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    Loulou
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    ghyom
    ghyom

    84 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Loulou ne serait rien sans Louise Brooks.

    Ne vous méprenez pas. L'histoire est belle et bien là, s'épargnant tout les pièges du manichéisme et riches de situations même si elle souffre de quelques longueurs. La réalisation de Pabst est magnifique pour l'époque surtout vers la fin du film avec l'intensification de ses accents expressionnistes. Mais ce film c'est surtout Loulou. C'est le personnage autour duquel tout s'articule, le seul personnage travaillé et complexe. Les personnages secondaires que ce soit le Dr Shön, son fils Alwa, le vieux souteneur Schigolch, l'acrobate Rodrigo ou l'amie lesbienne sont assez archétypaux et finalement se montreront tous ou mauvais (Dr Shön, Schigolch, Rodrigo) ou faibles (Alwa et la contesse). Loulou agissant comme un révélateur de la nature profonde de ces êtres.
    Mais Loulou n'est pas parfaite non plus. Et c'est ce qui fait l'intérêt du film. Loulou est totalement consciente du pouvoir de séduction qu'elle exerce. Souvent elle s'observe dans un miroir, se recoiffe, etc. Très coquette, très espiègle, joueuse, elle séduit les hommes et les femmes pour les faire céder à ses caprices ou la sortir du pétrin. Elle use et abuse de ses charmes mais les passions qu'elle déclenche auront une finalité dramatique que sa naïveté et sa légèreté ne lui permettent pas de voir. Éprise de liberté, vivant dans l'instant, innocente même d'une certaine manière, le spectateur est, comme les personnages du film, pris au piège de la fascination qu'exerce cette femme.

    Qui d'autre que Louise Brooks pouvait nous faire cet effet là ?

    En effet, il est impossible d'imaginer une autre actrice être Loulou. Déjà parce qu'elle a cette beauté à la fois enfantine, innocente, naturelle d'une jeune fille et pourtant déjà maitrisée, travaillée, érotique de la femme mais surtout parce que son jeu, particulièrement moderne, tout en retenue, très naturel, un regard et tout est dit, une épaule dénudée et elle transpire la sexualité, contraste parfaitement avec le surjeu théâtral de ses partenaires. Ce décalage, en plus de participer au caractère solaire et centrale de son personnage, souligne l'aspect humain de Loulou face au grotesque de la société qui l'entoure.

    Je n'ai pas beaucoup de points de comparaison dans le cinéma muet pour juger de l’œuvre dans son contexte cinématographique et juger de son importance, mais sur le plan du ressenti je reste plutôt séduit.
    Plume231
    Plume231

    3 882 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2010
    «Loulou» est un film de Georg Wilhelm Pabst, une histoire de passion et d'amour libre d'abord dans l'étroitesse des décors contemporains d'une société ravagée par la décadence et une «morale» qui n'est pas morale et qui s'étend ensuite dans un Londres brumeux aux décors réalistes mais pourtant à la limite de l'onirisme. Mais surtout, «Loulou» est le film avec Louise Brooks, celle qui incarnera à jamais un mythe celui de «l'éternel féminin» avec sa légendaire coupe au carré à travers cette «créature», bourreau et victime à la fois, belle, libre, insouciante et perverse sans le savoir. Une oeuvre immortelle.
    AMCHI
    AMCHI

