Mon compte
    Seize Printemps
    Note moyenne
    1,3
    1101 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Seize Printemps ?

    99 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    11 critiques
    3
    14 critiques
    2
    12 critiques
    1
    21 critiques
    0
    34 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 juin 2021
    Un film complexe mais qui a du charme. L'émotion des scènes se fait ressentir dans un cadre idyllique qu'ai montmartre.
    Deux acteurs très bons sur ce points je peux avouer que je n'ai pas grands choses à dire et enfin je finirais par parler des points les moins négligeable c'est-à-dire le son et la lumière qui s'allie exactement avec la scène
    Pour résumer c'est un bon film pour un début !
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2021
    A quoi rêve une jeune fille de 16 ans qui boit un diabolo grenadine en lisant Boris Vian ? A l'amour, bien sûr, qui la sortira de l'ennui du lycée et de la fréquentation de ses congénères, trop peu mûrs pour elle. Film minimaliste, évidemment critiqué car réalisé par une fille de (est-ce un obstacle au talent ?), Seize printemps ne déborde pas d'ambition et se révèle un poil répétitif mais n'est pas dénué d'élégance ni même occasionnellement de grâce dans les scènes dansées sur la musique de Christophe ou de Vivaldi. C'est très auto-centré et un peu béat sur une vie familiale tellement parfaite avec des parents cool mais Suzanne Lindon ne nous promet pas la lune bon plus et s'en tient à son cahier des charges adolescent, sachant que le film a été écrit à l'âge canonique de 15 ans. La romance qui est contée, platonique et sage, remplit tout l'espace, avec une vision déconnectée d'une époque (pas de téléphones portables) qui voudrait renvoyer au style des Maurice Pialat et Claude Miller sans y parvenir vraiment. Quant à Suzanne Lindon actrice, avec son faux air de Charlotte Gainsbourg, elle occupe assez bien l'écran sans avoir besoin de débiter de longs dialogues. Son camarade de jeu, Arnaud Valois, impose de son côté une sobriété de très bon aloi. Avec ou sans paille, le diabolo grenadine est de ces boissons qui peventt rafraîchir un moment mais qui n'étanchent pas réellement la soif.
    Karina A.
    Karina A.

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 août 2021
    Gene totale pour les comédien.e.s formidables que la SL abîme, gâche
    Pensées chaleureuses pour tous les excellent.e.s réalisateur.rice.s, auteur.e.s qui n ont pas pensé au caprice pour valider leur projet, financement etc.
    Mes tendres amities à toutes les jeunes filles de 16 ans. Pourvu que les hommes de 20 ans leurs aînés sur lesquels elles tomberont sacheront dire non, ne les embrasseront pas dans le cou sans leur demander la permission,....
    Kiberen
    Kiberen

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2021
    Cette critique au contraire de beaucoup d'autres que j'ai put voir ici ne sera pas une attaque contre la parentalité où le physique de Suzanne Lindon, cette critique est ici pour parler de son premier film en tant qu'actrice/réalisatrice

    Le premier film était, est et sera toujours un exercice compliqué autant pour le créateur que pour le spectateur qui sera sur ses gardes à l'idée de recevoir au visage les premières tentatives, les idées parfois trop jeunes parfois trop ambitieuses et les maladresses, bref tout ce qui peut faire un premier film. Cette année 2021 se composant d'énormément de premiers films à venir, on retrouve des petits trébuchements chez Suzanne Lindon qu'on retrouvait (sans méchanceté de manière plus accentuée) également dans "garçon chiffon" de Nicolas Maury que beaucoup ont put découvrir récemment.

    Suzanne Lindon ne cherche pas à s'aventurer sur des terrains qu'elle ne connaît pas, et au risque de se voir critiquer reste dans une représentation d'un quotidien qu'on imagine être un décalque du sien, notamment concernant les relations parentales. Entre le peu de décors très parisiens et une ambiance cinéma années 80 (le travail des costumes, la représentation d'un personnage adolescent fragile mais qui s'ennuie à l'image de Sophie Marceau dans ses premiers rôles, le poster de "Suzanne" de Pialat), le film semble se créer un cocon cinématographique figé dans un temps lointain où enjeux, caractères et moralités nage dans une représentation quarantenaire du cinéma français, ce qui en fera criser certains.

    Les interprétations sont plus qu'honorables sans transcender les méthodes, le travail de la lumière et de la texture des matières (la nourriture, la peau) est fort joli et le mood du film n'est pas plombant de par sa légèreté. Il semble cependant qu'arriver dans la dernière ligne droite, la structure narrative plutôt clair durant les 50 premières minutes du film se brouille dans sa dernière demi-heure, créant un sentiment d'une conclusion trop vague sur le coup, à l'image de "un printemps à Hong-Kong" sorti la semaine dernière.

