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    2046
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    3,6
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    248 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 novembre 2006
    Ce film, je commence tout de suite par ça, n'aura que 3 étoiles pour ma valeur, puisque je le trouve moins bien réussi que In The Mood For Love !

    Devant 2046, il y a des moments où on s'ennuie et où tout nous est confus, et où on est réellement perdu ! Enfin, je preférais grandement In The Mood For Love à sa "suite", qui n'en est pas réellement une ! Enfin, un gros bor...bazar !! ^^

    Donc, comme dans In The Mood For Love, tout tourne autour de l'esthétique et c'est très bien réussi. Le scénario est brouissailleux et il arrive que l'on s'égare parmi toutes ces femmes ne sachant plus qui est qui... Peut-être est-ce fait exprès après tout, afin de donner l'illusion que ces femmes ne sont qu'une et même femme !

    Enfin, un film réussi si ce n'est un peu trop confus (provoquant quelques ennuis par moments).
    pablitito
    pablitito

    95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2006
    Film envoutant, beau et une musique qui nous emporte facilement dans ce parralèle entre la réalité de la vie d'un écrivain actuellement et de la sienne dans son roman futuriste où l'on retrouve toute les femmes et les questions qu'il se pose dans la réalité. Mise en scène envoutante, acteurs et surtout actrices magnifiques!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2006
    Wong Kar-waï utilise, avec 2046, la même recette que pour In The Mood for Love, à savoir, une composition très soignée de tout son cinéma. Le réalisateur ne se contente en effet pas de ses fabuleuses images, signées Christopher Doyle, ni de sa bande-son, aussi touchante que celle de son précédent film : Wong Kar-waï parvient à créer des instants entre ses acteurs qui relèvent du miracle. Ici, on joue avec pas grand-chose : des hésitations, des chuchotements, des silences, des gestes, des regards. Mais le résultat est là : chaque scène est parfaite, le jeu sans faille, le spectateur impressionné. L'écriture du long-métrage n'a aucun défaut, elle non plus : le concept de l'histoire, cette chambre 2046 qui sera métaphorisée, est original et bien pensé, et sert de structure solide à la narration que WKW se construira. Toutes les aventures sont organisées, presque archivées, filmées de façon très différentes. La façon de parler aux femmes qu'a le personnage de Tony Leung est le résultat d'une grande recherche, où chaque mot est minutieusement choisi : par ailleurs, les femmes dans ce film ne sont pas en reste. On sautera de joie à l'idée de retrouver toutes les pointures chinoises que sont Gong Li, Zhang Ziyi, Maggie Cheung, Faye Wong ou encore Carinau Lau. Toutes magnifiques, portant des costumes intemporels, elles sont filmées par un maître en la matière, qui choisit minutieusement ses positionnements de caméra, ses vitesses d'obturateur, ses focales, pour magnifier ces stars. On pourrait regretter d'en voir certaines plus que d'autres, mais les perstations livrées confortent le public : Zhang Ziyi, plus sobre que jamais, assure une de ses meilleures performances, Gong Li en reste à son habituelle et suffisante excellence. Tony Leung, quant à lui, est tout simplement un surdoué du jeu de l'acteur, où tous les aspects de son personnage torturé ressortent parfaitement sur son visage et ses paroles. Aussi maîtrisé que In the Mood for Love, 2046 est une leçon pour tous.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 novembre 2006
    Wong Kar Wai atteint le sublime. Et ça se passe de commentaires.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 août 2007
    Une exploration fine du coeur humain et de ce qu'est l'humanité au travers d'un scénario recherché où les interprétations sont nombreuses. Un film poétique, donc.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2006
    N'ayant pas encore vu "In the mood for love", j'ai découvert l'univers de Wong Kar Wai grâce à 2046 et je dois dire que je suis très touché par la force de ce film.
    Tout d'abord, la réalisation est d'un esthétisme brillant. C'est à une réelle oeuvre d'art que nous assistons ; tout est magnifique : les visages, les postures, les jeux de lumière...
    Les musiques épousent parfaitement le récit,... et que dire du thème principal, que je trouve grandiose.
    Les acteurs et actrices semblent quant à eux touchés par une grâce indescriptible qui se dégage sur chaque plan, dès le commencement de 2046.
    C'est à une pièce d'orfèvrerie poétique et désenchantée que l'on prend part et pour ma part c'est comme si j'avais assisté au lever du soleil et à son coucher, tout en glissant paisiblement sur la mer et en respirant profondément.
    Le filtre d'amour m'a envoûté...
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2006
