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    Seize Printemps
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    ffred
    ffred

    1 690 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Je m’attendais à quelque chose de bien niais, et surtout à pas grand chose. D’ailleurs les premières minutes m’ont donné raison. Mais petit à petit le charme a commencé à faire son effet. On retrouve alors tous les ingrédients du premier amour, et on retrouve surtout le très beau et talentueux Arnaud Valois. De très belles scènes, pleines de tendresse de douceur et de poésie se succèdent alors. Certes le tout est sans doute très léger, et pas très réaliste, mais plein d’une certaine grâce, de fraicheur et d’espoir. Même si Suzanne Lindon a du bénéficier du soutien du réseau de papa/maman pour un premier long métrage elle s’en sort plutôt bien. Une belle surprise pour moi en tout cas.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 949 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2022
    Le portrait troublant voir gênant, mais plein de douceur et de délicatesse du premier amour d’une jeune fille de 16 ans pour un homme de 35 ans, écrit, réalisé et interprété par la lumineuse Suzanne Lindon, aux faux airs de Charlotte Gainsbourg.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 387 abonnés 4 423 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Seize printemps est un film précédé d'une terrible réputation, mais j'avoue que son titre principal, composé par Vincent Delerm, étant très beau, je me suis laissé tenter de découvrir le film dont il est issu. Et... Ce n'est pas bon ! En fait, le souci du film c'est qu'il n'a pas su choisir entre le réalisme et le conte. Il échoue sur les 2 tableaux de fait et n'a pas grand chose à offrir. Côté casting, les acteurs ne sont pas bons, même l'actrice réalisatrice, Suzanne Lindon, qui, si elle fait illusion toute seule en gamine de 16 ans, n'a aucune alchimie avec son acolyte, Gallois qu'il se nomme me semble-t-il. Ce dernier est une gravure de mode impavide, et autour d'elle personne n'a rien à défendre ou presque. Le scénario est minimaliste, déjà vu mais en plus de ça, sans enjeu. En fait, Seize printemps a un souci: où est l'élément perturbateur ? Une rencontre amoureuse, un amour, puis une fin en eau de boudin, et un métrage de 70 mn hors générique. Pourquoi? Ben parce que rien ne vient perturber cette histoire. Tout le monde acquiesce à cette étrange histoire d'amour ado-adulte, alors que justement, pour créer de la tension et du relief c'était là qu'il fallait introduire un élément perturbateur, et non pour forcément juger, mais pour créer simplement du relief, de l'action. Là, il se passe vraiment rien, mais rien de rien ! D'autant que l'histoire d'amour est platonique, bourgeoise, très molle et palichonne, et comme je disais, comme il n'y a aucune alchimie entre les acteurs, ben cette histoire n'a aucune force ni sensibilité.
    Visuellement, le film hésite entre le réalisme comme je disais (décors sans relief, photo et réalisation au style quasi-documentaire, horribles sons ASMR typiquement français, par exemple avec les bruits de fourchettes, de mastication lors des repas!), et le conte (danse improvisée, irréalisme technologique vu qu'il y a plein de jeunes et 0 portable par exemple, Paris désertifié!). Pour moi l'erreur c'est de ne pas offrir un vrai conte, avec de vrais numéros dansés (ici c'est des improvisations pas synchrones pour un sou et sans ambition sur des musiques balancées à l'arrache), une vraie magie parisienne à la Amélie Poulain. Ne poussant pas le curseur assez loin, ça apparaît comme une fantaisie ridicule dans le film, et le réalisme lui donne une atmosphère de documentaire chiant comme la mort. Et en vrai, la musique n'est même pas là, car on a le droit à 4 tout petits morceaux dans le film, et la chanson de Delerm n'apparaît vraiment qu'au générique!
    En conclusion, un premier film encensé très abusivement par la presse qui fait preuve d'une amabilité sans borne pour une Suzanne Lindon certes débutante mais qui livre une oeuvre foirée. Scénario pondu à 15 ans, ça ce sent, et le reste est à l'avenant. 1 pour quelques moments corrects et des idées poétiques mais totalement pas exploitées.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 425 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Dans cette première œuvre, il y a un peu de « L’effrontée » et une pincée de « Diabolo menthe », mais le film, parce qu’il est, comme sa jeune réalisatrice/actrice, trop novice, ne raconte finalement pas grand-chose de notable, ni même de déjà-vu et encore moins de façon incroyable, narrativement parlant. On retiendra toutefois, deux scènes dansées et chorégraphiées à deux sur fond de musique classique très belles et poétiques. Ce sera toutefois bien trop peu, mais on espère que cette bluette ne restera pas sans lendemains, le temps pour Suzanne Lindon de gagner en maturité et expérience(s) !
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 929 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2021
    On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Suzanne Lindon, fille de Sandrine Kiberlain et de Vincent Lindon a coiffé au moins cinq casquettes pour son tout premier film « Seize printemps » : productrice, scénariste, actrice, réalisatrice et chanteuse. On pourrait y ajouter directrice de casting puisqu’elle aurait choisi ses acteurs. Elle a écrit son scénario à quinze ans puis l’a mis en scène cinq ans après. Un film sélectionné à Cannes ! Qui est derrière tout ça ? On peut en effet se poser légitimement la question. Etre fille de Vincent Lindon et de Sandrine Kiberlain, ça aide. Et le fait de baigner dans les relations de papa et de maman comme Thierry Frémaux, ça peut aider aussi. Sans compter tous les circuits de la distribution, promotion et j’en passe. Bref, tant mieux pour elle, je n’ai jamais été jaloux de qui que ce soit. Cependant, je peux comprendre qu’il y ait des hommes et des femmes plus âgés qu’elle, remontés contre les décideurs de l’industrie du cinéma. Ressentir une injustice parce qu’ils galèrent pour monter un premier film qu’ils pensent plus dense que ces « Seize printemps ».
    Alors notre Suzanne nous conte l’histoire de… Suzanne âgée de 16 ans qui s’ennuie avec les jeunes de son âge. Elle s’en va séduire un homme de 35 ans comédien de son état. Pourquoi pas. Qu’y a-t-il de scandaleux ?
    Suzanne Lindon assume : spoiler: « À cet âge-là, elle peut être décisionnaire même quand elle se trouve devant un homme plus vieux qu'elle. C'est elle qui a le pouvoir dans le film : c'est elle qui le voit, elle qui le choisit et qui va amorcer l'histoire d’amour. »

