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    8 Rue de l'Humanité
    Note moyenne
    1,9
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    377 critiques spectateurs

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    Bon Samuel
    Bon Samuel

    6 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Encore une comédie qui ne montre rien ou dany boon fait le pitre ou se prend pour un gamin . Après c'est fait par un du nord et la bas sa vole déjà pas très haut vue la ville de fous . Un des plus gros navet depuis longtemps
    ChrisW
    ChrisW

    4 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 octobre 2021
    Ce film ma fait rire, ému et ma également gêner aussi...
    Rire, parce qu'il y a quelques vannes sympas avec un Dany Boon qui exagère énormément avec le virus mais les meilleures vannes sont dans la B.A comme beaucoup de films français aujourd'hui.
    Emu, et surtout a la fin du film avec spoiler: le décès de la concierge qui nous fait prendre conscience de la gravité de ce virus qui a déjà toucher beaucoup de monde.

    Et gêner...
    Je trouve ce film donneur de leçon, scénario pas très bon et tiré par les cheveux, qui selon moi va un peu dans tous les sens

    Sujet très intéressant mais pas assez bien exploité selon moi...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2021
    Difficile à regarder. On souffre pour des acteurs qu'on aime d'habitude (Alyson W, François D) qu'une direction sans inspiration coince dans des personnages mal composés, ayant la densité de rôles de sitcoms, devant se débrouiller avec des textes claqués de mauvaise pièce de boulevard. 10 fois j'ai voulu arrêter mais j'ai laissé sa chance au film, en espérant une fin qui rachèterait tout ce temps perdu : rien n'y a fait. Un navet.
    Lpb83
    Lpb83

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Une comédie dans la lignée de 'Un tour chez ma fille'. Svp arrêtez ces comédies indigentes qui font honte au cinéma français. Affligeant, dialogues inexistants, acteurs qui surjouent, tout est mauvais. Le sujet aurait bien mérité autre chose que ce nanar du haut du panier. Dany Boon était bien meilleur humoriste que réalisateur voire comédien. Le niveau de ses films descend d'un cran à chaque fois. Jusqu'ou va-t-il aller ? 0.5 étoile en étant bienveillant.
    Moreau Gilles
    Moreau Gilles

    15 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    J'ai mis 2 étoiles parce que j'ai malgré tout réussi à aller au bout du film, pour la prestation d'Yvan Attal qui s'est visiblement amusé, pour Liliane Rovère toujours très pro et pour ...rien d'autre, car ça ne mérite en réalité pas plus d'une étoile. Dany Boon a repris son rôle de "superconderiaque" en moins drôle, il a attribué celui , improbable, de l'avocate au QI d'huitre à sa compagne du moment Laurence Arné et François Damiens campe celui habituel du belge de service mais en pas sympa et ennuyeux. Le film complet d'ailleurs est ennuyeux et très long. Scénario plat, gags, enfin disons plutôt situations à caractère humoristique éculées, enfin bref, souhaitons que Dany retrouve vite l'inspiration!
    damien88170
    damien88170

    6 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 octobre 2021
    je viens de visionner ce film... je n'ai jamais vu un tel navet...
    sur le concept du 1er confinement en mars 2020.
    une belle brochette d'acteur mais un scénario inexistant..
    ce n'est même pas drôle..
    danyboon ne fait qu'aujourd'hui des navets.. peut-être le temps de faire de la cuisine ?
    Jules gregoire
    Jules gregoire

    5 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    8 rue de l'Humanité, réalisé par Dany Boon, est une comédie qui avait suscité de grandes attentes en raison du succès précédent du réalisateur. Cependant, malgré son potentiel prometteur, le film se révèle décevant et ne parvient pas à convaincre pleinement, ce qui justifie ma note de 2/5.

