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    8 Rue de l'Humanité
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    377 critiques spectateurs

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    Roni A.
    Roni A.

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Je ne comprends vraiment pas cette mauvaise note.
    Dany Boon à su résumé parfaitement ce confinement avec ses peurs, ses craintes, cet isolement, cette adaptation de vivre ensemble, de connaître enfin sa communauté, ses aberrations, ses absurdités, remercié ceux qui se sont battus quotidiennement, ses joies, ses rires mais aussi cette souffrance, cette séparation et tous ceux et celles qui sont morts seuls...
    Mélanie Fujoshi
    Mélanie Fujoshi

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Ce film... n'est pas un chef d'œuvre, loin de là. Déjà, je trouve que le cinéma français très bof notamment à cause des jeux d'acteurs vraiment mauvais. Je ne m'attendais pas à grand chose en lançant le film, et j'avais raison. On prévoit facilement ce qui va se passer, les clichés sont très présents. C'était ennuyeux la plupart du temps, mais j'avoue avoir été agréablement surpris par quelques éléments. Par exemple, la naissance d'un amour de jeunesse m'a particulièrement touchée. Les enfants sont peut-être les meilleurs acteurs du film, sans vouloir offenser les adultes. Et puis cette fin.... Sans spoiler, je ne mentirai pas que j'ai lâché une larme. Oui, l'émotion était là. Ce film n'est pas un chef d'œuvre, mais ce n'est pas un torchon non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Un des tous premiers films traitant du Covid, c’est un pari risqué! L’ensemble est bin enfant et agréable. On est plutôt en mode théâtre et la dynamique reste très sympa malgré quelques clichés.
    Nasser d
    Nasser d

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Tourne dans un studio u' scenario digne de luc besson donc inexistant mais combien Netflix a paye pour cette daube remplie de placements de produits. Dany boon a le melon et ce n est pas son salaire a 6 chiffres qui fait le talent
    Payetinho
    Payetinho

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Nul nul nul,

    Incroyable que ce film fut écrit, réalisé, et qu'un groupe de personnes ce soit dit "c'est bon c'est top on va pouvoir le balancer".
    très très déçu des performances de Dany Boon, Laurence Arné ou François Damiens, qui nous ont habitué à vraiment largement mieux. un échec cuisant de A à Z. un chef d'œuvre de nullité.
    Malkos76
    Malkos76

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    je suis surpris par les notes,à regarder un dimanche après-midi pluvieux sans prise de tête,effectivement l'humour est très lourd mais bon à ce moment previs tout le monde l'était...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Film opportuniste à l’humour au ras des pâquerettes. Personnages creux, ressorts téléphonés, n’en jetez plus on tient le nanard de l’année !
    Daphné.
    Daphné.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    On adore brûler ce que l’on a encensé auparavant.
    Pour ma part, je trouve que c’est un très joli film familial et bien écrit, dans l’air ( irrespirable ) du temps.
    TooFo0
    TooFo0

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Un film aussi long et pénible que le confinement. A l'exception de 2-3 passages (légèrement) drôles, c'est ne qu'une succession d'évènements clichés et attendus
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    D.Boon filme avec sincérité et bons sentiments, comme il l'a toujours fait sur ses précédents films et dont le capital sympathie pardonnait souvent ses maladresses. Ce "8 rue de l'Humanité" conforte cette pâte honnête du réalisateur, et sauve un peu ce film d'un carton rouge. Car le nouvel opus de D.Boon n'est absolument pas à la hauteur, de nos attentes certes, mais aussi car c'est un film maladroit et mal ficelé. Le scénario est une succession de saynètes comme écrites sur des post-it, propices à des notes humoristiques sur le Covid et au confinement, bouts de papier mis l'un après l'autre, pour tenter de nous raconter des histoires. Mais la guirlande d'anecdotes manque de liant, tire quelques sourires, quelques rires, mais n'excitent jamais vraiment l'électrocardiogramme de nos zygomatiques. Pire, les acteurs sur-jouent énormément, pas toujours très bien, et ce huis-clos théâtral et choral manque d'authenticité. Du coup, le final qui compte jouer sur notre empathie, face à des personnages qui manquent constamment de crédibilité et de constance, est d'une maladresse gênante que les bons sentiments de l'acteur-réalisateur ne pourront pas nous faire adhérer à sa démarche cette fois-ci. Tout n'est pas à jeter, mais le film est partiellement raté. Carton jaune.
    Kiberen
    Kiberen

