Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Evoquant le cinéma français de la Nouvelle vague - un Godard, ou encore un Rohmer - le diptyque Suis-moi je te fuis, Fuis-moi, je te suis est un enchantement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce qui rend le processus prenant et accroche le spectateur est que non seulement les personnages sont en perpétuel mouvement, faisant des allers et retours chez les uns ou chez les autres, mais qu’ils se perdent et se retrouvent sans cesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Thierry Chèze
Un drame amoureux captivant.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L’amour est-il affaire de déterminisme ? Le réalisateur de Harmonium explore joliment la question dans ce diptyque habilement construit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par La Rédaction
Une histoire d'amour en deux parties, qui mêle mélodrame et thriller avec un charme fou !
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans cette œuvre de plus de quatre heures en tout, le cinéaste retrouve son thème de prédilection, l’intrusion, et cultive le mystère avec une mise en scène troublante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
La mise en scène sans effusion de Koji Fukada, figure de la jeune scène indépendante nippone, travaille ici dans un cadre plus classique qu’à l’accoutumée. D’un volet l’autre, le récit opère un magnifique renversement de point de vue, qui fonctionne aussi comme une inversion des pôles masculin et féminin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Fukada adapte en long métrage sa propre série de dix épisodes. Nous plaçant face à un personnage féminin passif et irresponsable, il crée avec habileté un malaise qui ne se résoudra que dans la seconde partie à suivre, Fuis-moi je te fuis.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Dans ce diptyque, tiré de la série qu’il a réalisé au Japon, le cinéaste compose un tableau amoureux intense et langoureux. Et campe de captivants personnages de femmes, de l’inconnue insaisissable au flirt régulier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
La finesse des caractères, l’inattendu des situations et la délicatesse avec laquelle l’ensemble se déploie font de ces « Suis-moi, je te fuis » et « Fuis-moi je te suis » une fugue réjouissante sur le sentiment amoureux.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
C’est bien lorsque la satire sociale laisse place à ce romantisme un peu gauche et bancal que naissent les plus belles scènes, légères et délicates, de Suis-moi je te fuis, comme de son pendant Fuis-moi je te suis.
Télérama
par Jacques Morice
Le film, riche de péripéties, est adapté d’un manga. Fukada en a tiré d’abord une série en dix épisodes. Le succès aidant, il a décidé de la réduire, pour le cinéma, en diptyque. Suis-moi je te fuis est le premier volet. Le second, Fuis-moi je te suis, arrive la semaine prochaine. On s’en réjouit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Si la division en deux films répond sans doute à un critère pragmatique, la forme du diptyque trouve un autre fondement dans une écriture qui déploie un système de répétition et une inversion des positions. D’une partie à l’autre, la rencontre devient ainsi l’histoire d’une libération mutuelle.
La Croix
par Céline Rouden
Le film, d’une durée totale de quatre heures, n’évite pas les baisses de rythme mais vaut le détour pour la finesse de son propos et de sa construction.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
On est emporté par la descente aux enfers de ce bon samaritain candide, brillamment interprété par Win Morisaki.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Adrien Gombeaud
L’ensemble porte cependant les stigmates du format « série » et peine à trouver son unité et sa fluidité. Le récit s’alourdit notamment de redondances ou, au contraire, d’ellipses trop brutales.
Première
par Thierry Chèze
Il y a certes des trous d’air pendant les 4 heures du récit mais rien qui ne vienne mettre en péril l’essentiel : la fascination qu’exercent ces personnages et l’incapacité à anticiper ce qu’ils vont faire dans la seconde qui suit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Valentin Denis
Essoré par les quatre heures de film, on en sort avec une toute autre conviction que celle qui semble l’animer : en matière de psychologie, versatilité ne rime pas avec complexité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un style faussement ingénu, Kôji Fukada déroule une critique acerbe contre la société japonaise pétrie de non-dits et de contradictions. Pour autant, le récit ne parvient pas à accrocher franchement son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
Evoquant le cinéma français de la Nouvelle vague - un Godard, ou encore un Rohmer - le diptyque Suis-moi je te fuis, Fuis-moi, je te suis est un enchantement.
