C’est assez préoccupant de voir qu’une « ado » d’une vingtaine d’année soit capable de produire une telle vision ringarde de la jeunesse, de la vie parisienne et des relations hommes femmes. A croire, du haut de son château bourgeois blanc que Suzanne n’a ni eu vent du mouvement #meetoo, ni de la diversité qui fait la richesse des parisiens et encore moins des difficultés financières de vivre à Paris. Ses copines sont toutes blondes aux yeux bleus, habillée faussement simple, son lycée est à deux pas de son appartement hausmanien à Montmartre, son père lui fait des remarques sexistes limite incestueuse et son amoureux est un acteur déchu de 10 ans de plus qu’elle qui lui achète des fraises tagada pour la séduire. Même cendrillon n’aurait pas fait plus cliché. Une pensée pour tous les jeunes réalisateurs talentueux qui parce qu’ils sont mal nés ne seront jamais reçus dans la matinale de France Inter ou encore au festival de cannes. 70 minutes de torture au service de la France des privilégiés. fuyez et vite !
A la poubelle cette daube cinématographique sans état d âme ! Une réalisatrice sans talent présente un film qui est finalement nullissime et je pèse mes mots . Très Ennuyant. Comment se film a pu être choisi a canne , je ne comprend pas . Ce n est même pas un film ce truc , à ne surtout pas voir , même la durée du film très courte montre à quelle point ce film n a rien à dire . A ne surtout pas voire . Je plains le cinéma français …
Beaucoup de choses ont été dites sur ce film, fait par une fille de, bref il était temps de se faire son propre avis sur ce monument issu du cinéma Français. C'est du caca. Voila, merci de m'avoir lu. Bon, on va étoffer un peu, une heure quinze d'ennui, une heure quinze d'incompréhension, de non jeu. spoiler: On s'emmerde profondément sur cette recherche de soi d'une fille de seize ans qui ne trouve pas sa place, soi disant, auprès de sa génération ( elle se sent peut être supérieure, plus intelligente, mais à aucun moment on ressent cela). Personnage pas développé, sa rencontre avec cet adulte de 35 ans est une révélation pour elle, pas développée non plus, leur relation est fantastique entre deux pas de danse (ça sort de nulle part et... pfft) et voila la fin.
Donc on résume, le néant à un nouveau nom, Seize Printemps.
Film particulièrement mauvais. Un navet a plus de saveur. On pourrait être indulgent pour une réalisatrice d'à peine 20 ans si le film n'était pas d'une prétention singulière. Aucune mise en scène. Aucune créativité. Même les acteurs ne sont pas dirigés et sont donc insipides. Le seul intérêt du film est sa durée, très courte, qui abrège nos souffrances.
A fuir. Je suis partie de la salle avant la fin. Un mauvais film financé et poussé par le reseau et l'envie de rester dans un entre soi, les plans sont fade et les scènes de danse grotesque.
Que dire... consternant du début à la fin. Le sujet de film me paraissait intéressant mais tellement mal traité. On ne ressent rien. Aucune émotion, aucune empathie. Cette Suzanne ne nous donne RIEN. Payer aussi cher une place de cinéma pour voir ça, ah non non plus jamais. C'est dommage car c'est bien son âge qui m'a donné envie de voir le film que j'aurai pensé plus actuel et réaliste qu'il ne l'est. Ce film est lisse, on en sors avec un sentiment de foutage de gueule. Et puis vouloir faire du Charlotte Gainsbourg quel dommage, elle aurait peut être du essayé d'être elle-même ou pas! Comme quoi même si les parents sont acteurs prendre quelques cours ne lui aurait pas fais de mal, le talent n'est pas toujours inné mais il peut venir avec du travail dans son cas beaucoup beaucoup de travail. Par la suite j'ai regardé les interview de l'actrice et j'ai très vite compris.. elle ne brille pas, je ne cherche pas à être méchante mais même quand elle essaye de résumer son film elle s'y perd, puis on voit qu'elle essaye de broder pour apporter de l'épaisseur à son personnage mais bafouille. J'ai laissé de côté le côté fille de car beaucoup on réussi à créer des chefs d'œuvres mais elle, non, pas avec ce film. Peut être le prochain?? Par contre sélectionné au festival de Cannes? Pitié respecter le cinéma français!!! Faite comme vous le sentez mais si vous hésitez entre ce film et un autre choisi viiiite l'autre!!!
scénario vide, gros moments de blanc, scènes inutiles, du plagiat sur diabolo menthe et l’effrontée, le seul point positif est l’acting de suzanne, ce film est sans grand intérêt et en plus je reste sur ma faim pour la fin (c’est le cas de le dire)
ne perdez pas votre temps, d’autres films en valent plus la peine.
Seize printemps est un film monotone, égocentré autour de la personne de Suzanne Lindon qui a non seulement la prétention de s'incarner en une réalisatrice, mais aussi en une actrice de piètre niveau.
je suis sortie du cinéma avec la sentation d'avoir perdue mon temps... 1er film j'espère que le prochain sera mieux ficelé et les dialogues mieux construits le film et creu une jeune fille qui tombe amoureuse d'un trentenaire c'est vue et revue
Apparemment il y a eu des polémiques sur le film, et perso je ne suis pas la pour les numéroter.
C'est typiquement le genre de film d'auteur chiant que l'on se bouffe depuis bien longtemps.
Le problème principal du film est que c'est banal, genre les interprétations sont corrects, les acteurs connaissent leurs textes, la réalisation est du plan-plan basiques et même au niveau technique c'est le vide intersidéral.
A quoi rêve une jeune fille de 16 ans qui boit un diabolo grenadine en lisant Boris Vian ? A l'amour, bien sûr, qui la sortira de l'ennui du lycée et de la fréquentation de ses congénères, trop peu mûrs pour elle. Film minimaliste, évidemment critiqué car réalisé par une fille de (est-ce un obstacle au talent ?), Seize printemps ne déborde pas d'ambition et se révèle un poil répétitif mais n'est pas dénué d'élégance ni même occasionnellement de grâce dans les scènes dansées sur la musique de Christophe ou de Vivaldi. C'est très auto-centré et un peu béat sur une vie familiale tellement parfaite avec des parents cool mais Suzanne Lindon ne nous promet pas la lune bon plus et s'en tient à son cahier des charges adolescent, sachant que le film a été écrit à l'âge canonique de 15 ans. La romance qui est contée, platonique et sage, remplit tout l'espace, avec une vision déconnectée d'une époque (pas de téléphones portables) qui voudrait renvoyer au style des Maurice Pialat et Claude Miller sans y parvenir vraiment. Quant à Suzanne Lindon actrice, avec son faux air de Charlotte Gainsbourg, elle occupe assez bien l'écran sans avoir besoin de débiter de longs dialogues. Son camarade de jeu, Arnaud Valois, impose de son côté une sobriété de très bon aloi. Avec ou sans paille, le diabolo grenadine est de ces boissons qui peventt rafraîchir un moment mais qui n'étanchent pas réellement la soif.
Gene totale pour les comédien.e.s formidables que la SL abîme, gâche Pensées chaleureuses pour tous les excellent.e.s réalisateur.rice.s, auteur.e.s qui n ont pas pensé au caprice pour valider leur projet, financement etc. Mes tendres amities à toutes les jeunes filles de 16 ans. Pourvu que les hommes de 20 ans leurs aînés sur lesquels elles tomberont sacheront dire non, ne les embrasseront pas dans le cou sans leur demander la permission,....