    Commençons par les points positifs du film. L'idée de base est intéressante, avec un scénario qui se concentre sur la rencontre improbable entre un jeune couple et un écrivain renommé. L'ambiance du quartier parisien et la notion de voisinage apportent une touche de charme au récit. De plus, quelques moments comiques réussissent à provoquer quelques sourires grâce à l'humour typique de Dany Boon.

    Cependant, malheureusement, les aspects négatifs du film l'emportent largement. Tout d'abord, le scénario souffre d'un manque de cohérence et de développement. Les personnages sont souvent stéréotypés et leurs motivations ne sont pas suffisamment explorées. Les enjeux dramatiques semblent artificiels et les rebondissements prévisibles, ce qui rend l'intrigue peu engageante et peu convaincante.

    De plus, le ton du film est incohérent. Il oscille entre la comédie légère et les moments dramatiques sans parvenir à trouver un équilibre satisfaisant. Les transitions entre les différents genres sont maladroites et déroutantes, ce qui nuit à la fluidité et à la cohésion globale du récit.

    Les performances des acteurs sont également inégales. Si certains parviennent à apporter une certaine crédibilité à leurs rôles, d'autres semblent surjouer et manquer de nuances. Cela rend difficile l'investissement émotionnel du public dans les personnages et leurs histoires.

    En ce qui concerne la réalisation, elle est plutôt fade et manque d'originalité. Les choix de mise en scène et les cadrages ne parviennent pas à créer une esthétique visuelle marquante. De plus, la direction artistique et les décors manquent de soin, donnant parfois l'impression d'un rendu visuel banal et peu inspiré.

    En résumé, 8 rue de l'Humanité est une comédie qui ne parvient pas à atteindre son plein potentiel. Malgré quelques idées intéressantes et moments comiques, le film souffre d'un scénario faible, de performances inégales et d'une réalisation fade. Il manque de cohérence et de conviction, ce qui rend difficile son appréciation pleine et entière. C'est pourquoi je lui attribue la note de 2/5. Pour les amateurs de Dany Boon, il s'agit d'un film mineur dans sa filmographie qui ne parvient malheureusement pas à susciter l'enthousiasme escompté.
    Philippe P
    Philippe P

    3 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Je me suis lancé à regarder le film et franchement j ai vraiment adoré le film franco-belge avec un Danny Boon encore plus marrant que d habitude et un François Damien qui revient de plus fort dans des blagues et un humour qui manquait. Un sujet délicat mais un bon moment à passer en famille. Vous ne le regretterez pas.
    Cinephile
    Cinephile

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Dany Boon essayant de faire une comédie sur le Covid, rien que l'idée soûle les gens alors le film les soûlera encore plus. Clichés de confinements (déjà tous vus) blagues Covid (idem ! #paindemie #problemos #sortien2017quandmeme ... toujours la même recette "Dany boon" avec toujours les mêmes musiques, toujours une petite séquence dramatique au milieu d'une comédie sur un sujet qui fatigue plus qu'elle ne fait rire ...
    ouadou
    ouadou

    86 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 octobre 2021
    y a plus de mots... impossible de supporter ça plus de 15 minutes. quel navet, quels acteurs en roue libre dans un décor en carton. Boon en plein clash... lamentable
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Les 5 premières minutes sont vraiment marrantes, je me suis dit que j'allais voir une bonne comédie et puis doucement, on sombre dans la nullité crasse. Pas un sourire, pas un rictus, c'est au delà du lamentable. Pourtant, super idée mais les dialogues sont pauvres, les acteurs jouent tous mal. Affligeant.
    Redzing
    Redzing

