Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Enfin, avec une scène finale surréaliste, lourde de symbole, Au commencement, film viscéral, naturaliste, insondable, achève de nous convaincre qu’il appartient à la catégorie des longs-métrages que l’on n’oubliera pas de sitôt.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Baptiste Roux
Un sens aiguisé de l’espace, de la précision du cadre et de la composition, joint à l’imparable sûreté de l’exécution, va révéler, tout au long des deux heures de projection, son implacable efficacité.
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Au commencement, premier film d’une jeune Géorgienne de 35 ans, est une impressionnante entrée en matière, expérimentale et radicale, explorant le mal-être d’une femme face à l’intolérance religieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dea Kulumbegashvili n'hésite pas à mettre le spectateur à rude épreuve dans l'administration de son propos. Chacun verra jusqu'où il consent à la suivre.
Première
par Thierry Chèze
L’austérité règne en maître chez cette cinéaste qui se met dans les pas de Dreyer, Tarkovski ou Haneke, sans qu’elle n’en paraisse écrasée. Parce que sa mise en scène épouse le trajet de son héroïne sans verser dans des tics auteuristes. Un film impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Malheureusement, il s’avère rapidement que ses abondantes références (Von Trier, Haneke, Reygadas, par ailleurs son producteur exécutif) le desservent, accentuant l’emphase, la confusion, voire la gratuité d’un film qui coche toutes les cases d’un certain « radical chic » contemporain.
Le Figaro
Enfin, avec une scène finale surréaliste, lourde de symbole, Au commencement, film viscéral, naturaliste, insondable, achève de nous convaincre qu’il appartient à la catégorie des longs-métrages que l’on n’oubliera pas de sitôt.
Positif
Un sens aiguisé de l’espace, de la précision du cadre et de la composition, joint à l’imparable sûreté de l’exécution, va révéler, tout au long des deux heures de projection, son implacable efficacité.
Les Fiches du Cinéma
Au commencement, premier film d’une jeune Géorgienne de 35 ans, est une impressionnante entrée en matière, expérimentale et radicale, explorant le mal-être d’une femme face à l’intolérance religieuse.
Le Monde
Dea Kulumbegashvili n'hésite pas à mettre le spectateur à rude épreuve dans l'administration de son propos. Chacun verra jusqu'où il consent à la suivre.
Première
L’austérité règne en maître chez cette cinéaste qui se met dans les pas de Dreyer, Tarkovski ou Haneke, sans qu’elle n’en paraisse écrasée. Parce que sa mise en scène épouse le trajet de son héroïne sans verser dans des tics auteuristes. Un film impressionnant.
Cahiers du Cinéma
Malheureusement, il s’avère rapidement que ses abondantes références (Von Trier, Haneke, Reygadas, par ailleurs son producteur exécutif) le desservent, accentuant l’emphase, la confusion, voire la gratuité d’un film qui coche toutes les cases d’un certain « radical chic » contemporain.