaire animé à la beauté simple et brutale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
«Flee» du cinéaste danois Jonas Poher Rasmussen touche en plein coeur avec le récit de la vie d'un réfugié afghan homosexuel qui a fui Kaboul pour l'Europe.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Seule lumière dans toute cette nuit, le côté cathartique, libérateur, de cette séance de thérapie dessinée, nouveau témoignage de la vitalité du documentaire animé [...].
Télérama
par Cécile Mury
Construit en équilibre entre flash-back et séances quasi thérapeutiques d’entretiens avec le réalisateur, Flee joue avec différentes formes d’animation, de la plus chatoyante à la plus inquiétante, et s’appuie sur des images d’actualité. Une manière de mieux ancrer dans le réel cette passionnante histoire de trauma et de résilience.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par X. L.
Le récit s’affranchit de la seule dimension biographique pour dire, à la première personne (le héros se confie à un réalisateur qui veut faire un film sur lui), la tragédie silencieuse de ces déplacés. Seule réserve, la stylisation tient parfois l’émotion à distance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si les voix des enregistrements respectent la forme documentaire, l’animation reconstitue le passé comme le ferait une fiction. Mais on comprend alors que le véritable sujet que tente de documenter Flee est celui de la mémoire et de ce qu’elle fait des traumas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Josúe Morel
Le film s’en remet ainsi à l’animation pour mener une forme de psychanalyse sauvage et exhumer les nombreuses images manquantes de l’enfance d’Amin. Mais le procédé, plutôt que de nourrir une forme réellement hétérogène, cultive davantage une redondance rébarbative.
Le Monde
Ce plan récurrent, visage d’aujourd’hui sur motif d’hier, raconte dans cette métaphore admirable de simplicité la vie d’Amin, qui porte encore les traumatismes de son enfance alors qu’il est devenu professeur à la faculté et vit dans un bel appartement avec son compagnon à Copenhague.
Ouest France
C'est fort et poignant.
Première
Un grand récit à suspense, jamais larmoyant et d’une grande pudeur, sur la violence de l'incertitude et du chaos du monde.
Voici
Un film-thérapie danois universel.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation universel qui donne la parole à un migrant, des années après son voyage. Absolument bouleversant, ce film remarqué et multi-récompensé n’est pas seulement un témoignage, c’est une autre manière de voir le monde.
20 Minutes
Ce film d’animation cité aux Oscars et récompensé par le Grand Prix du festival d’Annecy est aussi puissant que lumineux.
Bande à part
Cette reconquête de soi touche à l’universel, et l’animation emballante n’est en rien un frein à l’empathie. Le cinéaste célèbre un chemin bouleversant avec un regard bienveillant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un mensonge qui se mêle à l’intimité d’Amin, découvrant son homosexualité notamment grâce à ses fantasmes sur Jean-Claude van Damme, et tentant de vivre avec. Par le biais de l’animation, Flee donne à son témoignage une forme d’universalité, car si ce film est parfois dur, il reste délicat et humain.
Ecran Large
Une oeuvre d'une sensibilité et d'une tendresse infinie.
Le Dauphiné Libéré
(...) délicat et humain.
Le Figaro
Ce délicat portrait d'un déraciné fait écho à tous les exodes d'aujourd'hui…
Le Journal du Dimanche
Avec les acteurs Riz Ahmed et Nicolaj Coster-Waldau comme producteurs exécutifs, ce récit sur le traumatisme du migrant est captivant et édifiant.
Le Parisien
Lumineux et profond.
Les Fiches du Cinéma
Le choix du cinéma d’animation est une nouvelle fois justifié car ce témoignage, à la fois stylisé, humaniste et touchant, prend une dimension universelle.
Libération
Un documentaire animé à la beauté simple et brutale.
Paris Match
«Flee» du cinéaste danois Jonas Poher Rasmussen touche en plein coeur avec le récit de la vie d'un réfugié afghan homosexuel qui a fui Kaboul pour l'Europe.
Positif
Seule lumière dans toute cette nuit, le côté cathartique, libérateur, de cette séance de thérapie dessinée, nouveau témoignage de la vitalité du documentaire animé [...].
Télérama
Construit en équilibre entre flash-back et séances quasi thérapeutiques d’entretiens avec le réalisateur, Flee joue avec différentes formes d’animation, de la plus chatoyante à la plus inquiétante, et s’appuie sur des images d’actualité. Une manière de mieux ancrer dans le réel cette passionnante histoire de trauma et de résilience.
L'Obs
Le récit s’affranchit de la seule dimension biographique pour dire, à la première personne (le héros se confie à un réalisateur qui veut faire un film sur lui), la tragédie silencieuse de ces déplacés. Seule réserve, la stylisation tient parfois l’émotion à distance.
Les Inrockuptibles
Si les voix des enregistrements respectent la forme documentaire, l’animation reconstitue le passé comme le ferait une fiction. Mais on comprend alors que le véritable sujet que tente de documenter Flee est celui de la mémoire et de ce qu’elle fait des traumas.
Cahiers du Cinéma
Le film s’en remet ainsi à l’animation pour mener une forme de psychanalyse sauvage et exhumer les nombreuses images manquantes de l’enfance d’Amin. Mais le procédé, plutôt que de nourrir une forme réellement hétérogène, cultive davantage une redondance rébarbative.