    A bien y réfléchir, c’est assez audacieux. Seulement, le minois de Suzanne Lindon qui fait penser à Charlotte Gainsbourg dans « L’effrontée » me fait aussi penser par associations d’idées (au pluriel) à l’esprit provocateur de Serge Gainsbourg entraînant sa fille dans un clip sulfureux et très mal compris par des excités « Lemon Incest » et à Bertrand Blier « Beau-père » qui là, pour le coup, voyait un beau-père (Patrick Dewaere) capituler sous les pulsions sexuelles de sa belle-fille (Ariel Besse), seulement la novice Suzanne ne fait rien de cette audace. Sans lorgner du côté de Bertrand Blier, elle aurait tout de même fait preuve de caractère si ses « Seize printemps » bousculait les codes de la bien pensance. Au lieu de ça, elle nous offre une relation très platonique, « Diabolo menthe » puisque c’est une de ses références a plus de relief que « Seize printemps ».
    Là aussi, c’est sans doute assumé. La réalisatrice savait (nous aussi spectateurs, on s’en doutait) que ce caprice amoureux était voué à l’échec. Quoique… La fin reste ouverte. spoiler: Après tout, rien ne nous dit vraiment que la relation est terminée
    . Suzanne Lindon ne veut pas choquer son auditoire. N’a-t-elle pas déclaré à la presse : « Je suis consciente que 16 ans - 35 ans, c'est grave (…) Rien de grave ne se passe entre eux » rassure toutefois la jeune scénariste. Elle prend soin du spectateur notre Suzanne. spoiler: Si « rien de grave ne se passe » je peux en conclure que la relation platonique a pris fin
    . Alors ce sourire de fin, n’est peut être rien d’autre qu’une séquence de plus… inutile.
    Pourtant, « Seize printemps » provoquera deux polémiques : elle a fait un premier film à 20 ans où elle assume tout, sélectionné à Cannes de surcroît ; et le sujet de son récit flirte avec la pédophilie.
    Tout n’est pas à blâmer. La séquence du petit-déjeuner où Suzanne et Raphaël dansent assis à leur table sous un air d’opéra est la seule bonne trouvaille du film. Ce n’est pas grand-chose, ça n’a rien d’exceptionnel, mais cela peut en dire long sur sa capacité à déjouer dans sa mise en scène. spoiler: Ce pas de deux traduit une étreinte impossible ou une étreinte interdite
    . Suzanne Lindon est de tous les plans, elle introduit la très grande majorité des séquences. L’air de rien, cette Suzanne Lindon fait preuve d’un sacré caractère malgré tout. Elle ne doute de rien. Ça promet.
    En résumé, Suzanne Lindon nous pond une histoire qui n’est rien d’autre qu’un journal intime d’une petite bourgeoise en manque de frisson et qui s’ennuie profondément. Certains se laisseront aspirer par cet ennui profond…
    Caroline M
    Caroline M