    1 147 abonnés 4 497 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2021
    J’ai eu la chance de voir « 8 rue de l’Humanité » en projection test, début 2021. Je suis sincère en parlant de chance, car c’était là l’occasion de retourner en salles, alors fermées au public depuis plusieurs mois… et qui allaient rester encore fermées un moment. Je n’ai pas apprécié le film (loin de là), d’autant plus qu’il était glauque de voir une œuvre sur le confinement entre deux confinements ! Parce que je ne pouvais pas évaluer la version test (et parce que je suis masochis…. ahem dédié à mes lecteurs), j’ai tout de même décidé d’aller au bout de cette version finale, sortie sur Netflix. Le film se déroule dans un immeuble parisien, et nous fait suivre la vie d’un groupe de voisins lors du premier confinement. Le souci de ce genre de chronique, c’est qu’il n’y a pas vraiment de fil rouge. Pour être solide, il faut dès lors s’appuyer sur des sous-intrigues intéressantes, ou des personnages forts. Et il n’y a rien de tout cela ici. Mise en scène téléfilmesque, peu ou pas d’action, et un scénario qui ne fait que reprendre des détails que tout le monde a vécu pendant le confinement (pénurie de masques, télétravail laborieux au départ, restrictions alimentaires, méconnaissance du covid, recherche de vaccins…). Et ce sans aucun effort d’écriture ou de réelle dérision. Enfin si, il y a bien quelques blagues, mais elles sont éculées (et oui, quand tout le monde a vécu la même chose, tout le monde en a déjà ri, dans son coin ou sur les réseaux sociaux !). Et la plupart des sujets ne sont qu’effleurés : par exemple le télétravail aurait pu donner lieu à des scènes cocasses, mais se retrouve limité à une seule mini-séquence. Sans compter des personnages vraiment pas attachants. Avec eux, le film tente de faire du pied à tous les publics (enfants, jeune adulte, parents…), sauf que la plupart sont de parfaites andouilles. Et il n’y a rien de drôle à voir des andouilles interagirent entre elles… surtout quand elles font un concours de cabotinage. A l’image de Danny Boon, insupportable en hypocondriaque caricatural, ou Yvan Attal, franchement gênant en savant fou à l’égo démesuré. Reste peut-être François Damiens qui donne le change. Voir tout ce joli monde pendant plus de deux heures sans histoire, c’est long, très long ! On se demande bien pourquoi au moins 30 minutes n’ont pas été coupées (les projections test, c’est censé servir à ça !). Le couple d’influenceurs ahuris, sans intérêt, aurait par exemple pu être évacué sans que cela ne nuise au « récit ». Alors dans tout cela, demeurent deux questions : pourquoi avoir fait ce film, et avec quels messages ? Sur le pourquoi, on pense à un opportunisme paresseux, surfant sur le fait que tout la monde a été confiné, et que tout le monde devrait donc connaître et rire facilement du sujet. Raté ! On pense aussi à une espèce de tentative de commémoration du confinement, avec son introduction reprenant les paroles grave d’Emmanuel Macron (oui oui, comme prévu ils nous sortent le « nous sommes en guerre » dès la première minute), jusqu’à un final tire-larme grotesque. Mais là encore c’est franchement raté, car réalisé beaucoup trop tôt et à la va-vite. Sur la question des messages, on est assez circonspect. Il faut respecter le confinement… mais faire quand même la fête avec ses voisins parce qu’ils sont sympas au fond ? Il faut respecter le travail des soignants… et écouter quand même les tarés car ils peuvent aussi résoudre des problèmes ? On remarque aussi l’aspect immédiatement daté du scénario, qui n’a pas anticipé le mouvement anti-vaccin en France, et aurait pu facilement l’intégrer… « 8 rue de l’Humanité » est donc un joli plantage paresseux, une comédie dramatique ni drôle ni dramatique, datée dès sa sortie.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    L'hyper hypocondriaque qui désinfecte ses chaussures après avoir été sur son balcon discute sans masque avec tous ses voisins.
    Déjà en 10mn on voit que tout ça n'a aucun sens...et rien n'est très drôle. Les pauvres acteurs embarqués là dedans seront bien loin de participer à une comédie du niveau de "Bienvenue chez les Ch'tis"...
    Seule Liliane Rovère s'en sort pas mal, mais le couple sportif/chanteuse est insupportable.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    D.Boon filme avec sincérité et bons sentiments, comme il l'a toujours fait sur ses précédents films et dont le capital sympathie pardonnait souvent ses maladresses. Ce "8 rue de l'Humanité" conforte cette pâte honnête du réalisateur, et sauve un peu ce film d'un carton rouge. Car le nouvel opus de D.Boon n'est absolument pas à la hauteur, de nos attentes certes, mais aussi car c'est un film maladroit et mal ficelé. Le scénario est une succession de saynètes comme écrites sur des post-it, propices à des notes humoristiques sur le Covid et au confinement, bouts de papier mis l'un après l'autre, pour tenter de nous raconter des histoires. Mais la guirlande d'anecdotes manque de liant, tire quelques sourires, quelques rires, mais n'excitent jamais vraiment l'électrocardiogramme de nos zygomatiques. Pire, les acteurs sur-jouent énormément, pas toujours très bien, et ce huis-clos théâtral et choral manque d'authenticité. Du coup, le final qui compte jouer sur notre empathie, face à des personnages qui manquent constamment de crédibilité et de constance, est d'une maladresse gênante que les bons sentiments de l'acteur-réalisateur ne pourront pas nous faire adhérer à sa démarche cette fois-ci. Tout n'est pas à jeter, mais le film est partiellement raté. Carton jaune.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2021
    La façon qu’a Dany Boon de raccorder des individus séparés et en conflit les uns avec les autres, de relier telle une rue huit personnes à leur humanité profonde – d’où le titre du film, 8 rue de l’Humanité – finit par emporter l’adhésion, et ce malgré les longueurs et la lourdeur de certains dispositifs comiques. Nous retrouvons d’ailleurs une construction narrative similaire à celle de ses précédents longs métrages : des cellules en crise qui tirent de l’effort qu’elles font pour composer les unes avec les autres un remède à la morosité ambiante et aux difficultés du quotidien.

