Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un film d'une rare justesse qui montre comme rarement l'envers d'un décor inaccessible au grand public.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Le film de Pascal Plante, brillant, envoûtant, confronte toujours l'image publique à la sphère privée et questionne nos attentes démesurées envers les athlètes de haut niveau, idéal de dévouement physique et mental, pour montrer une jeunesse qui semble vivre plus fort pour rattraper le temps perdu à s'entraîner.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Profond, sensible et quasi documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Louise Dumas
Outre l’originalité de sa construction narrative, "Nadia, Butterfly" représente et suscite des émotions qui sont rarement exaltées dans les films sur le sport : l’égoïsme de celui qui parvient au plus niveau, la déception de celui qui remporte le bronze et le courage de celui qui sait renoncer.
Télérama
par Michel Bezbakh
Ce passionnant contrechamp des jeux Olympiques est le récit de l’émancipation d’une jeune femme, interprétée avec une justesse étonnante par Katerine Savard – la Laure Manaudou du Québec – qui vient de participer aux véritables JO de Tokyo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Restent la beauté des gestes et l’incroyable grâce des nageuses en action.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Pascal Plante opte pour un style quasi-documentaire, avec une bande-son très travaillée, pour rester au plus près des personnages et faire partager la solitude des championnes, la violence du geste sportif, puis la profondeur de la détresse qui en est souvent le prix.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
A part les tribunes japonaises montrées pleines, tout est frappant de réalisme dans ce joli récit canadien aux airs de reportage embarqué.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Plante raconte ce sas de décompression en distillant de jolies parenthèses poétiques (sa manière de jouer avec les motifs de l'eau) dans des scènes d’un réalisme jamais pris en défaut. Sa mise en scène discrète laisse toute la place à cette tragi-comédie humaine où ceux qui continuent ne veulent pas entendre celle qui s'en va.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une jeune nageuse cherche à se libérer de l’emprise de la compétition professionnelle. Un film intéressant, mais à la forme trop conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
Un film d'une rare justesse qui montre comme rarement l'envers d'un décor inaccessible au grand public.
La Septième Obsession
Le film de Pascal Plante, brillant, envoûtant, confronte toujours l'image publique à la sphère privée et questionne nos attentes démesurées envers les athlètes de haut niveau, idéal de dévouement physique et mental, pour montrer une jeunesse qui semble vivre plus fort pour rattraper le temps perdu à s'entraîner.
Les Fiches du Cinéma
Profond, sensible et quasi documentaire.
Positif
Outre l’originalité de sa construction narrative, "Nadia, Butterfly" représente et suscite des émotions qui sont rarement exaltées dans les films sur le sport : l’égoïsme de celui qui parvient au plus niveau, la déception de celui qui remporte le bronze et le courage de celui qui sait renoncer.
Télérama
Ce passionnant contrechamp des jeux Olympiques est le récit de l’émancipation d’une jeune femme, interprétée avec une justesse étonnante par Katerine Savard – la Laure Manaudou du Québec – qui vient de participer aux véritables JO de Tokyo.
L'Obs
Restent la beauté des gestes et l’incroyable grâce des nageuses en action.
La Croix
Pascal Plante opte pour un style quasi-documentaire, avec une bande-son très travaillée, pour rester au plus près des personnages et faire partager la solitude des championnes, la violence du geste sportif, puis la profondeur de la détresse qui en est souvent le prix.
Le Journal du Dimanche
A part les tribunes japonaises montrées pleines, tout est frappant de réalisme dans ce joli récit canadien aux airs de reportage embarqué.
Première
Plante raconte ce sas de décompression en distillant de jolies parenthèses poétiques (sa manière de jouer avec les motifs de l'eau) dans des scènes d’un réalisme jamais pris en défaut. Sa mise en scène discrète laisse toute la place à cette tragi-comédie humaine où ceux qui continuent ne veulent pas entendre celle qui s'en va.
aVoir-aLire.com
Une jeune nageuse cherche à se libérer de l’emprise de la compétition professionnelle. Un film intéressant, mais à la forme trop conventionnelle.