AlloCiné
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Votre avis sur Le Monde de John ?
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Le film nul de cette année 2022. tournage en 4/3, bande son inexistante, film sans fin, bref nul. je vous invite...à ne pas le regarder !
Pire film que j'ai vu depuis au moins 1 an fuyez sauvez 1H43 de votre vie "John and the Hole" traduit par un foireux "Le monde de John"
C'est l'histoire d'un ado à qui tu as envie de foutre des claques dès la première minute de cette bouse.
Le film commence par un repas de famille où il ne se passe rien John s'ennuie dans sa maison bourgeoise alors il endort ses parents et sa sœur qu'il balance au fond du trou d'un bunker en ruine pendant plusieurs jours.
Voilà vous venez de voir tous le film...merci Au revoir
C'est l'histoire d'un ado à qui tu as envie de foutre des claques dès la première minute de cette bouse.
Le film commence par un repas de famille où il ne se passe rien John s'ennuie dans sa maison bourgeoise alors il endort ses parents et sa sœur qu'il balance au fond du trou d'un bunker en ruine pendant plusieurs jours.
Voilà vous venez de voir tous le film...merci Au revoir
Ce film n'a aucun sens !!!
Aucune réponse concernant le pourquoi du comment !!!
Film plat, ennuyeux.
Fuyez !!!!
Aucune réponse concernant le pourquoi du comment !!!
Film plat, ennuyeux.
Fuyez !!!!
Film totalement plat niveau dialogues (puisque inexistants). Le casting est pathétique, et l'ambiance est grave malsaine. Sans parler de la BO, horripilante à souhait.
Je déconseille vivement ce film.
Je déconseille vivement ce film.
Sélection officielle du festival de Cannes 2020. Et bien, voilà un film (d'après un court métrage) que l'on pourrait qualifier d' ofni (objet filmique non identifié). Certes un film intrigant, mais dont on ne comprend pas toute la finalité !..
Mérite une deuxième vision !.. 😉👋
Mérite une deuxième vision !.. 😉👋
Vinz1
A la base, le scénario de « John and the hole » est plutôt attrayant avec cet adolescent de 13 ans qui drogue ses parents et sa grande sœur avant de les descendre au fond d'un trou inextricable en apparence. Les premières scènes sont d'ailleurs encourageantes avec, une réalisation hyper léchée, un enfant bizarre rappelant les plus étranges vus au cinéma depuis « Le village des damnés » et une ambiance plus qu’anormale et anxiogène à la fois. Pourtant, une fois la famille au fond du gouffre, l'intrigue fait du surplace et ne propose rien d’un tant soit peu intéressant voire de surprenant. Au lieu de cela, on voit un gosse qui joue au grand en conduisant la voiture du paternel, en retirant de l’argent au distributeur et en s’achetant tout ce qu’il veut (surtout en nourriture) tout en continuant à s’adonner aux jeux vidéo avec son meilleur ami. Et là, parce que l’on commence à s’ennuyer devant ce métrage sophistiqué à la photographie digne de ceux de Terence Malick, on en vient à se questionner sur ses nombreuses incohérences (comment un gosse aussi frêle a pu descendre trois personnes dans le trou ? Pourquoi personne ne s’interroge davantage sur la disparition des dites personnes, notamment la police ? Pourquoi la famille ne tente pas plusieurs fois de sortir du trou alors qu’il ne semble pas si profond !?). Pire, on se demande ce que l’histoire parallèle à celle de John (celle d’une jeune fille de 12 ans abandonnée par sa mère) vient apporter à l’ensemble !? Probablement rien. Et la fin arrive comme un cheveu sur la soupe et personne ne dit rien à cet enfant proche du psychopathe ! Il ne sera même pas puni ! On croit rêver ! Pour moi, cette métaphore sur le passage à l’âge adulte est ratée malgré un départ prometteur car l’on s’enfonce trop rapidement vers le long-métrage pseudo psychologique foireux à l’image magnifique certes, mais au scénario creux au possible !
