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    Seize Printemps
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    Jade Peracchia
    Jade Peracchia

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    le malaise est total, très problematique, la banalisation de la pédophilie par excellence. Rien de plus dégoutant, dénué de sens + ils ne changent pas de vêtements c'est vide et la réalisation est inexistante.
    j'ai beau avoir regardé le film en 1.5x c'était toujours d'une longueur indécente, l'ennuis à son apogée.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 929 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2021
    On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Suzanne Lindon, fille de Sandrine Kiberlain et de Vincent Lindon a coiffé au moins cinq casquettes pour son tout premier film « Seize printemps » : productrice, scénariste, actrice, réalisatrice et chanteuse. On pourrait y ajouter directrice de casting puisqu’elle aurait choisi ses acteurs. Elle a écrit son scénario à quinze ans puis l’a mis en scène cinq ans après. Un film sélectionné à Cannes ! Qui est derrière tout ça ? On peut en effet se poser légitimement la question. Etre fille de Vincent Lindon et de Sandrine Kiberlain, ça aide. Et le fait de baigner dans les relations de papa et de maman comme Thierry Frémaux, ça peut aider aussi. Sans compter tous les circuits de la distribution, promotion et j’en passe. Bref, tant mieux pour elle, je n’ai jamais été jaloux de qui que ce soit. Cependant, je peux comprendre qu’il y ait des hommes et des femmes plus âgés qu’elle, remontés contre les décideurs de l’industrie du cinéma. Ressentir une injustice parce qu’ils galèrent pour monter un premier film qu’ils pensent plus dense que ces « Seize printemps ».
    Alors notre Suzanne nous conte l’histoire de… Suzanne âgée de 16 ans qui s’ennuie avec les jeunes de son âge. Elle s’en va séduire un homme de 35 ans comédien de son état. Pourquoi pas. Qu’y a-t-il de scandaleux ?
    Suzanne Lindon assume : spoiler: « À cet âge-là, elle peut être décisionnaire même quand elle se trouve devant un homme plus vieux qu'elle. C'est elle qui a le pouvoir dans le film : c'est elle qui le voit, elle qui le choisit et qui va amorcer l'histoire d’amour. »

    A bien y réfléchir, c’est assez audacieux. Seulement, le minois de Suzanne Lindon qui fait penser à Charlotte Gainsbourg dans « L’effrontée » me fait aussi penser par associations d’idées (au pluriel) à l’esprit provocateur de Serge Gainsbourg entraînant sa fille dans un clip sulfureux et très mal compris par des excités « Lemon Incest » et à Bertrand Blier « Beau-père » qui là, pour le coup, voyait un beau-père (Patrick Dewaere) capituler sous les pulsions sexuelles de sa belle-fille (Ariel Besse), seulement la novice Suzanne ne fait rien de cette audace. Sans lorgner du côté de Bertrand Blier, elle aurait tout de même fait preuve de caractère si ses « Seize printemps » bousculait les codes de la bien pensance. Au lieu de ça, elle nous offre une relation très platonique, « Diabolo menthe » puisque c’est une de ses références a plus de relief que « Seize printemps ».
    Là aussi, c’est sans doute assumé. La réalisatrice savait (nous aussi spectateurs, on s’en doutait) que ce caprice amoureux était voué à l’échec. Quoique… La fin reste ouverte. spoiler: Après tout, rien ne nous dit vraiment que la relation est terminée
    . Suzanne Lindon ne veut pas choquer son auditoire. N’a-t-elle pas déclaré à la presse : « Je suis consciente que 16 ans - 35 ans, c'est grave (…) Rien de grave ne se passe entre eux » rassure toutefois la jeune scénariste. Elle prend soin du spectateur notre Suzanne. spoiler: Si « rien de grave ne se passe » je peux en conclure que la relation platonique a pris fin
    . Alors ce sourire de fin, n’est peut être rien d’autre qu’une séquence de plus… inutile.
    Pourtant, « Seize printemps » provoquera deux polémiques : elle a fait un premier film à 20 ans où elle assume tout, sélectionné à Cannes de surcroît ; et le sujet de son récit flirte avec la pédophilie.
    Tout n’est pas à blâmer. La séquence du petit-déjeuner où Suzanne et Raphaël dansent assis à leur table sous un air d’opéra est la seule bonne trouvaille du film. Ce n’est pas grand-chose, ça n’a rien d’exceptionnel, mais cela peut en dire long sur sa capacité à déjouer dans sa mise en scène. spoiler: Ce pas de deux traduit une étreinte impossible ou une étreinte interdite
    . Suzanne Lindon est de tous les plans, elle introduit la très grande majorité des séquences. L’air de rien, cette Suzanne Lindon fait preuve d’un sacré caractère malgré tout. Elle ne doute de rien. Ça promet.
    En résumé, Suzanne Lindon nous pond une histoire qui n’est rien d’autre qu’un journal intime d’une petite bourgeoise en manque de frisson et qui s’ennuie profondément. Certains se laisseront aspirer par cet ennui profond…
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    49 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2022
    La seule bonne nouvelle de ce film est qu il dure moins d’1h15 … la mauvaise, c’est que son scénario pourrait tout juste remplir un court métrage de 15 mns. La demoiselle y va carrément dans le décalque de Charlotte G. Et cumule les rôles de scénariste, réalisatrice, actrice principale, et interprète de la chanson du générique. Et la, je pense à tous ceux et celles qui rament des années pour trouver une production pour leur premier court métrage. Tristesse …
    Inana
    Inana

