Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un très beau portrait du vrai Docteur Hector Abad Gomez.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Difficile de ne pas être remué, voire bouleversé.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le film de Trueba montre l’homme dans sa vie ordinaire pour mieux honorer le médecin, dans sa vie extraordinaire. Un rôle que Javier Cámara porte avec une éclatante modestie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans la veine de Roma, le cinéaste colombien livre une renversante chronique familiale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré les drames qui émaillent le destin de la famille Abad, « L’Oubli que nous serons » est un film énergique et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Adapté d’un best-seller colombien, ce beau portrait d’Hector Abad Gómez, médecin de Medellín engagé pour les défavorisés dans les années 1970-1980 et père exemplaire, est aussi celui d’une enfance heureuse qui n’occulte pas la déjà triste réalité du pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une émouvante saga socio-familiale.
Positif
par Floreal Peleato
Trueba préfère le portrait romanesque à l’analyse historique aiguë, et c’est parfois dommage. Mais une telle entreprise était peut-être vouée à l’échec.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une chronique familiale touchante, ainsi que le portrait d’un homme d’exception. Quel beau film !
La Croix
par Céline Rouden
Fernando Truebai parvient avec ce joli film à maintenir un subtil équilibre entre une comédie familiale lumineuse et enlevée et la chronique dramatique d’un pays gangrené par la violence dont l’arrière-plan politique a malheureusement parfois tendance à nous échapper.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Pourquoi vouloir marcher droit quand le sol s'effondre ? A travers une saga familiale et le destin d'un médecin de Medellín, le cinéaste espagnol Fernando Trueba pose la question de la bonté.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
Si cette dimension hagiographique est assez lourdement appuyée, elle est heureusement passée au filtre de l’interprétation de Javier Cámara (l’inoubliable infirmier de "Parle avec elle" d’Almodovar) qui affine le dessin à gros traits du personnage et son destin tout prêt à l’accueillir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
C’est aussi la modestie de ce héros du quotidien que retient l’Espagnol Fernando Trueba en réalisant un film simple et touchant comme une chronique du temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film souffre d'un scénario un peu confus et de longueurs.
Première
par Thierry Chèze
Le cinéaste encapsule vingt ans d'un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d'une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu'il survole plus qu'il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[Un] récit empreint d’une douce nostalgie mais classique dans sa forme où le protagoniste égrène ses souvenirs d’enfant bourgeois au détriment des actions du généreux médecin et du contexte politico-social, seulement esquissés. Pas suffisant pour tenir sur la longueur (plus de deux heures quand même).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Voici
Un très beau portrait du vrai Docteur Hector Abad Gomez.
Femme Actuelle
Difficile de ne pas être remué, voire bouleversé.
L'Obs
Le film de Trueba montre l’homme dans sa vie ordinaire pour mieux honorer le médecin, dans sa vie extraordinaire. Un rôle que Javier Cámara porte avec une éclatante modestie.
Le Figaro
Dans la veine de Roma, le cinéaste colombien livre une renversante chronique familiale.
Le Parisien
Malgré les drames qui émaillent le destin de la famille Abad, « L’Oubli que nous serons » est un film énergique et lumineux.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un best-seller colombien, ce beau portrait d’Hector Abad Gómez, médecin de Medellín engagé pour les défavorisés dans les années 1970-1980 et père exemplaire, est aussi celui d’une enfance heureuse qui n’occulte pas la déjà triste réalité du pays.
Marie Claire
Une émouvante saga socio-familiale.
Positif
Trueba préfère le portrait romanesque à l’analyse historique aiguë, et c’est parfois dommage. Mais une telle entreprise était peut-être vouée à l’échec.
Télé 7 Jours
Une chronique familiale touchante, ainsi que le portrait d’un homme d’exception. Quel beau film !
La Croix
Fernando Truebai parvient avec ce joli film à maintenir un subtil équilibre entre une comédie familiale lumineuse et enlevée et la chronique dramatique d’un pays gangrené par la violence dont l’arrière-plan politique a malheureusement parfois tendance à nous échapper.
Les Echos
Pourquoi vouloir marcher droit quand le sol s'effondre ? A travers une saga familiale et le destin d'un médecin de Medellín, le cinéaste espagnol Fernando Trueba pose la question de la bonté.
Libération
Si cette dimension hagiographique est assez lourdement appuyée, elle est heureusement passée au filtre de l’interprétation de Javier Cámara (l’inoubliable infirmier de "Parle avec elle" d’Almodovar) qui affine le dessin à gros traits du personnage et son destin tout prêt à l’accueillir.
Télérama
C’est aussi la modestie de ce héros du quotidien que retient l’Espagnol Fernando Trueba en réalisant un film simple et touchant comme une chronique du temps qui passe.
Le Monde
Le film souffre d'un scénario un peu confus et de longueurs.
Première
Le cinéaste encapsule vingt ans d'un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d'une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu'il survole plus qu'il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage.
Le Journal du Dimanche
[Un] récit empreint d’une douce nostalgie mais classique dans sa forme où le protagoniste égrène ses souvenirs d’enfant bourgeois au détriment des actions du généreux médecin et du contexte politico-social, seulement esquissés. Pas suffisant pour tenir sur la longueur (plus de deux heures quand même).