    29 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 juin 2023
    NON NON ET NON !

    La seule motivation de ce film : faire un film.
    Ça sent le caprice à plein à nez.

    Comment cette daube est elle pu se retrouver à Cannes ?

    Mon dieu, il n’y a pas d’histoire.
    On sennuit Du début à la fin. Cette fausse trame a le Rhomer ne prend pas.
    Fabien S.
    Fabien S.

    542 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2022
    J'avais attendu beaucoup de critiques négatives par rapport à ce film français. Le long-métrage de Suzanne Lindon est fait avec beaucoup de tendresse et d'amour.
    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 815 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2021
    Suzanne Lindon (fille de Vincent et Sandrine) signe ici un film réalisé, écrit et interprété par elle-même. Elle y incarne une lycéenne, pas harcelée, mais pas vraiment non plus en phase avec les camarades de son âge. Soudain, elle va tomber amoureuse d'un comédien de 35 ans (Arnaud Valois). Il y a un réel talent dans le jeu d'actrice de Suzanne Lindon, un investissement réel mais que le scénario est léger! La rencontre de ces deux êtres débouche sur quelques moments de grâce avec une bande son sublime mais le reste du temps, c'est ennuyeux (comme s'extasier devant un verre de diabolo fraise). A voir pour les scènes dansées et la fraîcheur de l'héroïne.
    Sijosdir
    Sijosdir

    22 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 février 2022
    On s'ennuie vraiment. Aucune émotion. Rien ne nous raccroche à la réalité. Suzanne Lindon joue atrocement faux, c'en est gênant. Le passage où elle parle de moteur avec son père est réellement affigeant. Seul point positif, les autres acteurs sont plutôt bons, en particulier l'homme dont elle est amoureuse, qui fait bien le job dans ce rôle difficile...
    Isabel I.
    Isabel I.