    A LA VIE A L'AMOUR. WKW reste dans l'ambiance de In The Mood For Love. Une nouvelle fois esthétique, une nouvelle fois séduisant, une nouvelle fois frustrant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Ce film se regarde comme on étalerait un puzzle avec lequel on se débattrait avec obsession… Beaucoup d’éléments font tourner la tête, ce film est un jeu de séduction à trois : le réalisateur, les acteurs et le spectateur.
    Les femmes y sont diablement belles, minaudant et fumant avec élégance, les baisers y sont langoureux et passionnés. De très beaux aplats de couleurs, toujours en contraste : rouge/vert, vert/noir ou rouge/noir. Chaque scène est léchée, les plans sont réalisés au millimètre prés.
    Tous ces éléments donnent une dimension purement esthétique au film (le musique, les costumes, les couleurs, les cadrage, les ralentis…) Hypnotisant.
    Biensûr, le fantôme de In the mood for love, y plane volontiers, mais quel bonheur de retrouver cet univers si singulier.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Que dire de 2046? Trés beau film quant à la qualité des images, une bande-son impéccable, mais alors l'histoire.... il n'y en a pas ou presque.
    Dommmage! le metteur en scène semble rester sur son film précédent, ici le seul changement ce sont ces femmes qui apparaisent et puis s'en vont dans la vie du narrateur. Il n'y a vait pas de quoi en faire tout un plat de ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Pour ceux qui n'ont pas vu "In the mood for love", je peux concevoir qu'on ait aime ce film, mais personellement, j'ai ete decu. Il y a trop d'histoires enchevetrees, trop de personnages qui nuisent a l'ensemble. Il a voulu pousser plus loin que In the mood for love, mais je n'ai pas accroche.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Magnifique film poétique et envoûtant dans une atmosphère intemporelle... Les images d'une esthétique léchées, nocturnes, propres à l'univers de Wong Kar Wai. Des personnages perpétuellement confrontés entre leur raison et leurs sentiments face au destin... Magnifique valse des sentiments sur une musique ample qui n'en finit pas de trotter dans la tête... ! Il règnait un calme étrange après la projection, et ma voisine, derrière moi, se séchait les larmes : que d'émotions!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Vous souffrez d'insomnies récurrentes??? Un seul remède, courez voir 2046!!
    Maintenant, si vous ne parvenez pas à vous endormir, c'est que, soit l'histoire inexistante de ce film vous captive [et dans ce cas, vous méritez un canard laqué de platine] soit votre cas est réellement désespéré et je ne saurais trop vous conseiller de trouver LA seule et unique salle diffusant encore "Les Parisiens" de Lelouch. Si malgré ce traitement de choc vous restez éveillé, c'est que vous êtes plus proche du droïde que de l'humain et là, je ne peux plus rien pour vous :-((
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    On ressort de ce film avec des idées plein la tête,en essayant de comprendre tous les sujets cachés telle une autobiographie d'un grand auteur. Des plans merveilleux, de toute beauté !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    j'attendais avec impatience la suite de "In the Mood for Love" et enfin 2046 est porté à l'écran avec toujours le meme séducteur Tony Leung ,mais la belle Maggie Cheung n'est plus là,remplacée par la talentueuse et aussi belle Zhang Ziyi qui tombera sous le charme de Tony Leung.Et je suis décu,car on trouve effectivement le meme atmosphère d'histoire d'amour entre 2 locataires de 2 chambres voisines,sauf que l'histoire de fond a changé.Autant que dans IN the Mood For Love,on assiste à une histoire platonique purement chinoise entre Tony L et Maggie C qui s'aiment mais décus respectivement par l'infidélité de leur compagne,qu'ils n'osent pas franchir le pas de s'aimer et préfèrent garder cet amour unique dans leur coeur respectif et se séparer.Que dans 2046,on assiste effectivement à une histoire d'amour entre Tony L et Zhang Ziyi,sauf que c'est une histoire basée plus sur le sexe que sur les sentiments,surtout pour 1 des 2 protagonistes.Au fait ,c'est un film qui confirme bien les sentiments profonds qu'éprouvent Tony L pour son amour perdu(Maggie C)et qui le regrette en se consolant dans les bras de toutes les femmes conquises dans 2046,surtout dans ceux de Zhang Ziyi.C'est une histoire de fuite en avant pour les acteurs dont le passé est définitivement perdu(l'idéal)et qui errent dans un monde moderne sans sentiments et sans repères à la recherche de l'amour perdu comme HONG KONG qui s'occidentalise économiquement dans lequel les sentiments ont laissé la place à la prospérité et au sexe.
    C'est un peu décevant,car on ne retrouve pas l'atmosphère magique de In the Mood For Love et le jeu magistral entre Tony L et Maggie C.Au fait ,ce que je retiens ,ce sont les scènes d'amour très chaudes entre les 2 acteurs du film qui sont très rares dans un film chinois.Chapeau à Zhang Ziyi qui a osé de tourner ces scènes érotiques.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    2046 un film d'une intensité rare... réeussir a filmé ainsi le désir,les souvenirs, les tiraillements de l'homme. Chapeau monsieur Wong Kar-Wai
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