Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Sacré défi pour Laurent Bouhnik d'adapter Stefan Zweig en prenant la liberté de créer un troisième niveau de narration. Mais ce récit d'une passion s'avère captivant. La photo, les costumes, les décors sont majestueux. Et Agnès Jaoui est magistrale. Un exercice de style réussi haut la main.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Plus efficace qu'inventif, Bouhnik s'acquitte honorablement de la conduite d'un récit très classique qui s'autorise toutefois quelques agréables moments de flou (l'errance nocturne du vieillard et de la jeune fille). Suffisant pour sauver ce 24 heures de la vie d'une femme du trop facile "rétro" viscontien période Mort à Venise.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un film digne du texte qui l'a engendré.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Sans doute la magie est-elle due à l'interprète de l'héroïne, Agnès Jaoui. Elle aussi insolite ici, car on la connaissait surtout pour son évidente connivence avec des personnages contemporains et qu'on n'aurait pas pensé à elle pour ce (magnifique) fantôme du passé, veuve inconsolable d'un officier britannique brutalement décédé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
C'est le grand paradoxe du film, sa façon de séduire là où on l'attend le moins et de se liquider le temps de séquences d'enrobage parfaitement superflues.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Une touche plus moderne était-elle nécessaire ? Non. La passion qui dévore, qui consume n'a pas besoin d'être réactualisée. Elle est éternelle.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Heureusement, Agnès Jaoui règne sans partage sur l'aventure de Marie. Elle s'abandonne à une force mystérieuse (qui n'est pas celle de la mise en scène, imperturbablement décorative) et fait passer un frisson d'émotion dans cet édifice aussi artificieux que bancal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Extrêmement ambitieux, mais figé et superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Agnès Jaoui (...), se révèle moins frigide que lorsqu'elle continuait à porter le tee-shirt dans les scènes de lit de son propre Goût des autres. La musique de Michael Nyman, l'extrême séduction du tombeur hongrois, Anton, sorte de crooner martial parfait, joué avec un brio inespéré par un Danois, Nikolaj Coster-Waldau (...), achèveraient presque de lever les dernières réticences.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Ghislain Loustalot
Reste que la mise en scène est séduisante par sa fluidité et son raffinement. Et qu'Agnès Jaoui séduit tout court.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
On aurait préféré que le film creuse le sujet en se concentrant davantage sur l'histoire de Marie Collins Brown, traitée trop rapidement.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Reste une Agnès Jaoui, fidèle à elle-même, tout simplement excellente et donc, comme à l'accoutumée, parfaitement convaincante.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Louis Guichard
Mais l'effet gigogne est peu concluant : cet épisode supplémentaire - qui vise à signifier l'éternel retour des mêmes affres amoureuses - s'avère incroyablement laborieux. Ouvrant et fermant le film, il place ce dernier entre deux grosses parenthèses de plomb.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Sacré défi pour Laurent Bouhnik d'adapter Stefan Zweig en prenant la liberté de créer un troisième niveau de narration. Mais ce récit d'une passion s'avère captivant. La photo, les costumes, les décors sont majestueux. Et Agnès Jaoui est magistrale. Un exercice de style réussi haut la main.
Chronic'art.com
Plus efficace qu'inventif, Bouhnik s'acquitte honorablement de la conduite d'un récit très classique qui s'autorise toutefois quelques agréables moments de flou (l'errance nocturne du vieillard et de la jeune fille). Suffisant pour sauver ce 24 heures de la vie d'une femme du trop facile "rétro" viscontien période Mort à Venise.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Un film digne du texte qui l'a engendré.
Les Echos
Sans doute la magie est-elle due à l'interprète de l'héroïne, Agnès Jaoui. Elle aussi insolite ici, car on la connaissait surtout pour son évidente connivence avec des personnages contemporains et qu'on n'aurait pas pensé à elle pour ce (magnifique) fantôme du passé, veuve inconsolable d'un officier britannique brutalement décédé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
C'est le grand paradoxe du film, sa façon de séduire là où on l'attend le moins et de se liquider le temps de séquences d'enrobage parfaitement superflues.
Le Figaroscope
Une touche plus moderne était-elle nécessaire ? Non. La passion qui dévore, qui consume n'a pas besoin d'être réactualisée. Elle est éternelle.
Le Monde
Heureusement, Agnès Jaoui règne sans partage sur l'aventure de Marie. Elle s'abandonne à une force mystérieuse (qui n'est pas celle de la mise en scène, imperturbablement décorative) et fait passer un frisson d'émotion dans cet édifice aussi artificieux que bancal.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Extrêmement ambitieux, mais figé et superficiel.
Libération
Agnès Jaoui (...), se révèle moins frigide que lorsqu'elle continuait à porter le tee-shirt dans les scènes de lit de son propre Goût des autres. La musique de Michael Nyman, l'extrême séduction du tombeur hongrois, Anton, sorte de crooner martial parfait, joué avec un brio inespéré par un Danois, Nikolaj Coster-Waldau (...), achèveraient presque de lever les dernières réticences.
Première
Reste que la mise en scène est séduisante par sa fluidité et son raffinement. Et qu'Agnès Jaoui séduit tout court.
TéléCinéObs
On aurait préféré que le film creuse le sujet en se concentrant davantage sur l'histoire de Marie Collins Brown, traitée trop rapidement.
Zurban
Reste une Agnès Jaoui, fidèle à elle-même, tout simplement excellente et donc, comme à l'accoutumée, parfaitement convaincante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Télérama
Mais l'effet gigogne est peu concluant : cet épisode supplémentaire - qui vise à signifier l'éternel retour des mêmes affres amoureuses - s'avère incroyablement laborieux. Ouvrant et fermant le film, il place ce dernier entre deux grosses parenthèses de plomb.