Je suis ravi d’avoir pu regarder en exclusivité ce chef d’oeuvre. Je ne comprends pas pourquoi tout le monde ne s’est pas jeté dans les salles obscures pour admirer ce magnifique film. On ne voit pas le temps passer, il nous en faudrait tellement plus. Les dialogues sont si poignants, les décors, le jeu d’acteur. Pas une seule seconde restante de ma vie ne se passera sans que je ne pense à ce film! Un seul mot; VITAL
Attention spoiler; ah non rien en fait
Attention spoiler; ah non rien en fait
Yetcha
Deux mots résument ce film : Flippant et barré. Le jeune acteur est terriblement inquiétant et l'ambiance de ce film est terriblement glaçante. Une pépite surprise. Franchement à découvrir pour les amateurs du genre.
Film où il je ne passe rien, plat, inintéressant !
Ni queue ni tête.
On ne connaît pas trop les raisons ni l'attitude de ce gamin, encore moins celle des parents, et on se demande qui sont la femme et sa fille qui apparaissent de temps à autre dans l'histoire, incompréhensible, nul, ennuyeux.
Ni queue ni tête.
On ne connaît pas trop les raisons ni l'attitude de ce gamin, encore moins celle des parents, et on se demande qui sont la femme et sa fille qui apparaissent de temps à autre dans l'histoire, incompréhensible, nul, ennuyeux.
Pour vous donner une assez bonne idee du film je pense que la critique suivante est vraiment representative :
......
Voilà je pense que c'etait vraiment explicite.
Avec en plus une BO qui cliquete et est vraiment horripilante.
......
Voilà je pense que c'etait vraiment explicite.
Avec en plus une BO qui cliquete et est vraiment horripilante.
Comment perdre 1h30 de sa vie ?!
Aucun rythme... Creux... on attend qu'il se passe quelque chose. Que l'on comprenne mieux et nous avons droit à des longueurs...
Le mec qui a réalisé ce film a du perdre ces notes !
Aucun rythme... Creux... on attend qu'il se passe quelque chose. Que l'on comprenne mieux et nous avons droit à des longueurs...
Le mec qui a réalisé ce film a du perdre ces notes !
"John and the Hole" s'appuie sur un concept attrayant et prometteur, celui d'un enfant qui drogue sa famille avant de les jeter au fond d'un trou. Les premières minutes sont d'ailleurs encourageantes avec, d'emblée, une réalisation soignée, un gamin étrange et une ambiance qui l'est tout autant. Pourtant, une fois les parents et la frangine séquestrés, l'intrigue fait du surplace, ne propose rien de consistant ni de surprenant. L'ambiance mystérieuse du début se transforme en une brume d'ennui qui ne se disperse qu'en de rares passages. Les symboles sont grossiers et les incohérences se multiplient tout au long de ce long métrage finalement bien vide. Si certains pourront être sensible à l'atmosphère générale du film, pour ma part, ce ne fut pas le cas.
