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    Un pays qui se tient sage
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    4,0
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    90 critiques spectateurs

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    eZula
    eZula

    1 abonné 48 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2024
    L'invitation à la réflexion sur les notions de démocratie, de légitimité de la violence, d'attribution de la protection policière ne compensent pas un propos beaucoup trop manichéen pour être réellement pris au sérieux. Il n'y a en outre aucune proposition constructive derrière ce documentaire à la limite du complotisme.
    Melvyn Da Silva
    Melvyn Da Silva

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mai 2024
    Intro

    La police nationale est née sous le R Vichy. Av c'était la police locale.
    3 types de violences : institutionnelle, révolutionnaire et reppressive (cf : évêque brésilien)
    Anna harendt dit que le pvr a la puissance si elle a la force légitime. Cependant, elle pense que ça doit être fait autour de valeurs communes : La force est légitime si il y a nécessité.

    Gilets jaunes
    "On n'est pas dans le même camp" montre verticalité pvr parce que peuple n'est pas dans l'autorité mais les ou le préfet oui
    Destruction matériel = parti du pvr qu'on a en main
    Révolution = prise des lieux de pvr ou du moins cette volonté. Pas le cas des GJ (à relativiser)
    À propos de la démocratie

    R autoritaire = R où il y a un abaissement des possibilités démocratiques.
    D = dissensus ce qui est différent du consensus = pb "démocratique"
    Russie, Chine donnent aux D le devoir d'être exemplaire pourtant : Entre 2018 et février 2020 = 2 décès, 27 éborgnements et 5 mains arraché > D vont-elles devenir préventifs comme la Russie ?

    Conclusion
    La violence policière est très prèsente car il sert de labo aux XP de maintien de l'ordre alors que cette violence y est banalisée.
    Les flics protègent d'abord les institutions avant les gens parce que les lois sont ainsi faites.
    Police républicaine = défense du peuple d'abord donc contradiction avec la réalité.
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    Excellent documentaire, particulièrement saisissant et difficile d'argumenter contre ces propos tant la violence des vidéos vient questionner la légitimité de la violence d’Etat. Je regrette juste un peu ce montage où on voit des bouts d’interviews pour chaque personne interrogée, et avoir le point de vue des policiers aurait rendu le documentaire encore plus intéressant selon moi. L’une des parties les plus intéressantes vient notamment du débat entre le journaliste et l’un des représentants d’un syndicat de police. Mais bref, je chipote, ça reste un excellent documentaire, à voir absolument.
    Univchampalbi
    Univchampalbi

    23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Un documentaire choc et sans concession sur les abus de pouvoirs et de violences d'un Etat à l'agonie et à la légitimité douteuse. Ce documentaire devrait être diffusé dans tous les collèges et lycées de France.
    miawallas
    miawallas

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    Un documentaire percutant et sans doute dérangeant pour ceux qui préfèrent se laisser bercer d'illusions mais qui a le mérite d'exister pour révéler au grand écran ce que certains n'ont pas voulu voir... Des images choc qui interrogent sur la manière dont l'Etat a géré cette crise. On peut regretter le manque de contradiction, mais est-on encore capable de dialogue et de discours modéré dans nos sociétés où tout est sujet à polémique et les schémas de pensées manichéens ? C'est finalement également le sujet de ce documentaire : est-on encore capable de dialoguer et de s'ouvrir à d'autres points de vue, de faire vivre une véritable démocratie en somme alors que ce système nous mène à la déshumanisation
    arnaudg
    arnaudg

