Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Véritable révélation, Christophe Honoré est un cinéaste avec qui il va falloir compter.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Christophe Honoré, le réalisateur, a su donner un ton, un style original et poétique. Il offre surtout à Béatrice Dalle une belle performance d'actrice.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
C'est très beau, de cette beauté qui naît à la fois du danger assumé de l'aventure, et des harmoniques entre la situation évoquée et les moyens employés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Bien mieux qu'un film prometteur, 17 Fois... a valeur de manifeste poétique et il force le respect.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Carrière
(...) parce qu'il y a Béatrice Dalle qui, comme à son habitude, bouffe littéralement l'écran, accompagnée d'un Romain Duris plus gay que vrai. Enfin, parce qu'il y a derrière tout ça et le reste (dont une bande-son à écouter en boucle) un auteur mêlant savamment intentions persos et références cinéphiles (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Sur la corde raide, à la fois prometteur et agaçant, 17 Fois Cécile Cassard se permet aussi de belles audaces.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Qu'est-ce qui, alors, résiste et nous rattache à l'écran, nous pousse à une certaine contemplation fascinée sans que nous ne soyons jamais dupes de ce collage maniériste ? Béatrice Dalle en icône lessivée, du spleen plein les yeux ? La danse d'un trio amoureux dans le couloir d'un hôtel désert ? L'alchimie miraculeuse entre la musique et l'expression des corps ? Oui, tout cela, et plein d'autres choses encore, des instants souvent infimes, sans conséquences, qui n'ont de valeur que par l'instantanéité de leur émotion, nimbés d'un charme ô combien fragile et subjectif.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un premier film talentueux mais trop théorique et formaliste pour toucher vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Obejctif-Cinema.com
par Laurence Bonnecarrere
Pour être tout-à-fait impartiale, Béatrice Dalle est juste, et les images sont souvent splendides. C'est un peu court tout de même pour faire un film.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Télérama
par Louis Guichard
Dans un été pauvre en sorties dignes d'intérêt, pourquoi ne pas se risquer à la découverte d'un premier film imparfait, prometteur, à part ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
De lumières étranges, élaborées, mais souvent trop sombres, émerge constamment la silhouette nonchalante d'une Béatrice Dalle paumée, abattue, mais étonnamment lumineuse. Toute l'histoire tient sur sa prestation brillante. Pour autant, ces errances attachantes ne construisent pas un scénario convaincant, qui manque cruellement à ce film déroutant.
Les Echos
par Isabelle Danel
On ne saurait trop souhaiter que le film, sur les pas de son héroïne, marche vers la lumière. Pourtant quand, dans sa deuxième moitié, " 17 fois Cécile Cassard " se pique de légèreté, c'est l'ensemble qui prend la pose (...), se barde de références, se targue de nous passer des messages écrits blanc sur noir à l'écran (...). C'est d'autant plus dommage que, dans sa simplicité abrupte, le film n'était jamais banal, alors que dans ses afféteries superflues, il le devient.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Eithne O'Neill
Le discours filmique étant déconstructionniste dans la restructuration psychique, il fallait une maîtrise du cadrage, de la composition, de l'éclairage (...) ainsi qu'une pertinence langagière. A maintes reprises, douloureusement, ils firent défaut.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Sans un mot à dire, mal maquillée, mal fagotée, Béatrice Dalle joue les utilités. Actrice alibi pour oeuvre pseudo-esthétisante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Les dix premières minutes, c'est vrai, font naître un peu d'espoir, mais le film plonge ensuite dans un esthétisme chicos où le réalisateur se perd corps et biens. La dérive douloureuse de Béatrice Dalle indiffère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Véritable révélation, Christophe Honoré est un cinéaste avec qui il va falloir compter.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Christophe Honoré, le réalisateur, a su donner un ton, un style original et poétique. Il offre surtout à Béatrice Dalle une belle performance d'actrice.
Le Monde
C'est très beau, de cette beauté qui naît à la fois du danger assumé de l'aventure, et des harmoniques entre la situation évoquée et les moyens employés.
Libération
Bien mieux qu'un film prometteur, 17 Fois... a valeur de manifeste poétique et il force le respect.
Première
(...) parce qu'il y a Béatrice Dalle qui, comme à son habitude, bouffe littéralement l'écran, accompagnée d'un Romain Duris plus gay que vrai. Enfin, parce qu'il y a derrière tout ça et le reste (dont une bande-son à écouter en boucle) un auteur mêlant savamment intentions persos et références cinéphiles (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Sur la corde raide, à la fois prometteur et agaçant, 17 Fois Cécile Cassard se permet aussi de belles audaces.
Chronic'art.com
Qu'est-ce qui, alors, résiste et nous rattache à l'écran, nous pousse à une certaine contemplation fascinée sans que nous ne soyons jamais dupes de ce collage maniériste ? Béatrice Dalle en icône lessivée, du spleen plein les yeux ? La danse d'un trio amoureux dans le couloir d'un hôtel désert ? L'alchimie miraculeuse entre la musique et l'expression des corps ? Oui, tout cela, et plein d'autres choses encore, des instants souvent infimes, sans conséquences, qui n'ont de valeur que par l'instantanéité de leur émotion, nimbés d'un charme ô combien fragile et subjectif.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un premier film talentueux mais trop théorique et formaliste pour toucher vraiment.
Obejctif-Cinema.com
Pour être tout-à-fait impartiale, Béatrice Dalle est juste, et les images sont souvent splendides. C'est un peu court tout de même pour faire un film.
Télérama
Dans un été pauvre en sorties dignes d'intérêt, pourquoi ne pas se risquer à la découverte d'un premier film imparfait, prometteur, à part ?
Zurban
De lumières étranges, élaborées, mais souvent trop sombres, émerge constamment la silhouette nonchalante d'une Béatrice Dalle paumée, abattue, mais étonnamment lumineuse. Toute l'histoire tient sur sa prestation brillante. Pour autant, ces errances attachantes ne construisent pas un scénario convaincant, qui manque cruellement à ce film déroutant.
Les Echos
On ne saurait trop souhaiter que le film, sur les pas de son héroïne, marche vers la lumière. Pourtant quand, dans sa deuxième moitié, " 17 fois Cécile Cassard " se pique de légèreté, c'est l'ensemble qui prend la pose (...), se barde de références, se targue de nous passer des messages écrits blanc sur noir à l'écran (...). C'est d'autant plus dommage que, dans sa simplicité abrupte, le film n'était jamais banal, alors que dans ses afféteries superflues, il le devient.
Positif
Le discours filmique étant déconstructionniste dans la restructuration psychique, il fallait une maîtrise du cadrage, de la composition, de l'éclairage (...) ainsi qu'une pertinence langagière. A maintes reprises, douloureusement, ils firent défaut.
TéléCinéObs
Sans un mot à dire, mal maquillée, mal fagotée, Béatrice Dalle joue les utilités. Actrice alibi pour oeuvre pseudo-esthétisante.
Télérama
Les dix premières minutes, c'est vrai, font naître un peu d'espoir, mais le film plonge ensuite dans un esthétisme chicos où le réalisateur se perd corps et biens. La dérive douloureuse de Béatrice Dalle indiffère.