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    Seize Printemps
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    Pero Ballal
    Pero Ballal

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juin 2021
    Je ne m'attendais à rien et je suis quand même déçu.
    Sans intérêt...
    Film surfait et sans contenus.
    pascal75015
    pascal75015

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2021
    je suis sortie du cinéma avec la sentation d'avoir perdue mon temps...
    1er film j'espère que le prochain sera mieux ficelé et les dialogues mieux construits le film et creu une jeune fille qui tombe amoureuse d'un trentenaire c'est vue et revue
    Korbô D.
    Korbô D.

    11 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Voir des premiers films, c'est une chose. Voir un premier film sans que la réalisatrice n'aie réalisé de courts métrages avant s'en est une autre...
    Et c'est bien dommage car le film est plein de défauts. Peu (mal) écrit. Suzanne Lindon aurait du faire des courts métrages avant de s'improviser réalisatrice.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Délicat sensible
    Des silences eloquents dans l'ombre de Christophe
    De la danse
    Un univers indéniable
    spoiler:
    thmspr
    thmspr

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juin 2021
    Le problème de ce film, selon moi, c’est l’intention qui l’a vu naître. Suzanne voulait faire un film, c’est tout. Sans utiliser le terme de « caprice », je dirai plutôt qu’elle a saisi l’opportunité qui lui a toujours était offerte, indirectement. Sauf que vouloir faire un film, ça ne veut pas dire avoir quelque chose à dire, ni même savoir comment le faire.
    Le scénario, vous l’aurez compris, est inexistant. Tout est lent, beaucoup de malaises dans les dialogues et les actes. Le personnage de Suzanne est mou et s’enfonce volontiers dans le cliché de l’ado qui se veut mature pour son âge. Celui d’Arnaud n’est pas en reste et lui vole tous ces défauts, en emprunte peut être même plus encore jusqu’à devenir énervant et franchement border en terme de mœurs. Les scènes sont très random, et celles qui ne semblent pas ressembler à beaucoup d’autres (une scène de bar devant une grenadine, un jeu de regard ennuyeux devant le théâtre,...) paraissent tout simplement venir du brouillon d’un autre script tant elles sont dépourvues de sens ou n’apporte aucune réflexion au film, qui en aurait pourtant bien besoin.
    Autre malaise du film, il tente par certains codes (mal maîtrisés) d’entrer dans une pseudo catégorie « d’art et d’essai », ou du moins de s’en inspirer, sûrement pour l’étiquette cool qui pourrait en découler. Tout, dans la photographie, les danses, les choix musicaux, le montage, en est calqué, sans réfléchir au sens de ces emprunts ou comment les intégrer intelligemment. Cela donne au film un caractère égocentrique, qui se regarde trop le nombril et veut se donner une image qui ne lui va pas.
    Loin de moi l’envie de simplement descendre le film, mais tout en souhaitant être le plus constructif possible, je ne lui vois que trop peu de qualité. La précocité du projet, mais aussi sa médiatisation peu méritées ne fait qu’accroître le sentiment négatif qu’il engendre. Il aurait fallut être un peu plus modeste, accepter peut être d’être entourée et conseillée davantage, et entrer à plus petits pas dans le monde du cinéma.
    castor castor
    castor castor

    2 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2021
    Un très joli film. Une fraicheur rare . Une maturité étonnante pour une si jeune scénariste et réalisatrice
    Saha wfarha
    Saha wfarha

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juin 2021
    Nombriliste, creux, circulez y'a rien à voir!
    D'ailleurs, comment une débutant qui prétend ne rien devoir à ses parents a t-elle eu accès à une telle opportunité?
    Quels privilèges a t-elle mobilisé pour DÉBUTER en tant que héroïne ET réalisatrice d'un LONG métrage?
    Face à la déception des spectateurs et de la majorité de la critique, par quelle magie cette daube a t-elle été dans la sélection officielle du mythique festival de cannes?
    Ces questions n'émanent pas de préjugés mais de la visualisation du film et des retours de la critique.
    Il y'a certainement des privilégiés qui saisissent leurs chances pour PROUVER leur talent et s'imposer. Ce n'est pas le cas de l'impatiente Suzanne.
    La concrétisation de ce navet n'a pas seulement déçu les spectateurs et la critique mais a provoquer beaucoup de tristesse, ressentiment et désespoir des jeunes réalisateurs talentueux qui n'arrivent même pas une financer un micro-métrage face à cette imposture ou injustice avérée.
    Amandine M.
    Amandine M.