    5 794 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 septembre 2010
    J'avais beaucoup aimé du même réalisateur et avec Louise Brooks Le journal d'une jeune fille perdue par contre Loulou m'a déçu ; après une 1ère heure très longue qui aurait pu se raconter en moitié moins de temps le film commence à démarrer mais moi qui suis pourtant friand de film muet Loulou ne m'a guère emballé ; seule la partie londonienne avec ses rues brumeuses et son meurtrier m'ont réellement plu.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 novembre 2011
    Les plans sont d'une grande beauté presque jamais atteinte. La musique est très bien écrite et le jeu des acteurs pertinents.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    750 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2010
    Découper en 8 actes, Loulou est un de ces films choc que l'on prend toujours plaisir à visionner. Pour moi, la plus grande qualité de ce film muet est à mettre à l'actif de Louise Brooks qui est absolument incroyable dans le rôle de Loulou, une terrible tentatrice à la sensualité sans faille et qui finira d'ailleurs par détruire tous ceux qu'elle cotoie.
    La mise en scène de Pabst est très ancrée dans l'expressionnisme allemand de l'époque, et certaines séquences - dont celle du meurtre de l'héroine par Jack l'Eventreur - restent des moments très important dans l'histoire du cinéma muet.
    Un long métrage à (re)découvrir d'autant que la photographie n'a pas prit une ride, ce qui permet à Louise Brooks de pouvoir encore faire rêver les téléspectateurs qui la contemplent.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2024
    Il faut saluer le travail de restauration car l’image est quasiment nette et les contrastes sont superbes.
    Wedekind a écrit quelques œuvres majeures de la littérature allemande et on cette histoire de femme fatale est devenue ici un film très intéressant et passionnant dans sa sensualité et sa dramaturgie. Toutes les scènes dans le brouillard ou dans la nuit sont exemplaires et attirantes.
    Un film muet de qualité
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 935 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Enfin vu « Loulou » !
    C’est un peu Osiris éparpillé en 14 morceaux par Seth-la-censure, donnant ainsi à des millions de spectateurs un récit tronqué et édulcoré pour ne pas les choquer.
    Pourtant, « Loulou » bousculera la morale et c’est tant mieux !
    Le corps de « Loulou » reconstitué, l’oeuvre de Pabst se révèle être un film audacieux pour son époque, porté par une Louise Brooks qui détonne et par sa beauté envoûtante et par son jeu expressif.
    Si « expressif » pour le muet et une évidence, cela ne signifie pas pour autant « appuyé ». Ici, son jeu se démarque du jeu inhérent au muet, il frôle une certaine modernité. C’est certainement à l’initiative de Georg Wilhelm Pabst.
    En tout cas, plus expressif que Guy Frangin, acteur modélisé de Bresson (« Une femme douce ») !

    Louise Brooks prête son minois à Loulou, femme légère, libre et indépendante.
    Louise Brooks est Loulou à jamais et pour toujours.
    Louise Brooks n’interprète pas, elle incarne la femme fatale, figure iconique de l’histoire du cinéma.
    Sous la conduite du metteur en scène Georg Wilhelm Pabst, le corps sexualisé de Louise Brooks illumine toute la première partie du film.
    Pabst en rajoute une couche dans le sulfureux avec la comtesse Geschwitz (Alice Roberts) qui ne cache pas son homosexualité et par voie de conséquence son amour pour Loulou !
    Enfin, Georg Wilhelm Pabst se permet un anachronisme avec la présence de Jack l’Eventreur. spoiler: La fin tragique de Loulou est bellement mis en scène.

    Oui, Loulou est un beau film, car tout est beau dans ce film de 1929.
    Que dis je ? « Loulou » est un film esthétique.
    Il n’y a pas que moi qui suis subjugué par Louise Brooks, Henri Langlois l’était aussi bien avant moi en déclarant : « Il n’y a pas de Garbo, il n’y a pas de Dietrich, il n’y a que Louise Brooks.»