    23 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2021
    Sorti à la rentrée 2021 sur le service de streaming Netflix, cette longue critique de "8 rue de l'humanité" traitera donc d'une petite comédie de la vie humaine se déroulant durant le premier confinement, dans un quasi-huit-clos prenant place dans un petit immeuble parisien proche de Bastille à Paris, sur laquelle je n'ai pas grand-chose à dire. Mais alors, pourquoi proposer une longue critique si j'ai peu de chose à dire ? Tout simplement parce que plus que de parler du film, je souhaiterais vous parler de son réalisateur, le bien connu Danny Boon.

    Aimé, conspué, moqué, les avis sont nombreux pour porter une opinion sur ce comique-acteur-réalisateur, des avis qui selon moi, trop souvent, ne cherchent pas bien loin et se base sur une opinion populaire construite sur le besoin de juger tout ce qui a du succès. N'y allons pas par quatre chemins, je pense que Danny Boon est l'un des meilleurs réalisateur de comédies de ces 15 dernières années. Pour ceux qui sont encore là et qui se demandent comment je peux argumenter une telle opinion, ne perdons pas de temps et profitons de la sortie de "8 rue de l'humanité" pour que je vous exprime mon opinion sur ce trublion plus complexe qu'on ne le pense qu'est Danny Boon.

    Parler des films que je n'aime pas de Danny Boon va s'avérer simple, puisque ce sont ses deux premiers qui sont concernés. Il est difficile dans ses débuts cinématographiques de trouver quelque chose de bien intéressant à manger, tant tout est trop timide, manque d'une ambition visible, et se contente de faire de la comédie assez classique. Certes, certains de ses thèmes comme la différence culturelle et sociale et comment tout cela s'oppose sur des apprioris en oubliant ce qui nous unit sont présents, mais difficile de trouver ça bien original dans le paysage français et ni l'émotion, ni la réalisation n'élève le tout. Si son premier film, "La maison du bonheur" adapté de sa propre pièce de théâtre recevra un accueil modeste, difficile de dire le contraire de son deuxième film, la bien connue aventure d'un employé muté dans le nord de la France qui accumulera 20 489 303 d'entrées, devenant le film français ayant fait le plus d'entrée en France de tous les temps.

    Le succès de "Bienvenue chez les ch'tis" offrira à Danny Boon une carte blanche quasi illimitée pour chacun de ses films et des budgets conséquents pour faire de la comédie française. Et selon moi, c'est ici que tout s'est joué : si Boon aurait pu partir dans la direction choisie par Phillipe de Chauveron après "qu'est ce qu'on a fait au bon Dieu", à savoir de régurgiter la même soupe insolente envers le public sans jamais faire évoluer ses films, voir en les rendant de plus en plus feignants artistiquement, eh bien coup de théâtre, ce ne fut pas le cas. Dès "Rien à déclarer", on sent l'éveil d'un réalisateur, un réalisateur généreux souhaitant montrer de réelles ambitions pour ses futurs projets en y mettant constamment du cœur à l'ouvrage. Rien de bien compliqué à expliquer, puisque cela tient en 3 points. Nous allons d'ailleurs en profiter pour aborder "8 rue de l'humanité", puisque après tout vous êtes là pour ça.