    Le vaccin recherché par les scientifiques et par le professeur Frankenstein de la cour – que campe un Yvan Attal frapadingue on ne peut plus délectable – devient aussitôt la métaphore d’un art de vivre ensemble capable de sauver des vies et de les améliorer. Il va de soi que la clausule, par ailleurs magnifique, en laissera plus d’un sur le banc de touche en raison des bons sentiments qui s’expriment sans retenue, qui débordent des appartements et envahissent l’écran sous la forme d’une ébauche de comédie musicale à peine entonnée, mais qui suffit à nous emporter. Ce cœur projeté par la fenêtre improvisée de la cabane en cartons et qui s’anime en suivant le mouvement de la lampe sur le point de s’éteindre, les jeux de lumières et d’ombres qui le prolongent un temps prouvent que la magie véritable naît de pas grand-chose, d’une simplicité permise justement par la crise sanitaire en ce qu’elle rappelle la fragilité congénitale de l’homme et dépouille ce dernier de ses apparats.

    L’intérêt du film réside également dans l’éclatement de sa structure en petites saynètes qui interagissent les unes avec les autres et se répondent comme les voix et les bruits résonnent dans une cour d’immeuble et montent jusqu’au ciel. Boon emprunte ici un format qui correspond aux programmes sériels diffusés en soirée et regardés par des millions de téléspectateurs, il pense sa mise en scène comme mimétique desdits programmes, sans jugement ni critique, il se met au diapason du confinement, opère un repli esthétique qui ne saurait cependant atteindre la virtuosité des grands cinéastes – pensons par exemple à la gestion de l’espace clos de l’appartement dans Sans Témoins (1983) de Nikita Mikhalkov.

    Car l’intelligence du propos et la qualité du scénario ne suffisent pas à rattraper répétitions et ventre mou qui étirent inutilement ce conte à la fois ancré dans une époque et hors du temps courant – un temps suspendu par le confinement – qui vaut davantage comme mélodrame teinté d’humour que comme comédie.
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