    38 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mai 2022
    Ça traite de l'adolescence et de ses  questionnements. C'est un peu comme un journal intime rempli de poèmes candides. Suzanne très autocentrée sur sa petite personne, joue Suzanne une jeune fille, assez insignifiante, en fait. Adolescente introvertie, pas trop bien dans sa peau, rôle, centrale dans ce récit, au jeu assez déroutant ; on se demande toujours  si elle joue bien ou faux . On sent que  "cette fille de ..." connait beaucoup beaucoup  de  "beau monde". Un film de potes ? De famille ?  "On fait plaisir à la petite, on va la laisser tourner un film elle sera actrice et réalisatrice ... et  aussi et surtout la fille de Lindon et Kiberlain, mimétisme flagrant ".
    Le scope pour donner un côté amateur dans la manière de filmer ou pour faire "genre" tout paraît très maladroit. Des acteurs aguerris et connus et pourtant drôle de manière d'interpréter. Volonté de la mise en scène ? un peu à coté , impression bizarre. Derrière un aspect qui se veut hyper naturel tout est absolument artificiel et calculé, sophistiqué, maniéré, intellectualisé.
    Le film dure 1h15, c'est plutôt tant mieux car c'est un film trop ambitieux sans doute pour les 16 printemps  de Suzanne Lindon?, il lui manque la maturité, un recul nécessaire. Le film est juste prétentieux. Terminons cependant  par une note positive : les scènes dansées, mimées sont sympathiques, seuls moments un peu plus intéressants et un point fort pour la bande son, l'hommage à  Christophe .
    Isabelle M.
    Isabelle M.

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2022
    Hélas le talent des parents ne fait pas toujours celui des enfants.... film mou, sans intérêt. Dans le genre ado paumée, à l'époque le film de Diane Kuris Diabolo menthe et son générique avait beaucoup plus de gueule. Pas plus de talent en tant que scénariste, réalisatrice, actrice ou chanteuse..... parfois il faut savoir choisir une autre voie que celle de papa et maman
    Emmanuelle Halimi
    Emmanuelle Halimi

    16 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Consternant.Suzanne Lindon, en plus d'avoir un physique plus qu'ingrat , à la voix complètement cassée et donc une diction déplorable. Que dire de son jeu d'acteur , très très mauvais ( elle éclate de rire sans raison , comme dans un film de Pialat - mais n'est pas Pialat qui veut...)
    Bref, ce film est raté, car on sent le piston derrière , l'univers " bobo/18 ème" aseptisé ,(les scènes avec parents frisent le ridicule )
    A éviter!
    RitchieGueko
    RitchieGueko

    15 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 février 2023
    Seize Printemps est un film réalisé par Suzanne Lindon et sorti en 2021.
    Ce film a deux points positifs : une mise en scène délicate et assez soignée ainsi que des chansons de Christophe pour émailler certaines scènes.
    Malheureusement, ce film est réellement pénible à suivre car le scénario est mince comme une feuille de cigarette, les acteurs jouent souvent à côté, en particulier Suzanne Lindon dans un exercice de copie du style "Charlotte Gainsbourg", les dialogues sont affligeants et les personnages sont bien trop peu développés. Bien que le long métrage dure 1h15, le temps semble bien long durant le visionnage.
    Ce film est un échec artistique malgré des idées de réalisation intéressantes, elles auraient mérité un meilleur scénario et de meilleurs acteurs.
    Nicolas TEXIER
    Nicolas TEXIER

    40 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 décembre 2021
    Faire un tel film à 19 ans est quand même un exploit avec une réalisation maitrisée et une mise en scène qui se permet quelques fantaisies et choix forts. L'histoire se laisse porter, simple, douce, mais finalement manquant de profondeur, d'autant plus que certains aspects des personnages et dialogues ne sont pas maitrisés. D'autant plus que l'histoire en elle-même est étonnante, et pour moi, peu crédible. Le scénario aurait été approfondi, complexifié, le film aurait été très bon. Là, c'est un 1e essai très prometteur en tant que réalisatrice et actrice, mais elle doit beaucoup continuer à travailler l'écriture.
    Chris CD
    Chris CD

    9 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2020
    Le thème n’est pas nouveau, peu attrayant, le titre un peu banal. Mais la façon de le traiter avec beaucoup de délicatesse l’est. Le début est un peu lent, on se demande quand on va enfin commencer à nous raconter une histoire. Mais finalement, peu à peu, on rentre dans l’atmosphère très intimiste et poétique du film.
    Suzanne Lindon actrice rappelle étrangement Charlotte Gainsbourg ou encore Romane Bohringer au même âge. En tant que réalisatrice, elle a un style bien à elle. Elle semble promise à une belle carrière.
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