    D'abord, Boon à envie que son film soit vu, qu'il touche le grand public. La solution selon Phillipe de Chauveron serait de ne jamais proposer rien de neuf, d'enchaîner les suites et de répéter le même schéma comique usé jusqu'à l'écœurement. Boon veut faire les choses différemment, mais même quand on s'appelle Dany Boon, ce n'est pas suffisant pour s'assurer des salles pleines. Pour remédier à cela tout en proposant de nouvelles choses dans son cinéma, Boon va utiliser une stratégie que je nomme "Le Marketing Piégé". On y reviendra plus loin, mais les nouveaux films de Danny Boon vont s'amuser à mélanger la comédie populaire et le drame humain pour qu'en ressorte un équilibre. Cependant, que ce soit dans les bandes-annonces, sur les posters où dans la communication, Boon va constamment mettre en valeur l'aspect grosse comédie en récupérant les scènes les plus exagérées et tarte à la crème. Grâce à cela, il peut s'assurer auprès du grand public un bon lancement et démarrer un bouche à oreille autour de ses films. Le cas le plus marquant de cette stratégie est définitivement "Supercondriaque" : vendu comme une banale comédie autour de l'angoisse d'être malade, ce n'est qu'une fois dans la salle que le film nous révèle que le vrai sujet sera la question des migrants, avec un ressort comique de l'imposteur costumé et un troisième acte s'engageant sur le terrain du film d'action avec un foutu TANK. Vous pouvez d'ailleurs retrouver la même stratégie avec "Un peu, beaucoup, aveuglément" de Clovis Cornillac.

    Dans le cas de "8 rue de l'humanité", si en terme de posters où de communication, Netflix lui a mâché le job, la bande-annonce se révèle à nouveau un joli petit piège, ne mettant en avant principalement que François Damiens et Danny Boon, les deux personnages les plus exagérés du film. Une fois devant, on assiste au développement des autres intrigues, certaines purement comiques, d'autres plus nuancés comme celles de Diego et surtout celle de Claire, la femme du personnage de Danny Boon, interprétée par une solide Laurence Arné qui co-écrit le film avec son mari. Faites le test, regardez un film de Danny Boon puis sa bande-annonce, et vous vous rendrez compte que l'astuce, sans être révolutionnaire, est diablement efficace.

    Ce qui nous amène directement au deuxième point, à savoir l'émotion. Danny Boon prend toujours un soin particulier à développer la comédie, notamment avec beaucoup de gags très visuels, sans oublier pour autant de développer des problématiques amenant à des moments d'émotions parfois un peu niais, parfois foutrement efficaces. On n'est pas dans un dégueuli bête et méchant de comédie abrutissante, on utilise au contraire le rire pour préparer le terrain avant de faire exploser la scène émotionnelle qui attendait dans le fond. Sérieux pour un réalisateur aussi "simplet", expliquez-moi comment on se retrouve avec deux scènes dans sa filmographie impliquant un personnage en braquant un autre avec un fusil sans aucune notion de comédie dans chaque scène, simplement la tension et la peur qu'une balle s'échappe. Si Danny Boon dans le rôle de Martin est un moteur de situations comiques pour "8 rue de l'humanité", c'est pour mieux installer le burn-out progressif de sa femme (Laurence Arné) qui, déstabilisée par la situation et l'angoisse commune, se pousse progressivement vers une remise en question. Je porte le même avis sur le personnage de lourdeau de Tony (François Damiens)  et celui de Diego le concierge (Jorge Calvo). Certes, on n'est pas sur un film choral où tous les scénarios volent à la même hauteur, et certaines intrigues comme le jeune couple où le médecin sont assez tiède et convenu. Cependant, difficile de dire en finissant le film que son but était uniquement de nous faire rire bêtement. Avec son grand cœur, Boon veut nous rappeler que le confinement était l'occasion de ne plus nous isoler, d'apprendre à connaître les autres et à nous connaître nous-même, et d'apprendre que malgré nos portes d'entrées, nos immeubles, nos maisons, nous restons les membres d'une grande communauté. On appréciera où non son point de vue, bien entendu.