    8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2021
    Impressionnant d'apprendre que c'est l'actrice principale qui réalise le film ! Bravo à elle. Film à regarder si l'on souhaite voir une douce romance bourgeoise et parisienne un peu cliché et paraissant d'une autre époque (aucune technologie, musique datée...). Risque d'énerver si ce n'est pas votre cas haha
    dominqiue-paule Decoster
    dominqiue-paule Decoster

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2021
    J'ai beaucoup apprécié la juste pudeur de ce film qui rend la difficulté de la différence d'âge au sein d'une relation amoureuse sensurable par les regards de la société.
    Magnifique premier coup Madame !
    Nicolas TEXIER
    Nicolas TEXIER

    40 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 décembre 2021
    Faire un tel film à 19 ans est quand même un exploit avec une réalisation maitrisée et une mise en scène qui se permet quelques fantaisies et choix forts. L'histoire se laisse porter, simple, douce, mais finalement manquant de profondeur, d'autant plus que certains aspects des personnages et dialogues ne sont pas maitrisés. D'autant plus que l'histoire en elle-même est étonnante, et pour moi, peu crédible. Le scénario aurait été approfondi, complexifié, le film aurait été très bon. Là, c'est un 1e essai très prometteur en tant que réalisatrice et actrice, mais elle doit beaucoup continuer à travailler l'écriture.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Suzanne, 16 ans, s'ennuie. Elle vit harmonieusement avec sa soeur et ses parents mais le lycée et les gens de son âge ne l'intéressent pas. Sur le chemin des cours, elle rencontre un beau jeune homme qui semble lui aussi se sentir seul.

    Suzanne Lindon réalise et joue son premier film, fait de beaucoup de silences, de timidité, de moments de grâce et de délicatesse. Elle s'entourent de comédiens au jeu élégant (Arnaud Valois, Frédéric Pierrot, Florence Viala, Rebecca Marder) et joue, avec ses faux airs de Charlotte Gainsbourg, époque "Petite voleuse", parfaitement l'adolescente tout en gaieté et langueur. Christophe, Vivaldi et une chanson originale de Vincent Delerme accompagnent musicalement ce premier amour troublant et empêché.

    Il se dégage de ce film, certainement pas parfait, une émotion qui emporte sans qu'on ne sache très bien pourquoi. Un effet diabolo...  grenadine.

    sanscrierart.com
    emmanuelbobo ..
    emmanuelbobo ..

    4 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    Beaucoup de dialogues incompréhensibles. Le cinéma se passerait-il des qualités de diction du théâtre ? Ce film n'est pas très intéressant car il manque de véracité. La fille qui demande à son père comment réparer un moteur ou s'il préfère les filles en jupe ou en pantalon, c'est un peu n'importe quoi. Tout cela est un peu trop bobos des villes et le castings est franchement moyen. Désolé pour la miss Lindon mais il ne suffit pas d'être la fille de pour...
    Comment ce film a-t-il pu se faire. Dialogues et réalisation assez mauvais et comment et pourquoi ce film avait-il pu être sélectionné à Cannes ?
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 425 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Dans cette première œuvre, il y a un peu de « L’effrontée » et une pincée de « Diabolo menthe », mais le film, parce qu’il est, comme sa jeune réalisatrice/actrice, trop novice, ne raconte finalement pas grand-chose de notable, ni même de déjà-vu et encore moins de façon incroyable, narrativement parlant. On retiendra toutefois, deux scènes dansées et chorégraphiées à deux sur fond de musique classique très belles et poétiques. Ce sera toutefois bien trop peu, mais on espère que cette bluette ne restera pas sans lendemains, le temps pour Suzanne Lindon de gagner en maturité et expérience(s) !
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    106 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2021
    Beaucoup ont reprit les critiques émises par les journalistes, soit « film de bobo gauchiste et de privilégiés, toujours la même chose, nombrilisme, actrice et réalisatrice grâce à son nom pas par son talent etc ». Je suis souvent en désaccord avec la presse, toujours plus ou moins achetée par les studios, et donc encore plus avec ceux qui répètent leurs incongruités. Sauf que là faut avouer que c’est vrai et flagrant, une fille de Lindon et Kiberlain qui réalise et tourne son 1er film à 21 ans c’est trop gros. Ce truc est vide, un semblant de pitch déjà vu plein de fois (pas qu’avec C. Dion), des dialogues lénifiants, un rythme mou, des musiques qui vont avec les scènes mais qui serviront davantage de berceuses, un jeu plat… Malgré sa courte durée (1h10) c’est truffé de longueurs, aller on va dire que c’est un style genre Godard ou Pialat, personne connait maintenant ça passera.
    Bref on a une caricature des productions françaises qui se veulent intellectuelles, tellement bien à sa place dans l’élite que ça passe au festival de Cannes, une preuve de plus qu’il faut oublier cette cérémonie consanguine ? A vous de voir…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 octobre 2021
    Que dire de plus si ce n est d un vide et d un ennui abyssal.. Mlle Lindon se veut certainement un mix entre Charlotte gainsbourg(l effrontée) et sophie marceau(la boum) mais il faut qu elle redescende car c est tout sauf cela !
    je trouve absolument scandaleux que ce film ai eu la promotion qu il ne mérite pas.. Bref que du vide et une perte de temps
    darkvash
    darkvash

