Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Du fond, de la forme et beaucoup d'humanité.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film subtil dont l'humour mélancolique évoque parfois l'univers de Wes Anderson.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entremêlant absurde et drame, un film admirable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Une pépite.
Voici
par Daniel Blois
Le cinéma britannique à son meilleur.
BIBA
par La Rédaction
Il se dégage de ce film, à la fois cocasse et tragique, une poésie qui fait parfois penser à Jacques Tati.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le récit est troué de poésie et de trouvailles, d’incongruité et de cocasserie qui lui donnent de la légèreté, du souffle, de l’espoir
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Tout cela est raconté avec beaucoup de style. Une vraie curiosité.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ce film à la fois loufoque et poignant est le deuxième de Ben Sharrock (après « Pikadero »), qui met en scène comme Edward Hopper peignait, avec un hyperréalisme mélancolique et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Limbo ressemble parfois même à un conte fantasque, où il est question d’oud, de karaoké, de coq, de foot et même, de Freddie Mercury. C’est à la fois irrésistible, grave et important : Limbo fait beaucoup pour changer le regard sur les migrants.
Le Figaro
par C.J.
Le réalisateur Ben Sharrock capture avec une économie de moyens et une humanité frappantes le manque d'horizon, le déracinement, la dissolution d'une identité face à l'incertitude. Une vision de la crise migratoire sans pathos, peur ou sensationnalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Tendre et grinçant à la fois, le cinéma tragi-comique de Ben Sharrock rappelle les films d’Elia Suleiman ou Aki Kaurismäki.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Récompensé par le Hitchcock d'or au dernier Festival du film britannique de Dinard, « Limbo » nous emmène sur une île isolée, à la rencontre d'un groupe de réfugiés. Sur un drame contemporain, Ben Sharrock construit une comédie burlesque à la fois amère et savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Camille Nevers
Dans son premier long métrage remarquable, Ben Sharrock suit l’errance d’un réfugié syrien demandeur d’asile sur une île écossaise. Une comédie du déracinement qui laisse toute sa place à l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Lorenzo Codelli
[...] Limbo confirme un talent en pleine évolution. À mon avis, sa réflexion triste, ni désespérée ni neutre, sur l’immigration qui bouleverse le monde entier, vaut bien mille reportages soi-disant vrais, ou les lourdes réprimandes d’Ai Weiwei ou d’autres auteurs misérabilistes.
Première
par Thierry Chèze
Limbo mêle brillamment le cinéma social à la Loach et l’humour pince sans- rire poétique de Kaurismäki, avec des personnages qu’on pourrait croire échappés d’un film des Coen.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une merveille de long-métrage qui oscille entre drôlerie et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Faire un film savoureux, poétique et touchant, sur le sort des réfugiés, tel est le pari. Remporté par le réalisateur écossais, Ben Sharrock, qui signe là son deuxième long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film proprement réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Dans une ambiance à la Kaurismäki avec son format carré, ses paysages désertiques et ses situations loufoques, le cinéaste britannique ose le rire pour traiter d’un sujet aussi sérieux que la crise migratoire. Mais il partage avec le cinéaste finlandais cet humour désespéré, derrière lequel affleure la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sur une île écossaise fouettée par le vent, le réalisateur Ben Sharrock porte un regard inédit sur la problématique des migrants, avec un sens prononcé de la poésie et du tragicomique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Clarisse Fabre
Tourné dans les Uist, un chapelet d’îles au large de l’Ecosse, le film évoque l’atmosphère faussement glacée du Finlandais Aki Kaurismäki. Il faut voir Limbo comme un conte, ou un « feel good movie » sur les réfugiés – un parti pris plutôt rare sur le grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Objet original que ce Limbo, qui manie avec humour et sarcasme le mélange des genres, entre le portrait d'un musicien syrien migrant qui attend son sort sur une île écossaise et la satire de la bien-pensance à l'anglaise.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Touchant et prenant.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Mais Limbo ne tient pas ses promesses, et dès qu’il quitte le portrait de groupe doux-amer pour se focaliser plus gravement sur le personnage d’Omar, un réfugié syrien, joueur d’Oud, il s’avère de plus en plus convenu. Le trait acerbe se fait alors caricature, et la mise en scène soignée devient esthétisante.
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Entre émotion tragique et humour noir, voilà une façon étonnante d’aborder le décalage culturel entre les migrants et les populations qui les accueillent. Mais à force d’insister sur leur très longue attente, c’est le spectateur qui finit par s’ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
CinemaTeaser
Du fond, de la forme et beaucoup d'humanité.
L'Humanité
Un film subtil dont l'humour mélancolique évoque parfois l'univers de Wes Anderson.