    "Seize Printemps" n'est pas un film qui accordera confirmation au statut de future réalisatrice prolifique pour Suzanne Lindon, mais qui obtiendra chez certains un regard d'espoir plein de potentiel pour ses futurs films. Une fois sorti de ses repères adolescents, il sera intéressant de voir si les qualités qui se démarque de ce premier film parfois maladroit se retrouveront dans son prochain projet, de manières plus structurées et accomplies, on peut l'espérer
    the_teban &.
    the_teban &.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juin 2021
    film génial , il représente vraiment le quotidien de l'adolescent ! très bon actrieurs !
    félicitations
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    201 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2021
    La fille des Lindon-Kiberlain réalise son film et se voit propulser à Cannes... On croit rêver. "16 Printemps" est un film mou, flasque, apathique, auto-satisfait et au style télévisuel. À la télé, ça passe encore... mais là, on est au cinéma et on exige du grand, du beau, de la qualité, tout ce dont le film de Lindon est privé. Pour résumer : ça lorgne du côté de Pialat sans jamais en avoir la force émotionnelle. Suzanne Lindon n'est pas incandescente pour un sou et manque cruellement d'atouts dans son jeu. Un film inutile qui s'ajoute à la liste interminable des navets français.
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2020
    Un peu comme Nathan Ambrosini qui, du haut de ses 18 ans, avait réalisé le film « Les Drapeaux de papier » sorti il y a deux ans, Suzanne Lindon et ses vingt printemps semblent manquer de maturité et d’expérience pour réaliser un film maîtrisé, pertinent et réussi. En effet, la fille de Vincent Lindon et Sandrine Kiberlain, qui a donc baigné dans ce milieu, a voulu se lancer dans l’écriture, la mise en scène et jouer le rôle principal de son premier film. C’est peut-être un peu beaucoup pour une si jeune fille et n’est pas Xavier Dolan qui veut à cet âge-là… Le génie artistique adolescent n’est pas donné à tout le monde et, sans renier la précocité et le talent de cette jeune fille au demeurant et certainement très douée, « 16 printemps » est bien trop insignifiant et creux pour convaincre. C’est même plutôt mauvais si l’on juge ce premier essai de manière objective.



    Non pas mauvais sur la forme, avec une mise en scène correcte et qui développe quelques bonnes idées, mais plus sur le fond avec une histoire bien trop peu développée et simpliste qui ne tient pas la durée d’un long-métrage. En effet, « 16 printemps » part d’un sujet intéressant, en l’occurrence l’histoire d’une jeune fille mineure qui tombe amoureuse d’un trentenaire et réciproquement, mais tout cela reste trop au stade d’ébauche, presque comme une note d’intention artistique que l’on aurait plaquée tel quel sur le grand écran. Et très certainement qu’un court-métrage de moins de trente minutes aurait davantage rendu honneur à ce film et au potentiel talent de sa jeune réalisatrice. Alors on ne s’ennuie pas, c’est un fait, car le film ne dure même pas une heure et quart mais cela n’empêche pas qu’on ait l’impression de regarder beaucoup de vide qui ne raconte pas grand-chose…



    Cependant on peut accorder à Suzanne Lindon un certain univers en train de se dessiner (très influencé par le cinéma d’auteur dans lequel ont évolué ses parents), une bonne direction d’acteurs (Frédéric Pierrot est très bon dans le peu de scènes qui lui sont imparties et Arnaud Valois est parfait en trentenaire attirée par cette jeune fille) et il y a une bande originale sympathique qui permet à « 16 printemps » de développer ses meilleures séquences (comme celle, aérienne, qui voit le personnage principal danser dans le rue). En revanche, Suzanne Lindon aurait dû prendre une autre actrice plutôt que de se mettre en scène puisque son jeu n’est pas toujours juste et que cela aurait permis de plus se concentrer sur le reste. En somme, et en attendant la suite pour cette jeune réalisatrice, ce n’est pas détestable mais on oublie aussi vite ce film une fois qu’on l’a visionné. Et si le sujet aurait pu être passionnant et véhiculer passion(s), émotions et mettre les sens en éveil, le résultat est plutôt et malheureusement à l’opposé.



    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Chris CD
    Chris CD

    9 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2020
    Le thème n’est pas nouveau, peu attrayant, le titre un peu banal. Mais la façon de le traiter avec beaucoup de délicatesse l’est. Le début est un peu lent, on se demande quand on va enfin commencer à nous raconter une histoire. Mais finalement, peu à peu, on rentre dans l’atmosphère très intimiste et poétique du film.
    Suzanne Lindon actrice rappelle étrangement Charlotte Gainsbourg ou encore Romane Bohringer au même âge. En tant que réalisatrice, elle a un style bien à elle. Elle semble promise à une belle carrière.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    372 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2020
    C'est avec curiosité et intérêt que j'ai visionné ce film d'une très jeune réalisatrice, scénariste et actrice de 20 ans et enfant de la balle, comme on dit, puisque fille de Vincent LINDON et Sandrine KIMBERLAIN.
    Et le film est plutôt bien réussi et justifie bien sa désignation à la sélection officielle du festival de Cannes 2020. En effet, la réalisation avec de courtes séquences est efficace et bien maîtrisée.
    Le scénario, plein de subtilités et réaliste, traduit bien les émois et les tourments de cette jeune fille de 16 ans dans sa relation amoureuse avec un jeune adulte de 35 ans qui, par ailleurs, interprètent parfaitement leur rôle respectif. La bande-son du film composée de la musique de Vincent DELERM et des chansons de CHRISTOPHE est très appropriée et accompagne agréablement ce film.

    Bernard CORIC
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top