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    Suis-moi je te fuis
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    Delia Coury
    Delia Coury

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mai 2022
    Le film suis moi je te fuis, est lent et long, nul et chiant. Aucun personnage n’est attachant et les acteurs jouent mal surtout l’actrice principale. N’allez pas le voir c’est une perte de temps et à la limite de la souffrance. Je sais même pas comment un film comme ça peut exister. Nul.
    Frederic Lanchais
    Frederic Lanchais

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2022
    On pourrait avoir envis de voir la suite pour connaître le secret de Ukiyo... Mais non.
    Le triler m'a donné envie d'aller le voire avec ma femme japonaise mais en fait c'est naze.
    Mauvais scénario, mauvais dialogue, mal joué...
    Perdu 2 places de cinéma.
    Le film a télécharger sur internet mais qu'on ne regardera même pas....
    Arthus27
    Arthus27

    91 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2022
    Premier volet d'un diptyque (avec "Fuis-moi je te suis), il en est le moins insupportable des deux. Se construisant en miroir l'un de l'autre, les deux films nous narrent l'histoire sentimentale tumultueuse entre Tsuji et Ukiyo.
    Le souci principal que rencontre le film tient dans la caractérisation des personnages, et dans l'écriture du scénario. À aucun moment il n'est possible de s'attacher à qui que ce soit, tant les personnages sont tous aussi toxiques et caricaturaux les uns que les autres. Sans compter des facilités d'écriture qui ne visent qu'à créer du rebondissement de manière superflue.
    On pourra tout de même sauver la mise en scène, très travaillée.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 mai 2022
    Alors c’est un film japonais où Tsuji rencontre Ukiyo et se prend d’affection pour elle. Il l’a prend sous son aile, et s’attire de nombreux ennuis à cause de son altruisme. Il faut dire que si lui est honnête, elle est menteuse et manipulatrice. C’est long, c’est chiant, pas du tout attendrissant. La suite va être horrible…
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 481 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2022
    Tsuji est, comme beaucoup de jeunes cadres japonais, au début de sa vie professionnelle. Il loge dans un appartement minuscule dont la seule originalité est son bruyant aquarium. Il travaille dans une PME qui vend des jouets et des feux d’artifice. Il y entretient, en violation du règlement intérieur qui les interdit, deux relations amoureuses parallèles avec deux collègues : Minako, une jeune employée frivole, et Hosokawa, la contremaitre, plus âgée et plus mature. Mais c’est de Ukiyo qu’il tombera amoureux après l’avoir rencontrée un soir dans des circonstances exceptionnelles : il lui sauve la vie en dépannant sa voiture bloquée sur un passage à niveau.
    Ukiyo se révèle vite une femme profondément instable, vivant dans la précarité, couverte de dettes et cachant un lourd passé. Pour la conquérir, Tsuji doit avaler bien des couleuvres jusqu’à la racheter à des yakuzas qui allaient la mettre sur le trottoir.

    "Suis-moi je te fuis" et "Fuis-moi je te suis" est l’adaptation d’une série télévisée en dix épisodes. Elle est diffusée en salles sous la forme de deux films de près de deux heures chacun (sortis à une semaine d’intervalle alors que leur visionnage d’une seule traite est conseillé). Leur titre chiasmatique [le mot pédant du jour !] laisse augurer une structure en miroir : on imagine volontiers qu’après avoir vu Tsuji courir après Ukiyo, les rôles se renverseront dans la seconde partie. Ce n’est qu’en partie vrai. Une autre fausse piste : on avait imaginé que les mêmes événements, vus par les yeux de Tsuji prennent, à travers les yeux de Ukiyo, une toute autre signification dans la seconde partie. Cette piste là n’est pas utilisée : la structure du récit est globalement linéaire, qui révèle peu à peu les pans du mystérieux passé de son héroïne.

    Après quatre heures de films, on sort frustré et déçu. On n’a pas vu l’ombre de la « fresque romanesque » promise par la publicité. Au contraire, on a dû ingurgiter une longue romance sirupeuse qui, lorsque la panne sèche menace, introduit un nouveau personnage : un yakuza philosophe, un mari trompé, un ancien amant désespéré….