Audrey L
À enterrer profond. John and the hole, soit le film qui a le plus divisé à Deauville, entre ceux qui l'ont adulé (ce qui fait qu'on le retrouve au palmarès du festival... On en a encore un haut-le-cœur), et ceux qui ont cru vivre un cauchemar éveillé devant un film vide, au scénario gonflé comme une baudruche et qui se prend royalement les pieds dans ses propres incohérences, jusqu'à en devenir une pastiche ridicule. Premièrement, vous ne pourrez pas passer à côté de la métaphore du passage à l'âge adulte (on "tue" symboliquement nos parents, on a peur, on revient vers eux en cas d'angoisse...), car elle est aussi fine qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, et plombe chaque séquence du film (on pense qu'une pancarte clignotante "Attention, métaphore de l'émancipation" aurait été plus discrète). On ne peut pas aussi passer à côté des infernales incohérences qui flinguent en plein cœur toute la crédibilité du scénario : outre qu'on a rigolé en pensant à la descente des corps dans le trou qui est impossible vu le gabarit du gamin (à moins de les jeter, mais comme ils n'ont pas de blessure...), on voit au début qu'il manque à la sœur environ 70cm de hauteur pour parvenir à s'échapper du trou mais la mère reste assise pour faire la courte échelle... Et sinon, la pile de coussins juste derrière eux, pour gagner de la hauteur, il faut avoir fait bac+5 pour y penser ? Bref, dès le départ, on se demande bien pourquoi ces gens restent au fond du trou, si ce n'est qu'ils sont particulièrement inintelligents. Idem pour le policier qui vient, constate une potentielle disparition de la famille, mais ne fait pas de fouilles des environs (l'alibi donné par l'enfant peut être démenti d'un rapide coup de fil au grand-père... Alors comment se fait-il que rien ne se passe ?). Ici, tous les adultes sont idiots... Et le gamin est timbré, un joli panel de personnages. Il essaie de se noyer sans arrêt, il est apathique, il n'a jamais aucune autre expression que bouder... On déteste John bien vite, et son conte ne nous a pas du tout enchanté (on espère que tout n'était que dans sa tête, vu toutes les bêtises qu'on a croisé dans le scénario... Et surtout cette fin où
spoiler:
personne ne lui en veut, où il est impuni alors qu'il mérite l'asile fermé à double tour
). Sans compter sur l'insertion d'une autre histoire incompréhensible, celle d'une fille et sa mère, qui l'abandonne, dont on ne sait pas ce que ces scènes viennent faire là, et la réponse du réalisateur quand on lui pose la question : "On fera peut-être un 2, avec cette histoire comme base, on verra.". Bref, il n'en sait rien lui-même, ce qu'on avait bel et bien deviné à voir ce montage de scènes hasardeux et sans utilité pour l'histoire principale. Et pour couronner le tout, comment oublier cette mise en scène clinquante au point de nous rendre aveugles : le titre qui déboule à 30 minutes du début, la fausse scène finale qui est un plan statique qui dure trois plombes (on a eu une fausse joie à l'arrivée de l'écran noir : "Hallelujah, c'est enfin fi... Ah zut non !"), pour s'ensuivre une vraie dernière scène qui ne sert à rien (le délire avec la fille qui continue... Soit. Mais pourquoi ?!). On ne comprend vraiment pas comment on peut apprécier cette métaphore ultra balourde, ces interruptions inutiles avec la fille et sa mère (dont même l'auteur ne sait pas ce qu'elles font là, l'heure est grave, mes amis...), avec des incohérences flagrantes toutes les deux minutes, des personnages écervelés et une mise en scène tape-à-l'œil ridicule. C'est nous qui sommes au fond du trou, devant pareil navet autosatisfait.
). Sans compter sur l'insertion d'une autre histoire incompréhensible, celle d'une fille et sa mère, qui l'abandonne, dont on ne sait pas ce que ces scènes viennent faire là, et la réponse du réalisateur quand on lui pose la question : "On fera peut-être un 2, avec cette histoire comme base, on verra.". Bref, il n'en sait rien lui-même, ce qu'on avait bel et bien deviné à voir ce montage de scènes hasardeux et sans utilité pour l'histoire principale. Et pour couronner le tout, comment oublier cette mise en scène clinquante au point de nous rendre aveugles : le titre qui déboule à 30 minutes du début, la fausse scène finale qui est un plan statique qui dure trois plombes (on a eu une fausse joie à l'arrivée de l'écran noir : "Hallelujah, c'est enfin fi... Ah zut non !"), pour s'ensuivre une vraie dernière scène qui ne sert à rien (le délire avec la fille qui continue... Soit. Mais pourquoi ?!). On ne comprend vraiment pas comment on peut apprécier cette métaphore ultra balourde, ces interruptions inutiles avec la fille et sa mère (dont même l'auteur ne sait pas ce qu'elles font là, l'heure est grave, mes amis...), avec des incohérences flagrantes toutes les deux minutes, des personnages écervelés et une mise en scène tape-à-l'œil ridicule. C'est nous qui sommes au fond du trou, devant pareil navet autosatisfait.
C’est l’histoire d’un jeu. Un véritable jeu pour John, qui veut devenir adulte. Dela même manière qu’il « joue » à se noyer dans la piscine, c’est un jeu dangereux, donc.