    85 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Le sujet donne envie mais le contenu est vraiment de piètre qualité. Aucun fil conducteur pour ce documentaire où la partialité est très présente.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Des images des violences, qui semblaient inimaginables dans la France du 21ème siècle, commises par les forces de l’ordre entre 2018 et 2020, à l’encontre des gilets jaunes qui manifestaient. On sait très vite dans quelle direction se porte la sympathie du documentariste mais il a l’honnêteté intellectuelle d’inclure quelques séquences où on pourrait penser que ce sont certains parmi les manifestants qui provoquent ou même s’en prennent en meute à des policiers, ce qui pourrait permettre de comprendre, dans une certaine mesure, l’exaspération de ces derniers et la préparation d’un terreau idéal pour les bavures qui s’ensuivent. Pourtant, ce n’est pas uniquement au spectateur qu’il présente ces vidéos volées au smartphone mais à un panel de citoyens (dont l’identité et la fonction ne seront révélées que durant le générique de fin) afin qu’ils les commentent. Le but est moins de faire condamner des actes de toute façon condamnables mais d’ouvrir le débat sur “la violence légitime de l’état”, conceptualisée par Max Weber en 1919 (qui ne parlait d’ailleurs pas de ce qui devait être mais de ce qui était, sans forcément l’approuver). Citoyen(ne)s ordinaires, manifestant(e)s, juristes, journalistes, historien(ne)s et un représentant du syndicat de la police bien isolé, tous se prêtent à ce débat d’idées de haut vol, relatent leur expérience, analysent et contextualisent les idées, ressentent ou décryptent, selon leur sensibilité, les images qui leur sont présentées D’ailleurs, les plus glaçantes parmi ces images ne sont pas celles des violences physiques frontales mais de quelques séquences à la portée nettement plus symbolique, comme cette classe de lycéens de banlieue, forcée de s’agenouiller les mains derrière la nuque pendant qu’un policier, goguenard, laisse échapper un “Voilà une classe qui se tient sage” ou celle du président Macron, affirmant les yeux dans les yeux du public que les mots de violence policière ou de répression sont inacceptables dans un état de droit. Il n’est du reste pas anodin, et cela tient presque lieu d’aveu, qu’aucun représentant du pouvoir ou des forces de police (à l’exception du syndicaliste) n’ait donné suite à l’invitation à participer.
    Maxime
    Maxime