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juin 2021
    scénario vide, gros moments de blanc, scènes inutiles, du plagiat sur diabolo menthe et l’effrontée, le seul point positif est l’acting de suzanne,
    ce film est sans grand intérêt et en plus je reste sur ma faim pour la fin (c’est le cas de le dire)

    ne perdez pas votre temps, d’autres films en valent plus la peine.
    Chris
    Chris

    9 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2021
    Ce film se résumé en un mot : grâce. Tres beau duo entre Suzanne Lindon et Arnaud Valois. Elle écrit le scénario, realise , joue et chante a 19 ans seulement avec une grâce folle. Hâte de voir son prochain film
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2021
    c 'est bateau , attendu et surtout une absence totale de réalisation.
    vu que la mise en scène n' était vraiment pas une priorité ainsi que le casting ( ils sont d 'une transparence confondante) ca devient à la fin plutôt insipide
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2021
    Suzanne a seize ans et Suzanne s'ennuie. Elle vit à Paris avec ses parents et sa sœur cadette un appartement cossu d'un immeuble bourgeois sur la butte Montmartre. De ses camarades, elle ne partage ni les joies ni les peines.
    Son cœur s'emballe en croisant, sur le chemin du lycée, devant le théâtre de l'Athénée, un acteur. Arnaud a le double de son âge. Entre la jeune fille et le bel acteur, le coup de foudre est immédiat et réciproque.

    Il y a deux façons de critiquer le premier film de Suzanne Lindon. Une très méchante et l'autre très gentille.

    La très méchante se moquera du sujet archi-rebattu de ce film. Les émois d'une jeune fille en fleurs ont en effet déjà été filmées sous toutes les coutures : "Adieu tristesse" (Suzanne partage avec Cécile, l'héroïne du roman de Sagan adapté par Preminger, une maturité curieuse), "La Boum" (elle est comme Vic une adolescente rieuse élevée dans un milieu aimant), "Diabolo menthe" (Suzanne consomme avec un charme désuet des diabolos grenadine), "À nos amours" (Dominique Besnehard, qui joue un second rôle dans "Seize printemps", y faisait ses débuts d'acteur et Suzanne en conserve dans sa chambre un poster), "L'Effrontée" (avec Charlotte Gainsbourg, une autre enfant de stars)... la liste est longue et cette généalogie pesante à qui prétendrait y ajouter sa trace.

    Le critique malveillant évoquera une autre généalogie : celle de la réalisatrice, fille de Vincent Lindon et de Sandrine Kimberlain, dont elle a hérité de la silhouette interminable et de la démarche girafique. Son film aurait-il pu être financé, tourné, sélectionné à Cannes en 2020, distribué en salles, si quelques bonnes fées ne s'étaient pas penché sur son berceau, s'interrogeront-ils fielleusement. Et le critique malveillant de pointer, au surplus, le contrat qui unit la jeune actrice-réalisatrice à Chanel dont elle porte avec une élégante décontraction les dernières créations "streetwear".

    Le critique bienveillant avait bien sûr cette généalogie en tête en entrant dans la salle. Mais il ne l'a pas laissé hypothéquer l'opinion qu'il était en train de se faire du film qu'il regardait. Bien sûr, s'il avait été raté, il en aurait fait un argument à charge supplémentaire pour l'assassiner. Mais, que diable ! On a le droit d'être fils ou fille de stars ET d'avoir du talent !