    106 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2022
    Beaucoup de choses ont été dites sur ce film, fait par une fille de, bref il était temps de se faire son propre avis sur ce monument issu du cinéma Français.
    C'est du caca.
    Voila, merci de m'avoir lu.
    Bon, on va étoffer un peu, une heure quinze d'ennui, une heure quinze d'incompréhension, de non jeu.
    spoiler: On s'emmerde profondément sur cette recherche de soi d'une fille de seize ans qui ne trouve pas sa place, soi disant, auprès de sa génération ( elle se sent peut être supérieure, plus intelligente, mais à aucun moment on ressent cela). Personnage pas développé, sa rencontre avec cet adulte de 35 ans est une révélation pour elle, pas développée non plus, leur relation est fantastique entre deux pas de danse (ça sort de nulle part et... pfft) et voila la fin.

    Donc on résume, le néant à un nouveau nom, Seize Printemps.
    Ciné-13
    Ciné-13

    117 abonnés 1 068 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2021
    Quelle sensibilité! Elle est d'une timidité adorable...
    Danser sur le Stabat Mater de Vivaldi est une sacrée trouvaille émotionnelle!
    Danser dans la rue sur Señorita de Christophe est un petit bijou de scène qui exprime parfaitement la joie intérieure face à cet amour naissant, à la fois candide et profond.
    Beau film sur le vague à l'âme...
    clementine F.
    clementine F.

    23 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2021
    N’est pas réalisateur qui veut , très mauvais . Le film m’a semblé interminable il ne dure pourtant que 70 min , une perte de temps a mon sens
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 056 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Le film qui s'en est pris plein la tronche parce que réalisé par une petite bourgeois cooptée (et parce que ça avait l'air assez nul, on ne va pas se mentir) est enfin sorti en VOD !

    Et franchement ce n'est pas très bien, on sent tout le délire de la bourgeoisie parisienne qui s'ennuie, qui trouve que bon quand même les autres sont trop cons et qui rêve d'une idylle avec un homme plus âgé. Le problème c'est que tout ça est quand même bien trop explicite et sans grande finesse pour réussir à convaincre. On la voit qui s'ennuie mortellement avec les gens de son âge, on filme bien en gros plan qu'elle se fait chier... Qu'elle joue avec sa paille... Franchement moins subtil tu meurs. Il y avait moyen de filmer ça en plan séquence fixe, avec des dialogues intelligibles où on voit bien que la fille n'est pas intégrée dans la conversation plutôt que d'en faire des caisses...

    Et c'est là que ça fait vraiment délire mégalomaniaque... le film fonctionnerait mieux si elle n'était pas sur tous les plans, en grrrooooossss plan... et si tout ça avait tout simplement plus de vie, ça permettrait de rendre ça simplement crédible. Là si on excepte finalement une scène où un décorateur lui raconte comment il a choisi la couleur de son décor, personne ne s'exprime, personne ne parle ce qui fait un film très peu ancré dans le réel (même pour un réel bourgeois). Et je suis désolé pour faire un film aussi taciturne, il faut de bien meilleurs acteurs (ou mieux les diriger), mais surtout bien mieux mettre en scène tout ça.

    Surtout que le film est redondant au possible, on se tape je ne sais combien de chansons de Christophe, pas mal de séquences de danse entre le mec et la fille... c'est bon... ça tourne en rond.
    En fait le film a beau ne durer qu'une heure et quelque, c'est long pour rien. C'est clairement un scénario de court métrage étiré sur plus d'une heure pour faire un long métrage à peine la majorité atteinte.

    Parce qu'en vrai, si tu vires cette séquence ridicule au possible où elle lève les bras au ciel dans la rue de bonheur, (ou la pire scène d'infiltration au monde, avec Suzanne Lindon s'infiltrant dans un théâtre pour faire du male gaze et mater le vieux qui lui plait) chaque scène, prise indépendamment des autres peut fonctionner plus ou moins... C'est juste qu'en faisant trop, en montrant et remontrant la même chose, on est juste abruti par ces conneries...

    Faire simple c'est pas juste mettre peu de dialogue, c'est réduire toute la narration et ne pas compenser avec des plans sursignifiants parce que tu penses que ton public c'est des prolos débiles auxquels il faut tout dire 50 fois...

    Disons que ça a quand même l'intelligence de ne pas durer beaucoup plus d'une heure... c'est déjà ça.
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