    Le cinéma japonais est peut-être l’un des plus riches au monde. L’an dernier encore, "Drive my Car" recevait un accueil critique et public enthousiaste, ratait de peu la Palme d’Or et emportait l’Oscar du meilleur film international. Pour autant, ce qu’on en voit aujourd’hui en France ("The Housewife", "Contes du hasard et autres fantaisies", "Aristocrats"….) est au mieux très répétitif, au pire de plus en plus décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 mai 2022
    Love-story modernisée et à la sauce (et la lenteur) asiatique, cette histoire en manque pas de charme. Les caractères sont esquissés de manière plutôt légère mais cela ne nuit pas à l’empathie que l’on ressent pour les personnages. Sans que cela soit gênant,on ne comprend pas nécessairement ce qui attire Tsuji vers l'énigmatique d’Ukyo, jeune femme qui passe son temps à le fuir, à lui mentir et, petit à petit, à le manipuler. Elle finit par adopter un véritable comportement de mante religieuse entre les mandibules de desquelles le pauvre et gentil Tsuji risque de finir broyé. Le garçon à l’allure très avenante est une victime, une victime de sa gentillesse, lui qui ne sait pas dire non, pas davantage à Ukyo vers laquelle il est attiré qu’à sa collègue amoureuse qui cherche à le retenir.

    Je ne sais si Fukada, le réalisateur, a du génie. Mais il s’y prend finalement très bien pour nous intéresser et nous faire partager le destin de tous ses personnages. De sorte qu’on ne loupera pas la deuxième partie de l’histoire qui vient de sortir sur les écrans…
    AdamC
    AdamC

    58 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2022
    Cette première partie du film pose les bases de l'histoire de façon très intéressante
    Très vite nous sommes hypnotisés par cette femme si mystérieuse et par l'attraction chimique qu'elle produit chez Tsuji, une bonne entrée en matière avant le film 2 qui est la plat principal
    Daniele
    Daniele

    14 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Quelle déception ! Un étirement jusqu'à l'absurde d'intrigue niaise à pleurer. Et ça devrait durer plus de quatre heures en tout !
    Sorte de petite pièce de théâtre à quatre personnages : le jeune premier inhibé, l'héroïne paumée et aphasique, la régulière malheureuse et jalouse, l'ex-mari fou furieux et inconséquent ...
    Du manga pour préados visant un format de série télé interminable et aux ressorts artificiels.
    SOS !
    Goéland
    Goéland

    27 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2022
    A Tokyo, de nos jours, un jeune commercial au physique avenant, sérieux et honnête (Tsuji) est l’objet d’avance de ses deux collègues et coule une vie tranquille quand son destin croise celui de Ukiyo, une femme fantasque à qui il sauve la vie. Dès lors, ils vont se livrer à un jeu de chat et de souris, entre embuches, catastrophes, disparitions et réapparitions. Ce faisant, le film traverse le Tokyo des gens qui travaillent et convoque un Yakusa, usurier.
    La relation entre le jeune homme qui agit par bonté sans savoir qu’il est amoureux et la femme en crise qui prétend ne pas vouloir lui nuire, fonctionne bien. On ne se pose pas la question de savoir si elle est crédible, on est charmé par les deux acteurs et on se laisse porter par les situations tragi-comiques. On ira voir la deuxième partie !
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2022
    C'est japonais. C'est un diptyque. Esthétique (manga) et scénarisation emballantes. Prenant et dépaysant à souhait...
    "Il", "Elle" (et quelques autres) : hasards et coïncidences. Et surtout, mystère, mystères. Ce premier volet donne la couleur, introduit les personnages, mais ne révèle guère, multipliant les chausse-trappes.
    Vite, la 2e partie !... Pour apprécier "The Real Thing"... dans son entier.
    Maurice T
    Maurice T

    8 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2022
    C'est la rencontre d'une fille atypique et un garçon bien. Koji Fukafa nous amène de surprise en surprise début jusqu'à la fin de cette première partie Suis- moi je te fuis.
    J'ai hâte de voir la seconde partie Fuis-moi je te suis.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2022
    3 voyages au Japon, très insuffisant pour se poser en sociologue spécialiste….
    il n’empêche,
    j'étais plutôt habitué à un pays, particulièrement rationnel et organisé, et voilà que plusieurs films récents, bousculent la tradition…..On s’échappe d’un univers pragmatique pour la fantaisie, l’absurde, l’irrationnel.