    PS : Désormais Pandora a les traits de Louise Brooks, sans les calamités mensongères prophétisées par l’Homme aigri.
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2016
    C'est après voir vu Une fille dans chaque port, de Hawks, que Pabst décide d'engager Louise Brooks, plutôt que Marlene Dietrich, pour son adaptation de deux pièces du dramaturge allemand Wedekind. Et c'est ainsi qu'une icône nait. Scandaleusement belle, scandaleusement immorale, scandaleusement libre : la Loulou de Pabst outrage les bonnes moeurs (ne séduit-elle pas un père et son fils, n'entretient-elle pas une relation homosexuelle ?). Le côté sulfureux et érotique de la chose semble bien dépassé aujourd'hui mais, dans l'Allemagne pré-nazie de 29, on ne plaisante pas avec ça. Résultat : le film est mutilé au mépris de toute chronologie. Il faudra attendre 1980 pour qu'une restauration soit présentée dans sa version originelle de 2h12. Dans le film, Louise Brooks oscille entre la femme fatale et la jeune fille (presque) innocente et victime. Elle a plus qu'un point commun avec la Nana de Zola, d'ailleurs adaptée par Renoir, deux ans plus tôt. Quant au style de Pabst, il appartient davantage à l'école réaliste qu'à l'expressionnisme, hormis les dernières séquences brumeuses de Londres.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    395 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2017
    J’avais un peu peur que le personnage de Loulou prenne trop de place dans le film, bien que Louise Brooks soit absolument fascinante et lumineuse, et en fait pas tant que ça, les seconds rôles restent des éléments moteurs pour enclencher une trame assez intéressante, satirique envers de la société allemande, souvent immorale et pernicieuse, un processus de destruction d’une femme libre et épanouie, concours de circonstances d’une vie, la dramaturgie pèse et la fin est déchirante. Après niveau réalisation ce n’est pas parfait, même pour l’époque, j’ai trouvé certaines séquences inexplicablement longues, enfin dans la durée des plans fixes, surtout dans la première partie, ce qui fait donc que la fluidité n’est pas toujours au rendez-vous, mais rien de nocif non plus, surtout que la seconde est bien plus engageante. Et le mystère vient de la photographie, je ne sais pas si elle est intrinsèquement réussie où si c’est Louise Brooks qui l’attire aussi bien, parce qu’à certains moments il y a quelque chose de magique qui s’opère, et c’est bouleversant de pureté.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    686 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2024
    Die Büchse der Pandora apporte au cinéma ce que Colette transposait en littérature : une restitution dynamique de la confusion régnant dans les coulisses des cabarets et music-halls, une tendresse dans le regard porté sur la troupe d’artistes saisis chacun dans son caractère, une réflexion sur la confusion entre réalité et fiction. Ladite Loulou apparaît telle une héroïne mythique d’une religion tour à tour nouvelle et ancestrale, icone interdite que l’on censure volontiers quand la morale s’invite au débat, figure insaisissable qu’aucun homme ne saurait dompter ; elle anticipe en cela la Marlene Dietrich de Das Blaue Engel (Josef von Sternberg), sorti deux ans plus tard, quoiqu’elle figure ici davantage une victime de la « boîte de Pandore », métaphore de la société de la fin des années 20 que régissent l’hypocrisie, le mépris de classe et la cruauté entre les sexes. La magnifique photographie, qui se charge à terme d’expressionnisme, immortalise les apparitions de Louise Brooks et réhausse un intérêt parfois fluctuant en raison de la lenteur de certains actes.
    Yohan Marques
    Yohan Marques

    23 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    Tout d'abord, il y a un choc, celui de la révélation d'une actrice hors normes car hors du temps, au jeu d'une telle modernité qu'il donne de manière quasi-instantanée au film, un parfum d'éternité. Louise Brooks, premier véritable sex-symbol de l'histoire du cinéma, qui irradie ce long-métrage avec une présence inégalée. Ensuite, il y a toutes ces audaces, toutes ces premières fois : naissance du mythe de la femme fatale, qui entraîne, dans un mélange d'innocence et de perversité, les hommes qui l'entourent dans les abimes de la déchéance, personnage porteur de malédiction au destin forcément tragique; première apparition d'une lesbienne à l'écran, première incursion dans le psychisme d'un tueur en série, deux ans avant "M. Le Maudit" de Fritz Lang. D'ailleurs, la comparaison avec ce dernier ne s'arrête pas là puisque Pabst, comme son homologue compatriote, envoie avec "Loulou" un signal d'avertissement à son propre pays, mis en danger par sa propre dégenerescence et qui pensera retrouver sa fierté en poussant Adolf Hitler à la chancellerie. Les hommes se laissent aveugler par le charme hypnotique de Loulou, aveuglés ils le seront de la même manière face aux discours de haine des propagateurs du nazisme. Osé, violent, noir et cruel... Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2008
    Librement adapté de 2 pièces de théâtre du dramaturge Frank Wedekind, Loulou (La boite de Pandore) est le film le plus célèbre de G. W. Pabst cinéaste autrichien plutôt apparenté à la mouvance des réalisateurs réaliste de la nouvelle objectivité. Ce mouvement a émergé dans les années 20 en réponse à l’expressionisme romantique.

    Le récit gravite autour de Loulou, un des personnages féminins les plus mémorables de l’histoire du cinéma que l'actrice américaine Louise Brooks sublima alors qu’elle n’avait que 22 ans lorsqu’elle incarna l’héroïne de ce chef d’œuvre qui fit d’elle une star mythique. Attirant tous les regards, Loulou est une belle jeune femme séduisante et sensuelle qui semble vivre que pour l’amour et le plaisir. Ses amis de tout âge et de toutes conditions sont très nombreux mais incessamment poursuivi par les hommes et les femmes, Loulou se retrouve malgré tout en proie aussi bien à la répression sociale de ses propres désirs apparaissant insatiables aux yeux de la société, tout comme ceux des personnes qui la jugent par le biais de leur propre hypocrisie sexuelle. Et victime de son sex-appeal, mais surtout de l'avidité des hommes entre besoin de possession et d'argent, Loulou entraîne dans sa chute des hommes et des femmes qui succombent à sa présence charnelle.