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 décembre 2021
    Il est très rare que je laisse une critique. Je me réjouissais de voir ce documentaire car la thématique est très intéressante et je partage l'opinion qu'il y a eu des violences policières. Malheureusement l'angle est totalement partisan et le discours à charge du début à la fin. Dès lors quelle est l'utilité de ce document? Convaincre les convaincus? Désolé mais je passe...
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2021
    Film documentaire saisissant sur la violence institutionnelle : est-elle légitime ? Passe-t-elle du statut « légitime » au statut « légale » ? La frontière est ténue. Le film de David Dufresne se focalise sur la crise des Gilets Jaunes même si en périphérie il rappelle des faits antérieurs : 2005, la crise des banlieues ; la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ; Malik Oussekine. Si on va par là, on peut dérouler tout l’historique du XXème siècle ! La violence policière qui blesse, qui humilie, qui tue. La police est-elle le bras armé de l’Etat en place ? Est-elle le garant de la démocratie ? Sur ce point, pas vraiment, il y a des polices qui sévissent dans des dictatures. Il ne reste plus qu’un point : le bras armé de l’Etat, quel qu’il soit, démocrate ou totalitaire.
    Le film nous invite à débattre sur cette violence policière centrée sur les Gilets Jaunes. David Dufresne organise le débat deux par deux ; deux protagonistes, sociologue, avocats, victimes, historiennes, représentants syndicat de police, mamans et même Taha Bouhafs, qui, devant un écran diffusant des images recueillies le plus souvent par des gilets jaunes s’affrontent, philosophent, contestent, pleurent. Comment rester indifférent à cette femme dont la caméra lui mange le visage énumérant la violence verbale de l’Etat ? Comment rester indifférent à ces témoins victimes d’éborgnement ? Comment rester indifférent à cette jeune femme réfugiée dans un Burger King frappée par la police alors qu’elle est au sol et protégée par son « mec » ? Comment rester indifférent face à ces images qui illustrent une violence policière gratuite ?
    Plutôt que de parler de violence légitime, légale, n’y aurait-il pas une violence justifiée ? Celle qui répond à une violence subie comme le rapporte un des protagonistes ? Mais là encore, la frontière est ténue. Qui subit la violence ? La police ? Les Gilets Jaunes ? S’il n’est pas difficile de condamner toute forme de violence, il me paraît plus délicat de trancher.
    Je ne dis pas que le film de David Dufresne me gêne aux entournures parce que la parole des représentants des forces de l’ordre a été minoritaire - à la décharge du réalisateur, Christophe Castaner aurait refusé à ses fonctionnaires de participer au film -, mais j’ai le sentiment que tout n’a pas été révélé objectivement.
    Même si trois représentants de la police et un représentant de la gendarmerie étaient invités au débat, sur vingt-quatre témoins, par évidence, la parole est minoritaire. Comme les images : la violence faite aux policiers étaient minoritaires.
    Alors, oui, le film se focalise sur les Gilets Jaunes, pas sur les casseurs qui sont venus se greffer au mouvement.
    Mais c’est bien sûr : ce ne sont pas de « vrais Gilets jaunes » !
    Idem pour les black blocs !
    Tout ce mélange portait des gilets jaunes semant la confusion au point de discréditer l’action légitime des « vrais »Gilets Jaunes. Pourtant, je me souviens d’avoir vu des images, entendu des témoignages insupportables tenus par certains Gilets Jaunes qui justifiaient voire légitimaient la violence faite aux forces de l’ordre, qui légitimaient la dégradation des vitrines, du Fouquet’s, de l’Arc de Triomphe, d’un incendie dans un immeuble bourgeois.
    Pas une image de Gilets Jaunes contestant la violence de ces sauvages.
    Pour revenir à ces pauvres jeunes gens réfugiés dans un Burger King, matraqués alors qu’ils étaient à terre, criant leur innocence, le journaleux islamo-gauchiste Taha Bouhafs ( sa présence reste douteuse dans ce documentaire) peine à faire reconnaître à Benoît Barret (secrétaire national Alliance Police) que cette violence est purement gratuite. Il aurait été tout aussi objectif de faire admettre à des victimes que certains Gilets Jaunes n’avaient pas à se gargariser des dégradations et violences sur les policiers. Certes, on a vu des gendarmes qui ont été pris à parti alors qu’ils tentaient de reprendre leur moto. C’est tout. Le boxeur a t-il été commenté ? Il suffit de fouiller sur le Net pour voir aussi des policiers molestés à terre par des Gilets Jaunes.
    Ce qui peut s’entendre d’un côté ne l’est pas vraiment de l’autre. Est-il possible d’entendre que derrière des policiers à la matraque facile, il y ait aussi des policiers qui craquent, emportés par la rage de leurs collègues, emportés par la fatigue de leur fonction, emportés par la pression de leurs autorités, ivres d’insultes, de provocations physiques (jet de poubelles, de pierres, d’objets divers, dégradation de véhicules). ? Qu’ils subissent aussi une violence qui finit par se justifier.
    Voilà ce que je regrette de ne pas avoir vu, entendu.
    Toutes les manifestations syndicales depuis des décennies se déroulaient à peu près correctement. Pourquoi celles des Gilets Jaunes se sont rapidement dégradée ?
    Cette violence policière a aussi été provoquée par des comportements et discours nauséabonds. Ce n’était pas que de la colère qui manifestait. La haine manifestait aussi. Une haine primaire envers Macron et les forces de l'ordre. Ces forces que l'on encensait durant les attentats. Le discours ne se limitait pas à la hausse de l’essence, à la conviction que Macron les déconsidérait, c’est tout simplement que la figure Macron n’a jamais été acceptée depuis le 14 mai 2017 ; cette crise donnait l’occasion de se défouler, de proférer des propos insupportables sur d’autres identités. Si Macron s’est donné le bâton pour se faire battre à cause de ses nombreuses interventions maladroites, il reste que le ressentiment des Gilets Jaunes regorgeait de motifs odieux.
    Sans doute que David Dufresne en avait conscience. Seule cette violence policière exercée avec brutalité durant la crise les Gilets Jaunes constituait l’axe principal à traiter. Pourquoi les Gilets Jaunes généraient-ils autant de violence policière ? Il est vrai, que débarrassé des parasites, harangues nauséeuses, casseurs, black blocs qui gravitaient autour de l’action des Gilets Jaunes, le produit brut s’avère terrifiant. Cependant, même s’il y avait plusieurs points de vue, plusieurs caméras, le documentaire manque un brin d’objectivité. Normal, dans la mesure où toutes ces caméras sont par nature subjectives !
    Hael Tlj
    Hael Tlj

