Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film a les qualités d'un thriller, tendu à souhait, et une valeur documentaire (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans ces tourments, Le Dernier piano distille des notes d’espoir, avec un art du récit qui augure d’un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Un beau récit de survie et de résistance doublé d'une odyssée troublante à la recherche de la liberté : celle de l'homme, bien sûr, mais aussi celle de l'art.
L'Obs
par François Forestier
Une ode à l’espoir, malgré les nuages qui s’accumulent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par B.P.
Le pathos est aussi du voyage. La qualité de la distribution et l'efficacité du scénario l'atténuent heureusement. Et autorisent le spectateur à se laisser saisir par l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Annoncée comme vraie, l’histoire est tellement alourdie par des excès de lyrisme et de symbolisme qu’elle se dilue en une mise en image édifiante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
L’équilibre est fragile, frôle parfois la sortie de route mais ce geste audacieux emporte la mise, aidé par le remarquable travail de la photo Joe Saade dans une Syrie reconstituée dans un Liban en ruines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Samuel Regnard
En près de deux heures, Jimmy Keyrouz filme cette aventure comme s’ils s’agissait d’une odyssée, où Karim traverse les entités, les décors, comme prisonnier, condamné à mort. Il n’en est rien : reconstruire son instrument lui donne la force de survivre, et là est le message, un poil mielleux (...). Malgré tout, la réalisation est ample, audacieuse et la photo de Joe Saade à tomber.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le message est salutaire mais édulcoré par une approche trop mélodramatique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Avec la complicité de mélodies prêtes à émouvoir de Gabriel Yared, le réalisateur libanais Jimmy Keyrouz charge toutefois sa barque de personnages parfois caricaturaux et de twists improbables.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Ce voyage du jeune héros (qui plus est fort séduisant, Tarek Yaacoub) dans un pays en ruines que l’image rend esthétique, le suspense plutôt bien mené du récit, ont, hélas, pour fâcheux effet de donner à la tragédie syrienne, bien réelle, une dimension fictionnelle qui met mal à l’aise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Marie Sauvion
Mieux vaut ne pas penser au Pianiste de Roman Polanski (2002), comparaison par trop écrasante pour ce long métrage inégal mais pas malhabile, et dont les dernières séquences se révèlent émouvantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Camille Nevers
Le film de Jimmy Keyrouz appartient à ce genre de cinéma politico-pudding auxquels se rangent les pathétiques essais d’un Sean Penn ou d’un Bernard-Henri Lévy, d’une Eva Husson ou d’une Caroline Fourest, qui confondent coproductions internationales et internationalisme, faux films de guérilla armés de leur humanisme «acceptable», anodin et bienséant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
Le film a les qualités d'un thriller, tendu à souhait, et une valeur documentaire (...).
Franceinfo Culture
Dans ces tourments, Le Dernier piano distille des notes d’espoir, avec un art du récit qui augure d’un cinéaste à suivre.
Télé Loisirs
Un beau récit de survie et de résistance doublé d'une odyssée troublante à la recherche de la liberté : celle de l'homme, bien sûr, mais aussi celle de l'art.
L'Obs
Une ode à l’espoir, malgré les nuages qui s’accumulent.
Le Figaro
Le pathos est aussi du voyage. La qualité de la distribution et l'efficacité du scénario l'atténuent heureusement. Et autorisent le spectateur à se laisser saisir par l'émotion.
Les Fiches du Cinéma
Annoncée comme vraie, l’histoire est tellement alourdie par des excès de lyrisme et de symbolisme qu’elle se dilue en une mise en image édifiante.
Première
L’équilibre est fragile, frôle parfois la sortie de route mais ce geste audacieux emporte la mise, aidé par le remarquable travail de la photo Joe Saade dans une Syrie reconstituée dans un Liban en ruines.
Rolling Stone
En près de deux heures, Jimmy Keyrouz filme cette aventure comme s’ils s’agissait d’une odyssée, où Karim traverse les entités, les décors, comme prisonnier, condamné à mort. Il n’en est rien : reconstruire son instrument lui donne la force de survivre, et là est le message, un poil mielleux (...). Malgré tout, la réalisation est ample, audacieuse et la photo de Joe Saade à tomber.
La Voix du Nord
Le message est salutaire mais édulcoré par une approche trop mélodramatique.
Le Journal du Dimanche
Avec la complicité de mélodies prêtes à émouvoir de Gabriel Yared, le réalisateur libanais Jimmy Keyrouz charge toutefois sa barque de personnages parfois caricaturaux et de twists improbables.
Le Monde
Ce voyage du jeune héros (qui plus est fort séduisant, Tarek Yaacoub) dans un pays en ruines que l’image rend esthétique, le suspense plutôt bien mené du récit, ont, hélas, pour fâcheux effet de donner à la tragédie syrienne, bien réelle, une dimension fictionnelle qui met mal à l’aise.
Télérama
Mieux vaut ne pas penser au Pianiste de Roman Polanski (2002), comparaison par trop écrasante pour ce long métrage inégal mais pas malhabile, et dont les dernières séquences se révèlent émouvantes.
Libération
Le film de Jimmy Keyrouz appartient à ce genre de cinéma politico-pudding auxquels se rangent les pathétiques essais d’un Sean Penn ou d’un Bernard-Henri Lévy, d’une Eva Husson ou d’une Caroline Fourest, qui confondent coproductions internationales et internationalisme, faux films de guérilla armés de leur humanisme «acceptable», anodin et bienséant.