L'Humanité
Ce qui rend le processus prenant et accroche le spectateur est que non seulement les personnages sont en perpétuel mouvement, faisant des allers et retours chez les uns ou chez les autres, mais qu’ils se perdent et se retrouvent sans cesse.
Ouest France
Un drame amoureux captivant.
CinemaTeaser
L’amour est-il affaire de déterminisme ? Le réalisateur de Harmonium explore joliment la question dans ce diptyque habilement construit.
Elle
Une histoire d'amour en deux parties, qui mêle mélodrame et thriller avec un charme fou !
L'Obs
Dans cette œuvre de plus de quatre heures en tout, le cinéaste retrouve son thème de prédilection, l’intrusion, et cultive le mystère avec une mise en scène troublante.
Le Monde
La mise en scène sans effusion de Koji Fukada, figure de la jeune scène indépendante nippone, travaille ici dans un cadre plus classique qu’à l’accoutumée. D’un volet l’autre, le récit opère un magnifique renversement de point de vue, qui fonctionne aussi comme une inversion des pôles masculin et féminin.
Les Fiches du Cinéma
Fukada adapte en long métrage sa propre série de dix épisodes. Nous plaçant face à un personnage féminin passif et irresponsable, il crée avec habileté un malaise qui ne se résoudra que dans la seconde partie à suivre, Fuis-moi je te fuis.
Libération
Dans ce diptyque, tiré de la série qu’il a réalisé au Japon, le cinéaste compose un tableau amoureux intense et langoureux. Et campe de captivants personnages de femmes, de l’inconnue insaisissable au flirt régulier.
Sud Ouest
La finesse des caractères, l’inattendu des situations et la délicatesse avec laquelle l’ensemble se déploie font de ces « Suis-moi, je te fuis » et « Fuis-moi je te suis » une fugue réjouissante sur le sentiment amoureux.
Transfuge
C’est bien lorsque la satire sociale laisse place à ce romantisme un peu gauche et bancal que naissent les plus belles scènes, légères et délicates, de Suis-moi je te fuis, comme de son pendant Fuis-moi je te suis.
Télérama
Le film, riche de péripéties, est adapté d’un manga. Fukada en a tiré d’abord une série en dix épisodes. Le succès aidant, il a décidé de la réduire, pour le cinéma, en diptyque. Suis-moi je te fuis est le premier volet. Le second, Fuis-moi je te suis, arrive la semaine prochaine. On s’en réjouit.
Cahiers du Cinéma
Si la division en deux films répond sans doute à un critère pragmatique, la forme du diptyque trouve un autre fondement dans une écriture qui déploie un système de répétition et une inversion des positions. D’une partie à l’autre, la rencontre devient ainsi l’histoire d’une libération mutuelle.
La Croix
Le film, d’une durée totale de quatre heures, n’évite pas les baisses de rythme mais vaut le détour pour la finesse de son propos et de sa construction.
Le Journal du Dimanche
On est emporté par la descente aux enfers de ce bon samaritain candide, brillamment interprété par Win Morisaki.
Positif
L’ensemble porte cependant les stigmates du format « série » et peine à trouver son unité et sa fluidité. Le récit s’alourdit notamment de redondances ou, au contraire, d’ellipses trop brutales.
Première
Il y a certes des trous d’air pendant les 4 heures du récit mais rien qui ne vienne mettre en péril l’essentiel : la fascination qu’exercent ces personnages et l’incapacité à anticiper ce qu’ils vont faire dans la seconde qui suit.
Critikat.com
Essoré par les quatre heures de film, on en sort avec une toute autre conviction que celle qui semble l’animer : en matière de psychologie, versatilité ne rime pas avec complexité.
aVoir-aLire.com
Dans un style faussement ingénu, Kôji Fukada déroule une critique acerbe contre la société japonaise pétrie de non-dits et de contradictions. Pour autant, le récit ne parvient pas à accrocher franchement son spectateur.