Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Entre légèreté et gravité, Liza Diaz ne tranche pas, nuance son regard sur tous les personnages, d’une belle humanité. Malgré quelques maladresses, la mise en scène, enveloppante et douce, parvient à faire corps avec le récit.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Saisie à hauteur d’enfant, la politique prend des airs de poésie et emprunte des chemins romanesques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
par É. S.
Pour son premier long-métrage, Lisa Diaz traite un sujet original à hauteur d'enfant. Au risque de l'édulcorer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Autour de la jeune Azou Gardahaut Petiteau, solaire dans le rôle de Garance, Lætitia Dosch, Grégory Montel et Lolita Chammah sont impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Premier film au sujet passionnant, Libre Garance ! n’arrive pas totalement à tenir ses ambitions, à cause d’un deuxième acte peu convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est un récit d’apprentissage sans surprise, mais particulièrement touchant, que propose Lisa Diaz dans son premier long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Chronique naturaliste, drame à hauteur d’enfants ou conte sur l’héritage politique qu’on laisse aux jeunes générations ? Allez savoir : le premier film de Lisa Diaz n’embrasse aucune de ces trois pistes et ne suscite pas le moindre intérêt. On s’ennuie ferme. Reste le naturel des gamins et de sa jeune actrice Azou Gardahaut Petiteau, très Charlotte Gainsbourg dans « l’Effrontée ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit solaire mais maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Mais en voulant parler en 96 minutes d’engagement politique, des rapports amoureux d’un couple où chacun s’est engagé à laisser de la liberté à l’autre tout en suivant la sortie de l’enfance de leur fille de 11 ans, la cinéaste reste hélas trop à la surface des choses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Entre légèreté et gravité, Liza Diaz ne tranche pas, nuance son regard sur tous les personnages, d’une belle humanité. Malgré quelques maladresses, la mise en scène, enveloppante et douce, parvient à faire corps avec le récit.
Le Monde
Saisie à hauteur d’enfant, la politique prend des airs de poésie et emprunte des chemins romanesques.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Lisa Diaz traite un sujet original à hauteur d'enfant. Au risque de l'édulcorer.
Le Parisien
Autour de la jeune Azou Gardahaut Petiteau, solaire dans le rôle de Garance, Lætitia Dosch, Grégory Montel et Lolita Chammah sont impeccables.
Les Fiches du Cinéma
Premier film au sujet passionnant, Libre Garance ! n’arrive pas totalement à tenir ses ambitions, à cause d’un deuxième acte peu convaincant.
Télérama
C’est un récit d’apprentissage sans surprise, mais particulièrement touchant, que propose Lisa Diaz dans son premier long métrage.
L'Obs
Chronique naturaliste, drame à hauteur d’enfants ou conte sur l’héritage politique qu’on laisse aux jeunes générations ? Allez savoir : le premier film de Lisa Diaz n’embrasse aucune de ces trois pistes et ne suscite pas le moindre intérêt. On s’ennuie ferme. Reste le naturel des gamins et de sa jeune actrice Azou Gardahaut Petiteau, très Charlotte Gainsbourg dans « l’Effrontée ».
Le Journal du Dimanche
Un récit solaire mais maladroit.
Première
Mais en voulant parler en 96 minutes d’engagement politique, des rapports amoureux d’un couple où chacun s’est engagé à laisser de la liberté à l’autre tout en suivant la sortie de l’enfance de leur fille de 11 ans, la cinéaste reste hélas trop à la surface des choses.