Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Une odyssée intérieure d’une heure et quatorze minutes traversée par la sensualité, la fantaisie et la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Charlotte Marsal
Une œuvre prometteuse et d’une grande maturité.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Pour son premier film, Suzanne Lindon se souvient de (1983) de Maurice Pialat comme de (1985) de Claude Miller, et renouvelle avec douceur et fraîcheur le récit des premières amours.
Elle
par La Rédaction
Un premier film subtil et gracieux sur l'adolescence.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La jeune Suzanne Lindon, qui fait ses débuts de metteure en scène, est à l’image de son récit d’apprentissage : il y a chez elle un plaisir et une joie de jouer. Et une belle promesse.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pour sa première réalisation, Suzanne Lindon trouve le ton juste, la note personnelle. Son film est une aquarelle, bercée par Christophe, Boris Vian ou Vincent Delerm. Elle a réussi son Diabolo-grenadine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Victoria Gairin
Un petit bijou.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une délicatesse de chaque plan, Suzanne Lindon esquisse en un peu plus d'une heure le portrait d'une jeune fille amoureuse pour la première fois.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un joli film sur l’adolescence, mais surtout une première œuvre d’une toute jeune réalisatrice de vingt ans, dont le talent nous laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Petit film modeste, fragile, hors du temps (on parle de «boum») mais qui possède sa propre petite musique.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y a donc de la maîtrise et du brillant dans cette mise en scène, quand bien même le film, plus convenu en certains moments, serait imparfait.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Mais si Suzanne Lindon actrice ne convainc pas lorsqu’elle surjoue la gaucherie chic en se prenant pour la réincarnation de l’effrontée, la jeune réalisatrice impressionne en revanche par sa maturité et sa capacité à assumer de bout en bout le parti pris de raconter sa délicate histoire d’amour via des scènes dansées audacieuses.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
Est-ce agaçant ? Oui, certes, parfois, mais amusant aussi. Car c’est le portrait d’une génération surprotégée, confinée, velléitaire que dresse également la réalisatrice. Son héroïne reste au bord de la vie, l’observe, s’excuse de ne pas s’y jeter et son drôle de regard finit par y conquérir une touchante consistance.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Reconnaissons à Suzanne Lindon de ne pas mentir sur ses tracas de fille de (Sandrine Kiberlain et Vincent Lindon) éprise d’un homme mûr et de les traduire avec sensibilité, en substituant la danse à l’étreinte amoureuse. Cela méritait-il une heure quinze et une sélection cannoise ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Écrit à 15 ans et réalisé à 19 ans, le premier film de Suzanne Lindon capte avec subtilité et grâce les premiers émois d’une jeune fille qui tombe amoureuse d’un homme plus âgé mais l’histoire reste trop ténue pour convaincre
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
L’histoire et les personnages manquent de profondeur pour un long-métrage, même aussi court que celui-ci. Mais la mise en scène recèle quelques moments de grâce, notamment quand la jeune actrice-réalisatrice danse dans la rue.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Suzanne Lindon a toujours rêvé d’être actrice, comme son papa et sa maman. Elle a donc écrit et réalisé un film pour s’en offrir le premier rôle. Mais en dressant le portrait d’une jeunesse atemporelle elle ne parvient qu’à vider cette chronique de son sens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
A 21 ans, Suzanne Lindon signe un premier film au charme désuet qui ne décolle pas de son imagerie bohème très balisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
L’épure de la mise en scène évite l’éparpillement mais l’absence de complexité du récit oblige à la répétition. Certains longs sont des courts qui durent trop longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Renaud Baronian
Aussi vaporeux qu’ennuyeux, le premier film de Suzanne Lindon, qui conte l’amour platonique d’une jeune fille pour un homme plus âgé, s’avère totalement déconnecté de la réalité du moment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A 19 ans Suzanne Lindon écrit, réalise et interprète un premier long-métrage conçu comme un collier de références à un cinéma d'autrefois. Une fuite du temps présent qui finit par irriter.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
Il aurait pu y avoir un intérêt documentaire à ce que Suzanne Lindon nous offre un instantané de son adolescence privilégiée mais, en s’ingéniant à gommer toute trace de son époque (ici, on lit Boris Vian en arpentant les rues pavées de Montmartre), elle préfère assurer le SAV d’un Paris éternel qui s’étend aujourd’hui sur deux rues du Quartier latin, guère plus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Mlle Lindon, elle, a enfilé son chemisier immaculé (Chanel, remercié au générique) et en tire un long métrage d’un narcissisme embarrassant, mystérieusement sélectionné par le Festival de Cannes en 2020.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Une odyssée intérieure d’une heure et quatorze minutes traversée par la sensualité, la fantaisie et la grâce.