    Ce film muet sous titré incarnant le désir, le plaisir ou l'amour fou est souvent présenté comme une œuvre féministe avant la lettre où l’héroïne est victime des hommes ainsi que de la morale bourgeoise hypocrite de son époque. Cependant lorsque on analyse de près les relations de Loulou avec les hommes, on peut constater que ses relations sont plutôt conditionnées soit par l’argent ou soit par un rapport de force où à vrai dire, il n’y aurait aucun désir de la part de l'héroïne déchue mais plutôt des relations utilitaires où Loulou mimerait le plaisir. De la même manière avec ses sentiments, Loulou jouerait plutôt la comédie pour obtenir quelque chose. Autrement dit, si Loulou manipule, e
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2012
    Un des derniers chefs d’œuvres du cinéma muet, et un des meilleurs exemples où un personnage est indissociable de l’actrice qui l’incarne. Loulou permet à Louise Brooks d’entrer dans l’histoire du cinéma, paradoxalement sans doute aidée par le fait que sa carrière prendra fin avec l’arrivée du cinéma parlant.
    Grand personnage féminin aussi. Guidée par ses désirs, Loulou est une femme libre, qui vit comme elle l’entend et qui est sans tabous. Le personnage est da'illeurs souvent vu comme féministe avant l’heure. Même aujourd’hui, il est rare de voir à l’écran un personnage féminin passer aussi librement d’un homme à un autre. Le film de Pabst est également le premier à introduire un personnage secondaire clairement homosexuel en la personne de la Comtesse qui courtise Loulou.
    Le film peut se permettre ce genre d’audaces pour deux raisons principales. Il s’agit déjà d’un film européen, les mœurs étant plus libres sur le Vieux Continent qu’en Amérique, en particulier dans les grandes capitales comme Berlin, Paris où Londres, villes où se déroulent l’action du film. Ensuite grâce au fait qu’il n’existe pas encore de véritable comité de censure en ce qui concerne le cinéma, personne n’ayant encore la mission officielle de décider, selon des critères qui se voudraient objectifs (et qui ne peuvent qu’être que subjectifs en matière d’art), du degré de décence et de moralité d’une œuvre de cinéma. Ce qui ne saura tarder, le code Hays entrant par exemple en fonction aux USA dès 1932.
    La conclusion du film est d’ailleurs désenchantée. Le personnage de Loulou reste malgré tout victime des hommes et d’une société à la morale corsetée, et fini par périr entre les mains de Jack l’Eventreur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 août 2011
    "Loulou" ou "Die Büchse der Pandora" est certes un film de Pabst, avec Louise Brooks, alors il faut l'avoir vu une fois dans sa vie. Mais il faut l'avouer : c'est très lent, très long et très ennuyeux. Surtout la deuxième partie du film, qui suit le procès, où j'ai sincèrement vu les minutes passer. La mise en scène de Pabst est évidemment irréprochable, surtout dans le dernier quart d'heure, dans les scènes avec Jack l'Eventreur où l'on trouve de superbes plans en contre-plongée dans l'escalier, ainsi que la scène du meurtre de Loulou, visuellement magnifique. Louise Brooks est évidemment une grande actrice, qui, contrairement à la plupart de ses consoeurs de l'époque, n'en faisait pas des tonnes. "Loulou" est également à découvrir pour une raison qui relève plus de l'anecdote : c'est le premier film qui affiche un personnage (certes secondaire) lesbien, en l'occurrence une duchesse, amie et amante de Loulou (incarnée par une actrice belge que tout le monde a oublié) ; tout cela reste bien entendu très chaste à l'écran. Mais, en toute honnêteté, que ceux qui n'ont pas somnolé durant toute la partie à bord du tripot français me jettent la première pierre...
    ygor parizel
    ygor parizel

    240 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Les 3 premiers actes sont une introduction au film assez banales. Ensuite l’histoire prend une autre ampleur, les hommes courent tous à leurs pertes, la partie la plus intéressantes est celle ou les personnages vivent dans la clandestinité. La réalisation tient en haleine (même dans les passages moins prenant), Louise Brooks est d’un naturel étonnant par rapport aux reste du casting qui jouent d’une manière très expressive.
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