Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un splendide huis clos caniculaire.
Marie Claire
par Emily Barnett
Azuro est une géniale chronique estivale, qui flirte avec le théâtre et l'humour absurdes, portée par des dialogues qui fusent comme un coup de soleil.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ce premier film arrive sans crier gare. Une revisite de Duras version 2022, avec un casting cinq étoiles, pour une heureuse surprise solaire, subtile et érogène.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Sophie Joubert
Adaptant librement les Petits Chevaux de Tarquinia, de Marguerite Duras, dont il fait ressortir l’humour, Matthieu Rozé offre une partition sur mesure à d’excellents acteurs et signe un huis clos à ciel ouvert vintage et pop.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Souvent drôle, plus profond qu’il n’y paraît, ce premier film sur les relations amicales et (extra)conjugales captive par son esthétique léchée et ses acteurs pleins de charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Joseph Cartron
Une adaptation de Duras dont les nombreux partis pris radicaux participent à l’élaboration d’un film très riche, sensible, mal-aimable mais d’un charme rare.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Une comédie solaire et sensuelle à l'écriture et au casting ciselés.
La Croix
par Céline Rouden
L’adaptation convaincante d’un roman de Marguerite Duras qui captive par son atmosphère étouffante et sa joyeuse troupe d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le résultat donne un film-bulle lumineux, qu’on pourrait croire anecdotique mais dont l’empreinte finit par résister.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Si les seconds rôles manquent de consistance, Matthieu Rozé propose un beau portrait de femme qui lutte contre ses désirs, brillamment interprétée par Valérie Donzelli.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
La torpeur qui engourdit tout le monde est parfaitement recréée, et le casting est remarquablement choisi. Pas si mal !
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le désir, cet horizon délicieux mais périlleux, a beau flamber comme l’incendie qui rougeoie dans la nuit, il n’est qu’une épreuve de fidélité. Et sous le décor pop de ce beau film incandescent, se dégage une leçon d’amour.
Télérama
par Jérémie Couston
Matthieu Rozé, second rôle discret à la télévision et au cinéma, signe, la cinquantaine venue, son premier film, choral, d’après Marguerite Duras. Une gageure dont il se tire avec les honneurs, en laissant sa troupe de comédiens, tous au diapason, s’emparer de l’indolence durassienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La trivialité naturaliste s’accompagne d’une théâtralité burlesque qui s’escrime à ôter toute profondeur métaphysique. Elle édulcore pourtant la violence de la parole et la rétention des corps, essentielles au désir chez Duras. (...) La recherche manifeste d’une légèreté pop contre un versant qui pourrait paraître trop métaphorique aboutit trop souvent à du Duras topless mais désérotisé, se débarrassant de la méditation et du mystère de l’attraction comme d’un vêtement inutile.
L'Obs
par François Forestier
L’histoire de ces couples en vacances au bord de la mer, percutés par la chaleur, les dissensions, la tentation de l’adultère (un bel inconnu est de passage) est d’une terne banalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film joue sur la légèreté – rien n’est grave –, grâce à la présence loufoque de Thomas Scimeca, mais la mise en scène volontariste finit d’évacuer le peu de mystère qui restait dans l’écume des vagues.
Première
par Thomas Baurez
Rozé filme avec sensualité ces va-et-vient des corps et des consciences, mais peine sur la durée à montrer la noirceur et l’ambiguïté que tout ce manège charrie avec lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Un splendide huis clos caniculaire.
Marie Claire
Azuro est une géniale chronique estivale, qui flirte avec le théâtre et l'humour absurdes, portée par des dialogues qui fusent comme un coup de soleil.
Bande à part
Ce premier film arrive sans crier gare. Une revisite de Duras version 2022, avec un casting cinq étoiles, pour une heureuse surprise solaire, subtile et érogène.
L'Humanité
Adaptant librement les Petits Chevaux de Tarquinia, de Marguerite Duras, dont il fait ressortir l’humour, Matthieu Rozé offre une partition sur mesure à d’excellents acteurs et signe un huis clos à ciel ouvert vintage et pop.
Le Journal du Dimanche
Souvent drôle, plus profond qu’il n’y paraît, ce premier film sur les relations amicales et (extra)conjugales captive par son esthétique léchée et ses acteurs pleins de charme.
Les Fiches du Cinéma
Une adaptation de Duras dont les nombreux partis pris radicaux participent à l’élaboration d’un film très riche, sensible, mal-aimable mais d’un charme rare.
Voici
Une comédie solaire et sensuelle à l'écriture et au casting ciselés.
La Croix
L’adaptation convaincante d’un roman de Marguerite Duras qui captive par son atmosphère étouffante et sa joyeuse troupe d’acteurs.
Les Inrockuptibles
Le résultat donne un film-bulle lumineux, qu’on pourrait croire anecdotique mais dont l’empreinte finit par résister.
Paris Match
Si les seconds rôles manquent de consistance, Matthieu Rozé propose un beau portrait de femme qui lutte contre ses désirs, brillamment interprétée par Valérie Donzelli.
Positif
La torpeur qui engourdit tout le monde est parfaitement recréée, et le casting est remarquablement choisi. Pas si mal !
Sud Ouest
Le désir, cet horizon délicieux mais périlleux, a beau flamber comme l’incendie qui rougeoie dans la nuit, il n’est qu’une épreuve de fidélité. Et sous le décor pop de ce beau film incandescent, se dégage une leçon d’amour.
Télérama
Matthieu Rozé, second rôle discret à la télévision et au cinéma, signe, la cinquantaine venue, son premier film, choral, d’après Marguerite Duras. Une gageure dont il se tire avec les honneurs, en laissant sa troupe de comédiens, tous au diapason, s’emparer de l’indolence durassienne.
Cahiers du Cinéma
La trivialité naturaliste s’accompagne d’une théâtralité burlesque qui s’escrime à ôter toute profondeur métaphysique. Elle édulcore pourtant la violence de la parole et la rétention des corps, essentielles au désir chez Duras. (...) La recherche manifeste d’une légèreté pop contre un versant qui pourrait paraître trop métaphorique aboutit trop souvent à du Duras topless mais désérotisé, se débarrassant de la méditation et du mystère de l’attraction comme d’un vêtement inutile.
L'Obs
L’histoire de ces couples en vacances au bord de la mer, percutés par la chaleur, les dissensions, la tentation de l’adultère (un bel inconnu est de passage) est d’une terne banalité.
Le Monde
Le film joue sur la légèreté – rien n’est grave –, grâce à la présence loufoque de Thomas Scimeca, mais la mise en scène volontariste finit d’évacuer le peu de mystère qui restait dans l’écume des vagues.
Première
Rozé filme avec sensualité ces va-et-vient des corps et des consciences, mais peine sur la durée à montrer la noirceur et l’ambiguïté que tout ce manège charrie avec lui.