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Un visiteur
0,5
Publiée le 7 août 2009
Si le but est de faire peur alors c'est une véritable comédie, un film d'horreur pour enfant qui veulent découvrir le genre, car c'est à hurler non pas de peur mais de rire, c'est nul, nul, et affligeant un gros navet !!
Si les premières minutes nous laissent pantois et indécis quant au navet que l'on est en train de regarder, la suite du film nous le confirme immanquablement. Situations grotesques, acteurs très limités, fantômes d'un ridicule accomplis, tension à son minimum... 13 Fantômes ne capte pas une seule seconde notre attention. A ajouter à cela une réalisation un peu désuète, des maquillages de fêtes foraines et des dialogues vides de sens. 13 Fantômes se veut une série B sans pour autant en égaler au moins une. Un film de soir d'halloween, ni plus, ni moins. 1 étoile pour la très belle architecture de la maison, seul véritable protagoniste digne de ce nom du film.
En 1945, une jeune fille nommée lata kulu vint en Amérique dans un bateau gris venu d'Afrique. Un homme étrange la tua en gravant le mot "LATUALATUKA" dans son dos. Maintenant si tu as lu ce message elle viendra pendant une pleine lune dans ta maison et volera ton âme à moins que tu ne suives ces instructions: 1. Reecris ce message en commentaires dans trois autres vidéos
Si le jeu des acteurs n'est pas ce qu'il y a de plus parfait et que la réalisation est assez conventionnelle, ça n'empêche qu'on passe un bon moment devant ce film. Les décors sont superbes, ainsi que les musiques et le scénaro, sans être le scénario de la mort qui tue reste sympa.
Si j'accroche beaucoup à l'univers du film et à ces thèmes, il est évident qu'un pur fan de films d'horreurs, n'y trouvera pas son compte, étant donné que ce film n'est pas vraiment terrifiant...
Mon film préféré dans le genre ! Le scénario n'est certes pas des plus originaux mais il reste prenant tout de meme. La musique et les voix donne une impression encore plus démoniaque, pour nous prendre encore plus dans le film. Les acteurs et l'équipe technique se sont donnés du mal à tourner ce film et cela se voit, mais le résultat est techniquement réussi.
De bonnes idées mal agengées (le coup des fantomes enfemés dans une maison magique et le reste, ça paraissait pas mal) et embourbées dans un tas de clichés bien bouseux et de bon sentiment miévre et doucereux à l'américaine ! Seul lumiére dans la nuit : le trop rare Matthew Lillard qui semble se demander ce qu'il peut bien foutre dans cette galére...et nous aussi, d'ailleurs !
En général, ce genre de films n'atteint pas des sommets scénaristiques, mais quand même, il y a des limites à l'indécence. Et là, les limites sont allègrement franchies. Même en regardant le truc au deuxième, troisième, quatrième degré, même en se disant que c'est un film comique, impossible de trouver des excuses aux auteurs de cette ineptie totalement bancale. Moi j'aurais honte de proposer un script aussi nul. Seul point "positif" (mais c'est bien pour trouver quelque chose de positif) le décor de la maison de verre, parce que tout le reste - en allant du jeu des acteurs jusqu'aux dialogues - atteint le degré zéro de la production cinématographique. Dire que Nakata arrive à vous foutre une frousse bleue avec une silhouette de petite fille, et que ces tacherons arrivent juste à provoquer un sourire de dépit avec des hectolitres de sang (et 20 millions de dollars), ça fait réfléchir. Bref, le film qui élève "Chambre 1408" au rang de chef-d'oeuvre.
A peine effrayant, le film est peu imaginatif. On s'ennuie légèrement quand même et les effets spéciaux sont pas magnifique. Dommage sa aurait pu être largement meilleur.
Remake éponyme de la version datant de 1960 et première réalisation pour Steve Beck qui nous offre ici une œuvre tout simplement immonde, dans le sens où le scénario et la mise en scène ennuie au plus haut point, il ne se passe rien de palpitant, aucune direction artistique, les acteurs surjouent (jouent-ils ? on se pose la question tellement ils sont mauvais). Une version gâchée par un surplus de makeup effects, des décors grotesques et laids et une avalanche de SFX tous plus grossiers et ratés les uns des autres. Quant à la mise en scène, elle abuse à outrance des effets de style, avec ce côté clipesque avec des images épileptiques, répétitives et des fonds sonores à en avoir mal au crâne. Fort heureusement, Steve Beck n’a réalisé qu’un film depuis (Le Vaisseau de l'angoisse - 2003), cela confirme son potentiel de réalisateur !