CNews
Une œuvre prometteuse et d’une grande maturité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pour son premier film, Suzanne Lindon se souvient de (1983) de Maurice Pialat comme de (1985) de Claude Miller, et renouvelle avec douceur et fraîcheur le récit des premières amours.
Elle
Un premier film subtil et gracieux sur l'adolescence.
Le Dauphiné Libéré
La jeune Suzanne Lindon, qui fait ses débuts de metteure en scène, est à l’image de son récit d’apprentissage : il y a chez elle un plaisir et une joie de jouer. Et une belle promesse.
Le Figaro
Pour sa première réalisation, Suzanne Lindon trouve le ton juste, la note personnelle. Son film est une aquarelle, bercée par Christophe, Boris Vian ou Vincent Delerm. Elle a réussi son Diabolo-grenadine.
Le Point
Un petit bijou.
Sud Ouest
Avec une délicatesse de chaque plan, Suzanne Lindon esquisse en un peu plus d'une heure le portrait d'une jeune fille amoureuse pour la première fois.
aVoir-aLire.com
Un joli film sur l’adolescence, mais surtout une première œuvre d’une toute jeune réalisatrice de vingt ans, dont le talent nous laisse pantois.
La Voix du Nord
Petit film modeste, fragile, hors du temps (on parle de «boum») mais qui possède sa propre petite musique.
Le Monde
Il y a donc de la maîtrise et du brillant dans cette mise en scène, quand bien même le film, plus convenu en certains moments, serait imparfait.
Paris Match
Mais si Suzanne Lindon actrice ne convainc pas lorsqu’elle surjoue la gaucherie chic en se prenant pour la réincarnation de l’effrontée, la jeune réalisatrice impressionne en revanche par sa maturité et sa capacité à assumer de bout en bout le parti pris de raconter sa délicate histoire d’amour via des scènes dansées audacieuses.
Positif
Est-ce agaçant ? Oui, certes, parfois, mais amusant aussi. Car c’est le portrait d’une génération surprotégée, confinée, velléitaire que dresse également la réalisatrice. Son héroïne reste au bord de la vie, l’observe, s’excuse de ne pas s’y jeter et son drôle de regard finit par y conquérir une touchante consistance.
L'Obs
Reconnaissons à Suzanne Lindon de ne pas mentir sur ses tracas de fille de (Sandrine Kiberlain et Vincent Lindon) éprise d’un homme mûr et de les traduire avec sensibilité, en substituant la danse à l’étreinte amoureuse. Cela méritait-il une heure quinze et une sélection cannoise ?
La Croix
Écrit à 15 ans et réalisé à 19 ans, le premier film de Suzanne Lindon capte avec subtilité et grâce les premiers émois d’une jeune fille qui tombe amoureuse d’un homme plus âgé mais l’histoire reste trop ténue pour convaincre
Le Journal du Dimanche
L’histoire et les personnages manquent de profondeur pour un long-métrage, même aussi court que celui-ci. Mais la mise en scène recèle quelques moments de grâce, notamment quand la jeune actrice-réalisatrice danse dans la rue.
Les Fiches du Cinéma
Suzanne Lindon a toujours rêvé d’être actrice, comme son papa et sa maman. Elle a donc écrit et réalisé un film pour s’en offrir le premier rôle. Mais en dressant le portrait d’une jeunesse atemporelle elle ne parvient qu’à vider cette chronique de son sens.
Les Inrockuptibles
A 21 ans, Suzanne Lindon signe un premier film au charme désuet qui ne décolle pas de son imagerie bohème très balisée.
Première
L’épure de la mise en scène évite l’éparpillement mais l’absence de complexité du récit oblige à la répétition. Certains longs sont des courts qui durent trop longtemps.
Le Parisien
Aussi vaporeux qu’ennuyeux, le premier film de Suzanne Lindon, qui conte l’amour platonique d’une jeune fille pour un homme plus âgé, s’avère totalement déconnecté de la réalité du moment.
Les Echos
A 19 ans Suzanne Lindon écrit, réalise et interprète un premier long-métrage conçu comme un collier de références à un cinéma d'autrefois. Une fuite du temps présent qui finit par irriter.
Libération
Il aurait pu y avoir un intérêt documentaire à ce que Suzanne Lindon nous offre un instantané de son adolescence privilégiée mais, en s’ingéniant à gommer toute trace de son époque (ici, on lit Boris Vian en arpentant les rues pavées de Montmartre), elle préfère assurer le SAV d’un Paris éternel qui s’étend aujourd’hui sur deux rues du Quartier latin, guère plus.
Télérama
Mlle Lindon, elle, a enfilé son chemisier immaculé (Chanel, remercié au générique) et en tire un long métrage d’un narcissisme embarrassant, mystérieusement sélectionné par le Festival de Cannes en 2020.