    Tel est le cas de Suzanne Lindon dont le film m'a touché.
    Certes, son sujet n'est guère innovant sinon passablement casse-gueule. mais la façon dont elle le traite est juste et sensible.
    Il n'y a rien de gras dans ce film de soixante-quatorze minutes à peine. Aucun rebond dramatique, aucune tension familiale. On est loin de Pialat et de ses hystéries à huis clos. Car Suzanne est une fille équilibrée. Elle entretient avec ses parents une relation confiante et complice. Elle sort de l'enfance et vit ses premiers émois amoureux avec un mélange terriblement contemporain d'ingénuité et de maturité.
    Suzanne Lindon se concentre sur son sujet et le traite sans s'en écarter, au risque assumé de l'insignifiance. Elle le fait en usant d'un artifice charmant : celui de la comédie musicale avec l'insertion de trois numéros chorégraphies  très réussies. Seule ou en duo, Suzanne Lindon y danse sur la musique de Christophe ou de celle, bouleversante, du "Stabat Mater" de Vivaldi. C'est encore elle qu'on entend chanter le générique de fin sur une musique originale de Vincent Delerm.

    Rempli de préjugés en rentrant dans la salle, j'en suis ressorti charmé et transporté par la grâce de ce film touchant qui a ressuscité le vert paradis de mes amours enfantines.
    Boris S
    Boris S

    24 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2021
    Un film vide sans aucun intérêt. Ce sujet a été traité avant et par bien plus talentueux. ( beau père, Lolita )

    La durée du film est représentative de la fragilité de l'œuvre avec 70min à peine... un film sans idée, sans fond, sans forme.. porté par l'ego d'une bobo parisienne qui ne connaît que sa petite vie du 16em.

    M'enfin ce n'est pas la première fois que nous devons supporter les engeances de nos chères élites culturelles.. une de plus parmi tant d'autres qu'il faudra alors supporter écouter et voir.
    dejihem
    dejihem

    137 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2021
    Dans la pléthore de bons films sortant chaque semaine, il est très surprenant de voir un film fait par une très jeune femme de 21 ans pour raconter son ennuyeuse adolescence de 15 ans avec ses émois platoniques. Est-ce un caprice ? Les parents, acteurs, n'ont pas alerté leur fille ? Pourquoi une productrice a-t-elle pu accepter un film avec aussi peu de matière ? Et de plus, pourquoi tourner un tel film dans Paris dans un quartier touristico-cultureux exposant ce film à la vindicte anti-bobo-parisianiste ?
    Pourtant, Suzanne Lindon a des qualités : le jeu est juste, la voix délicieusement grave, le minois agréable.
    Mais pourquoi donc personne ne l'a alertée du danger de faire çe film ? Incompréhensible. Suzanne Lindon est à retrouver par ailleurs actrice dans les 2 Alfred sortant cette semaine.
    Rayane K
    Rayane K

    5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juin 2021
    Un film de bobo, fait pour les bobos qui sont nées avec une cuillère dans la bouche et un caillou dans le cerveau, je n'ai rien contre les riches mais les riches qui méprisent ceux qui ne le sont pas ça a le don de m'agacer. Un navet, vraiment n'allais pas le voir sauf si vous vous sentez supérieur aux autres parce que vos parents sont riches.
    pauloo
    pauloo

    5 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Marre de voir des films issus et réalisés par des gens venant d'un milieu friqué. Ce film a pu se faire que par l'intervention de papa/maman ! Un film médiatisé par de grandes émissions comme Quotidien et des radios ayant une grosse audience, et même, sélectionné au festival de Canne, une honte pour le cinéma français. Écrit, réalisé et interprété par Mme Lindon, ça va la grosse tête ? Cela se veut nostalgique en voulant se retrouver au même niveau que la Boum... Désolé, mais ce film est mauvais et aucun critère talentueux n'est à retenir.
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