    Terminons enfin par mon petit plaisir personnel, à savoir la réalisation. Certes, on est loin de la symphonie accomplie d'un film de Albert Dupontel, mais difficile de nier que Danny Boon ne prend pas un certain plaisir à développer au cours de ses films sa grammaire visuelle. Entre les effets spéciaux (le plan p.o.v insecte dans "Supercondriaque" , les mouvements de caméra réels ou virtuels, le soin apporté aux décors, un film de Danny Boon c'est loin d'être désagréable à regarder, et n'importe lequel de ses films post-"bienvenue chez les ch'tis" dépasse l'ambition visuelle de la plupart des comédies françaises sortant chaque année. Pour "8 rue de l'humanité", Boon se veut cependant plus sage sans oublier de travailler son image : travaillant sur la verticalité de l'immeuble, il se paye de beaux plans grues de toute beauté, une transition invisible à travers une fenêtre, et une ouverture ainsi qu'une séquence vers la fin du film utilisant des valeurs aériennes pour rendre compte à quel point nous nous sommes retrouvé au milieu du vide. Même en intérieur, il travaille parfois l'absence et la distance pour créer une grammaire visuelle de cet événement que nous avons vécu et que nous vivons encore.

    C'est sûrement d'ailleurs ce qui l'a plus intéressé en choisissant de faire une comédie sur le confinement : face à une situation aussi inédite, il y a vu une occasion de récupérer l'inédit pour voir comment construire de l'humour et de l'émotion sur cette base vécue par le monde entier. Le résultat est certes parfois timide, parfois bancal, et l'émotion ne sera pas du goût de tout le monde. "8 rue de l'humanité" n'est pas mon meilleur Danny Boon préféré, ce n'est pas celui sur lequel j'ai le plus de choses à dire, mais il était une parfaite occasion pour moi de pouvoir écrire quelque part tout ce que je pense de la cinématographie d'un réalisateur qui, je trouve est injustement jugé. En espérant maintenant revoir Danny Boon et son prochain film à la place qu'ils méritent selon moi, à savoir sur un écran de cinéma.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    Avec un brin d’opportunisme, Dany Boon se saisit du confinement pour sa nouvelle comédie. Les gags qu’il propose ne sont en rien novateurs ou plus amusants que tout ce qui a pu être proposé par des vidéastes pendant ces quelques semaines. Mais, en se permettant une pointe mélodramatique, il nuance son propos et nous rappelle que ces jours n’avaient rien d’amusants pour de nombreuses personnes.
    BntMrx
    BntMrx

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    Très jolie ambiance rêvée, irréelle et poétique, à la Petit Nicolas. Personnages attachants. Du pur Dany Boon, tel qu'on l'aime et en redemande.
    db33s
    db33s

    11 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 octobre 2021
    Hormis le fait que le film soit exagérément long pour un scénario qui aurait pu être réglé en 80-90 minutes, le gros sentiment de frustration vient de la différence de qualité d'une scène à l'autre. Cela commence en fanfare (excellent introduction) avant de progressivement baisser de régime.
    De plus, les meilleures scènes ont toutes déjà été dévoilées dans les différentes Bande-Annonces.
    Dans un autre secteur, on appellerait cela un attrape touriste.
    Reste une toujours très agréable et juste Laurence Arné.
    On passera le rôle d'Yvan Attal passant du loufoque au grotesque.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    L'hyper hypocondriaque qui désinfecte ses chaussures après avoir été sur son balcon discute sans masque avec tous ses voisins.
    Déjà en 10mn on voit que tout ça n'a aucun sens...et rien n'est très drôle. Les pauvres acteurs embarqués là dedans seront bien loin de participer à une comédie du niveau de "Bienvenue chez les Ch'tis"...
    Seule Liliane Rovère s'en sort pas mal, mais le couple sportif/chanteuse est insupportable.
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