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« My Kid », film israélien réalisé par l’un des créateurs de la version originelle de la série « En Thérapie », née en Israël avant de conquérir le monde, en a la même finesse pour parler cette fois, pas de névrose, mais de l’autisme, de la paternité, de la famille. Avec tendresse et sans jamais juger aucun personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La délicatesse avec laquelle Nir Bergman raconte cette histoire, la façon dont il met en scène le scenario de Dana Idisis qui a écrit le film en s’inspirant de sa propre famille, la rigueur aussi avec laquelle le cinéaste israélien donne voix et apparence à ses personnages, tout cela déroule une œuvre lumineuse, fine, émouvante...
Apprendre à protéger ses enfants, mais aussi à les laisser partir : une leçon immémoriale, illustrée avec justesse et incarnée par deux acteurs bouleversants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
De la justesse, pas mal de tendresse, mais peu de cinéma dans ce film d’acteurs réalisé par un scénariste de la série « BeTipul » (source d’« En thérapie »), porté par l’excellent Shai Avivi, sosie attachant de Philip Roth, et le jeune Noam Imber, dont on vous met au défi de deviner s’il est réellement autiste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
D'Uri, Noam Imber fait un personnage singulier, loin des archétypes à la Rain Man, un être facétieux, aux goûts assumés. Il est pour beaucoup dans la grâce et l'antimisérabilisme de ce film vérité qui a remporté quatre Ophir, équivalents israéliens de nos César.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L’attendrissement que suscite My Kid est d’autant plus redevable à Shai Avivi que ce road-movie bon enfant, construit sur un scénario rectiligne, n’ose rien de nouveau sur le terrain du drame familial.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
Un film poignant et chirurgical sur la quête de l’autonomie.
Le Parisien
« My Kid », film israélien réalisé par l’un des créateurs de la version originelle de la série « En Thérapie », née en Israël avant de conquérir le monde, en a la même finesse pour parler cette fois, pas de névrose, mais de l’autisme, de la paternité, de la famille. Avec tendresse et sans jamais juger aucun personnage.
Les Fiches du Cinéma
Une relation père/fils relatée avec une grande justesse.
Positif
Tendre, subtil, finement joué, My Kid émeut aussi par sa justesse d’écriture.
Sud Ouest
La délicatesse avec laquelle Nir Bergman raconte cette histoire, la façon dont il met en scène le scenario de Dana Idisis qui a écrit le film en s’inspirant de sa propre famille, la rigueur aussi avec laquelle le cinéaste israélien donne voix et apparence à ses personnages, tout cela déroule une œuvre lumineuse, fine, émouvante...
Télérama
Apprendre à protéger ses enfants, mais aussi à les laisser partir : une leçon immémoriale, illustrée avec justesse et incarnée par deux acteurs bouleversants.
Cahiers du Cinéma
Grace à une mise en scène sèche et frontale (…) My Kid trouve le ton juste en évitant tout pathos et tout jugement de ses personnages.
L'Obs
De la justesse, pas mal de tendresse, mais peu de cinéma dans ce film d’acteurs réalisé par un scénariste de la série « BeTipul » (source d’« En thérapie »), porté par l’excellent Shai Avivi, sosie attachant de Philip Roth, et le jeune Noam Imber, dont on vous met au défi de deviner s’il est réellement autiste.
La Croix
Un film d’une grande délicatesse.
Le Figaro
D'Uri, Noam Imber fait un personnage singulier, loin des archétypes à la Rain Man, un être facétieux, aux goûts assumés. Il est pour beaucoup dans la grâce et l'antimisérabilisme de ce film vérité qui a remporté quatre Ophir, équivalents israéliens de nos César.
Le Journal du Dimanche
Un road-movie modeste, un brin balisé mais émouvant.
Les Inrockuptibles
De ce précautionneux dosage de tonalités naît un film délicat mais qui manque de relief.
Libération
L’attendrissement que suscite My Kid est d’autant plus redevable à Shai Avivi que ce road-movie bon enfant, construit sur un scénario rectiligne, n’ose rien de nouveau sur le terrain du drame familial.
Première
Un petit bijou de sensibilité.
Le Monde
Faisant référence au Kid de Chaplin, My Kid ne parvient pas à offrir une forme à la mesure de la désobéissance de ses personnages (...).