    Pleine de charme, nouer une relation de circonstance avec Ukiyo n'est pas de tout repos…..elle ment comme elle respire et se met toujours, dans des situations impossible….

    Qu’est-ce qui peut amener Tsuji, garçon austère et rigoureux, à voler au secours de cette personne imprévisible?

    De façon irrationnelle, on se laisse emporter !
    (j’ai noté que le film était controversé)
    ac44
    ac44

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2022
    Suis-mois, fuis ce film ! Voilà ma pensée du jour : 100min inintéressante où une histoire de romance nous est vendue, avec une saveur japonaise très fade. Tsuji est un chouette garçon qui n'aime pas dire "non". Je ne comprends pas l'envolée positive des spectateurs à ce sujet : la fille, héroine perdue du film est antipatique à souhait, toujours à pleurer, incapable d'aligner deux mots dans le personnage qu'on lui a attribué. Il la sauve de toutes les situations. A aucun moment, on ne croit aux émotions entre eux. Ca tourne en rond, c'est long, peu créatif en terme de caméra et de champs, ca sent bon l'ennui dans son appart et dans son usine de jouet à cocher des bouts d'inventaire. Qq petites réussites de sourire apportés par les personnages secondaires.
    Ne surtout pas aller voir le 1er opus et donc encore moins le second...la seule note positive? Je suis allé le voir en VO, donc le plaisir de la langue d'origine pour seul détour de bonheur.
    Un film c'est aussi un bilan carbone, ici un impact inutile en terme d'histoire...et si le cinéma faisait enfin sa révolution C02 !
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Beaucoup d'ingéniosité dans cette histoire où l'intrigante héroïne, entre mensonges et disparitions, capte l'attention d'un jeune employé, blasé par deux relations sentimentales insatisfaisantes. Cette première partie s'achève sur d'infinies possibilités et on a hâte de retrouver ces personnages un peu superficiels dans la suite de leurs aventures.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    339 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Déjà remarqué pour des films comme « l’Infirmière » ou « Le soupir des vagues », le jeune cinéaste japonais KÔJI FUKADA contribue à faire souffler un vent de modernité sur le nouveau cinéma japonais.
    Pensé comme un diptyque « Suis-moi, je te fuis » (actuellement en salles) et « Fuis-moi, je te suis » (sortie prévue le 18 mai) constituent une œuvre délicieusement subversive et prend les habits d’une Rocco afin de mieux tordre et inverser les mythes et clichés traditionnellement associés au couple et à la famille japonaise.
    Le film s’ouvre sur trois scènes symboliques. spoiler: Dans la première, Tsuji, commercial modèle d’un fabricant de jouets (le choix du secteur n’est pas dû au hasard tant on connaît le besoin des japonais de se réfugier dans le « kawaï ») récupère – non sans vociférer en silence contre le patron du magasin - un stock de mini scarabées mécaniques présentant des défauts invisibles à l’œil nu (le fameux « O défaut » à la japonaise est à l’œuvre). La seconde scène oppose une chef de service (amante « libre » de Tsuji) à un employé grossier obligé de s’excuser devant toute l’entreprise pour des paroles et propos outranciers prononcés à l’encontre d’une jeune employé, elle-même flirtant par amour avec Tsuji et ignorant que sa chef le voit en secret. Cette séance d’excuse est une attitude rare et transgressive dans un monde professionnel rarement protecteur pour les femmes). Enfin, la scène du Konbini (sorte de petit magasin très courant dans les grandes villes japonaises) et dans lequel Tsuji cherche vainement à attirer l’attention de la jeune et jolie Ukiyo, visiblement dépassée et perdue dans un quartier qu’elle ne connaît pas (symbole ici d’une société japonaise qui perd même ses contemporains par la complexité de ses règles).

    La suite du film que je ne dévoilerai pas voit s’enchaîner une suite de situation qui font au choix songer au théâtre de Marivaux et de Feydeau ou à une Fotonovela subvertie par un Pierre Paolo Pasolini.
    Toutes les figures de domination masculines sont ici décrites et renversées et le film en dit davantage sur l’absurdité des us et coutumes de la société japonaise que beaucoup d’œuvres plus académiques. La seconde partie en salle le 18 mai promet une nouvelle fois son lot de surprise et de situations révélatrices et jubilatoires.
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