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2021
    Bonne idée de partager les idées de chacun et d'en débattre. mais ne montrer que les GJ blessés montrent Clairement le parti pris du réalisateur et par conséquent on comprends vite qu'il ne s'agit que d'un reportage de plus réalisé pour décrédibiliser les forces de l'ordre et non pour raconter des faits et débattre. Il y a eu également beaucoup de policiers blessés, dommage de ne montrer qu'un côté de la violence....
    Gros parti pris donc décrédibilise le reportage
    Ours
    Ours

    6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2022
    Excellent reportage film qui montre des violences policières sans images trop longtemps à l'écran insurmontable mais tout de même montrées afin de bien faire réaliser ce que c'est a ceux qui voudrait nier. L'appui de reportages a froid par des interviews montre le caractère posé et argumentés du propos. La difficulté d'avouer pour les condamner ces violences policières par ceux qui les dirigent. On y voit l'inertie sur ce sujet, preuves à l'appui. Même si est édulcorée même leur réaction face l'ecran sur ces questions. Bon choix des personnes du public qui s'expriment sur l'exaspération des gens des banlieues par le mépris, le non droits qu'exerce sur eux au quotidien la police. Ce qui fait comprendre le sentiment d'injustice généralisée.
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2021
    Un excellent documentaire édifiant de David Dufresne sur les violences policières et les gilets jaunes.
    Thibault D.
    Thibault D.

    4 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Un film important qui va marquer les esprits. Les images prises par les téléphones portables ne mentent pas. Elles sont essentielles et avaient un besoin fort d'être diffusées en salles de cinéma, de vrais moments forts et intenses. Constat réaliste sur l'usage de la violence par les forces de l'ordre lors des manifestations. Il est dommage, je trouve, que l'on ai pas eu plus de confrontations entre opposants lors de la partie débat du film.
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2021
    Ce documentaire de David Dufresne retrace à travers des témoignages et des images les violences commises pendant le mouvement des Gilets Jaunes. Grâce aux images filmées par les manifestants avec leur téléphone, ce long-métrage est glaçant devant un tel déferlement de violences policières, parfois à la limite du soutenable. Le bémol de cette oeuvre est le fait que David Dufresne reprenne des séquences maintes fois vues dans les JT et ne réussisse pas ou peu à trouver des forces de l'ordre pour avoir un complément d'enquête. Un documentaire puissant néanmoins malgré ce côté militantisme un peu déplaisant.
    LR7985
    LR7985

    18 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2021
    Bon documentaire mais j'aurai aimé qu'ils soit plus long et qu'on voit vraiment en détail qu'ils soit plus mis en valeur les victimes fais par les des brigades de police qui étais là juste pour fracassé la gueule des gilets jaunes et qui cherchait que ça pour certain brigade de police Peter des câbles et tirer sur les visages des manifestants avec des armes de défense qui ont fais exprès de tirer dans le visage ou mettre des grenades trop puissante qui a faire quelque mutiler comme la main ou le pied.

    j'aurai aimé qu'il soit interdit au moins de 16 ans pour voir les réel cause de leur accident quitte à voir du sang mais voir la réalité.

    la interdit au moins de -12 ans, on ne voit pas grand chose des Dégâts qui on pu causé certaine brigade de police sur tout les manifestants mutillé et dénoncer a visage flouté tous ces policier qui ont fais ça.

    Un belle hommage ont personne mutilé contre tous ces brute de flics qui étaient aux différentes manifestations que pour humilier physiquement des gens sans protection et sans matraque.

    on verra quand on viendra tous avec une matraque, des chaussures de sécurité, des points américain, des cagoule sur la tête.

    vous verrez si vous ferez les malins 10000 policier contre 1000000 de personnes dans les rue. vous serez vite déborder de toute part.

    alors continue le combat parce que ils fais que de commencer. et vivent les gilets jaunes et après l'épidémie qu'on remanifeste en masse.
    .
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