Film à mi-chemin entre l’étrange et le réaliste, la liaison de ces deux contraires est ici fascinante.
John, comme le spectateur ou sa famille, semble ne pas savoir et pourquoi il piège sa famille dans un trou. Pris à son propre piège lorsqu’il réalise ce qu’il a fait et ne sait pas vraiment comment s’en sortir, il doit continuer. Car un vrai adulte prend ses responsabilités, c’est sa mère qui le lui a dit.
Mais quand on a 13 ans... c’est forcément avec maladresse.
Il se cherche, et dira même à son entraîneur qui lui demande ce qu’il veut être plus tard : spoiler: « Je veux être… qui je suis »
. Voilà qui nous avance, car ce qu’est John n’a jamais été aussi incertain : un psychopathe naissant ? un ado perdu ? un enfant qui ne mesure pas la portée de ses actes ?
La question de l’âge, de la vie adulte, est récurrente. Le film traite donc aussi du temps, qu’on ne peut accélérer, même si on le voudrait.
Il est techniquement superbe : la composition est envoûtante, il n’est jamais trop long. Le format presque carré aide, la géométrie du trou et de la maison se font écho avec évidence.
La bande-son semble venue d’un autre monde, participant à cette ambiance instable nous promettant un basculement à chaque instant.
Le jeune Charlie Shotwell nous livre d’ailleurs ici une épatante performance énigmatique.
Les inserts de la jeune fille apportent enfin autant de questions à se poser qu’ils ouvrent le récit à l’interprétation.
Ce qui est certains néanmoins, c’est qu’en sortant de son confort insipide et apathique, la famille de John redécouvre des sensations jusque là oubliées (la faim, …), tandis que John semble accepter qu’il ne peut être à la hauteur seul. Chacun se défait de ses illusions.
Ce film est une véritable réussite, sachant capter l’incertitude attendrissante d’un pré-ado pas tout à fait à sa place, ni parmi les siens, ni tout seul. C'est hypnotique, c'est à voir absolument !
Film à mi-chemin entre l’étrange et le réaliste, la liaison de ces deux contraires est ici fascinante.
John, comme le spectateur ou sa famille, semble ne pas savoir et pourquoi il piège sa famille dans un trou. Pris à son propre piège lorsqu’il réalise ce qu’il a fait et ne sait pas vraiment comment s’en sortir, il doit continuer. Car un vrai adulte prend ses responsabilités, c’est sa mère qui le lui a dit.
Mais quand on a 13 ans... c’est forcément avec maladresse.
Il se cherche, et dira même à son entraîneur qui lui demande ce qu’il veut être plus tard : spoiler: « Je veux être… qui je suis »
. Voilà qui nous avance, car ce qu’est John n’a jamais été aussi incertain : un psychopathe naissant ? un ado perdu ? un enfant qui ne mesure pas la portée de ses actes ?
La question de l’âge, de la vie adulte, est récurrente. Le film traite donc aussi du temps, qu’on ne peut accélérer, même si on le voudrait.
Il est techniquement superbe : la composition est envoûtante, il n’est jamais trop long. Le format presque carré aide, la géométrie du trou et de la maison se font écho avec évidence.
La bande-son semble venue d’un autre monde, participant à cette ambiance instable nous promettant un basculement à chaque instant.
Le jeune Charlie Shotwell nous livre d’ailleurs ici une épatante performance énigmatique.
Les inserts de la jeune fille apportent enfin autant de questions à se poser qu’ils ouvrent le récit à l’interprétation.
Ce qui est certains néanmoins, c’est qu’en sortant de son confort insipide et apathique, la famille de John redécouvre des sensations jusque là oubliées (la faim, …), tandis que John semble accepter qu’il ne peut être à la hauteur seul. Chacun se défait de ses illusions.
Ce film est une véritable réussite, sachant capter l’incertitude attendrissante d’un pré-ado pas tout à fait à sa place, ni parmi les siens, ni tout seul. C'est hypnotique, c'est à voir absolument !
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