Les Fiches du Cinéma
Entremêlant absurde et drame, un film admirable.
Ouest France
Une pépite.
Voici
Le cinéma britannique à son meilleur.
BIBA
Il se dégage de ce film, à la fois cocasse et tragique, une poésie qui fait parfois penser à Jacques Tati.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le récit est troué de poésie et de trouvailles, d’incongruité et de cocasserie qui lui donnent de la légèreté, du souffle, de l’espoir
Femme Actuelle
Tout cela est raconté avec beaucoup de style. Une vraie curiosité.
L'Obs
Ce film à la fois loufoque et poignant est le deuxième de Ben Sharrock (après « Pikadero »), qui met en scène comme Edward Hopper peignait, avec un hyperréalisme mélancolique et fantastique.
Le Dauphiné Libéré
Limbo ressemble parfois même à un conte fantasque, où il est question d’oud, de karaoké, de coq, de foot et même, de Freddie Mercury. C’est à la fois irrésistible, grave et important : Limbo fait beaucoup pour changer le regard sur les migrants.
Le Figaro
Le réalisateur Ben Sharrock capture avec une économie de moyens et une humanité frappantes le manque d'horizon, le déracinement, la dissolution d'une identité face à l'incertitude. Une vision de la crise migratoire sans pathos, peur ou sensationnalisme.
Le Parisien
Tendre et grinçant à la fois, le cinéma tragi-comique de Ben Sharrock rappelle les films d’Elia Suleiman ou Aki Kaurismäki.
Les Echos
Récompensé par le Hitchcock d'or au dernier Festival du film britannique de Dinard, « Limbo » nous emmène sur une île isolée, à la rencontre d'un groupe de réfugiés. Sur un drame contemporain, Ben Sharrock construit une comédie burlesque à la fois amère et savoureuse.
Libération
Dans son premier long métrage remarquable, Ben Sharrock suit l’errance d’un réfugié syrien demandeur d’asile sur une île écossaise. Une comédie du déracinement qui laisse toute sa place à l’absurde.
Positif
[...] Limbo confirme un talent en pleine évolution. À mon avis, sa réflexion triste, ni désespérée ni neutre, sur l’immigration qui bouleverse le monde entier, vaut bien mille reportages soi-disant vrais, ou les lourdes réprimandes d’Ai Weiwei ou d’autres auteurs misérabilistes.
Première
Limbo mêle brillamment le cinéma social à la Loach et l’humour pince sans- rire poétique de Kaurismäki, avec des personnages qu’on pourrait croire échappés d’un film des Coen.
Sud Ouest
Une merveille de long-métrage qui oscille entre drôlerie et mélancolie.
Télérama
Faire un film savoureux, poétique et touchant, sur le sort des réfugiés, tel est le pari. Remporté par le réalisateur écossais, Ben Sharrock, qui signe là son deuxième long métrage.
aVoir-aLire.com
Un film proprement réjouissant.
La Croix
Dans une ambiance à la Kaurismäki avec son format carré, ses paysages désertiques et ses situations loufoques, le cinéaste britannique ose le rire pour traiter d’un sujet aussi sérieux que la crise migratoire. Mais il partage avec le cinéaste finlandais cet humour désespéré, derrière lequel affleure la tragédie.
La Voix du Nord
Sur une île écossaise fouettée par le vent, le réalisateur Ben Sharrock porte un regard inédit sur la problématique des migrants, avec un sens prononcé de la poésie et du tragicomique.
Le Monde
Tourné dans les Uist, un chapelet d’îles au large de l’Ecosse, le film évoque l’atmosphère faussement glacée du Finlandais Aki Kaurismäki. Il faut voir Limbo comme un conte, ou un « feel good movie » sur les réfugiés – un parti pris plutôt rare sur le grand écran.
Paris Match
Objet original que ce Limbo, qui manie avec humour et sarcasme le mélange des genres, entre le portrait d'un musicien syrien migrant qui attend son sort sur une île écossaise et la satire de la bien-pensance à l'anglaise.
Rolling Stone
Touchant et prenant.
Cahiers du Cinéma
Mais Limbo ne tient pas ses promesses, et dès qu’il quitte le portrait de groupe doux-amer pour se focaliser plus gravement sur le personnage d’Omar, un réfugié syrien, joueur d’Oud, il s’avère de plus en plus convenu. Le trait acerbe se fait alors caricature, et la mise en scène soignée devient esthétisante.
Le Journal du Dimanche
Entre émotion tragique et humour noir, voilà une façon étonnante d’aborder le décalage culturel entre les migrants et les populations qui les accueillent. Mais à force d’insister sur leur très longue attente, c’est le spectateur qui finit par s’ennuyer.