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Man 74
1 abonné
10 critiques
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2,5
Publiée le 6 février 2023
Aimant la montagne et connaissant l'arrête de l aiguille du midi, j'ai aimé les images mais je nesais pas trop ou veut en venir le scénariste avec des dialogues si courts et un peu de science fiction ! La montagne est vivante mais elle fond ?? L'amour vous surprend a chaque instant ?? ( J'ai toujours aimé Louise BOURGOIN;-)
La bande annonce était prometteuse, les critiques dithyrambiques nous ont vraiment tenté pour aller voir ce film.... quelle déception ! Apparemment les critiques presses n'ont pas vu le même film, pas de scénario, pas de dialogue, l'acteur principal qui est le réalisateur est très mauvais, les images de montagne ne sont même pas bien filmées, la parenthèse sur des "choses" lumineuses dure très longtemps, nous avons failli sortir plusieurs fois...mais nous espérions.....mais rien même la fin rien le vide
Là encore ce film m'a laissé sans voix. Déjà c'est un film pour les "taiseux". Sur presque 2H ( 1H52) de film, les dialogues tiennent en 7mn et 45 secondes...Le reste du temps il n'y a rien. Le scénario du film tient en deux lignes : Pierre un ingénieur parisien se sent IRRESISTIBLEMENT attiré par les grandes hauteurs : pourquoi pas ? Cela aurait pu donner à un film d'introspection et à des commentaires sur ce que Pierre ressent face à la Montagne. Rien de tout ça ! Ici il décide de camper dans des zones d'éboulis rocheux, sans que les gendarmes, les guides de montagne ne trouvent rien à dire ! De plus il y a de l'incohérence dans ce film, Pierre super ingénieur parisien se lance dans des escalades de NUIT en pleine montagne ! Ben voyons ! Même Haroun Tazieff doit se retourner dans sa tombe ! Au passage, belle pub pour les magasins au Vieux campeur, les marques Millet et autres ! J'ai beaucoup de mal à comprendre les critiques dythirambiques sur ce film "écolo", poétique et fantastique...Mais bon tous les goûts sont dans la mature ! A certains moments j'ai failli m'endormir
Pas de scénario, pas d'intention, pas de dialogue (ou si pauvre), pas d'acteur et pas de direction d'acteurs. Des effets spéciaux dignes d'un stagiaire de troisième. Restent quelques jolies photos de montagne, et encore. L'occasion de mesurer, s'il en était besoin, le gouffre qui sépare la presse du spectateur...
Incontournable à mon avis, un film d'une grande beauté. La grandiosité des paysages bien sur, mais aussi l'aspect spirituel. Une tres belle surprise au cinema.
Je ne le recommande pas à ceux qui ont les pieds sur terre... Vues imprenables mais histoire très décevante et on appelle ça une romance... Pfff J'ai vraiment l'impression d'avoir perdu mon temps et mon argent en plus...
Au lieu d’un film, j’en ’ai vu deux. D’abord « l’immersion » de ce type pas très bavard dans l’univers de la montagne.La lumière qui tombe, les bruits, le raclement de la cuiller dans la gamelle, on y est …Il arpente ce bout de montagne , souffle, tombe, repart. Les images sont magnifiques. Une jeune femme le rattache au monde, fait le lien entre le monde d’en haut et le monde d’en bas. Puis Pierre fait la découverte d’un phénomène bizarre et le film vire au fantastique et dans la dernière demi heure, un deuxième film commence.Et je finis par décrocher. C’est comme si le réalisateur avait eu cette très belle idée (que je ne veux pas divulguer) et qu’il n’avait pas bien trouvé quoi en faire… Pour moi, la magie était dans la première partie :dans la salle, pourtant chauffée, j’ai remis mon anorak!
Ai vu "La Montagne" film de Vincent Salvador. Pierre travaille dans une entreprise de robotique et lors d'un séminaire à Chamonix, il se sent attiré irrépressiblement par la Montagne. Il suit cet appel, son instinct... refuse de rentrer à Paris, achète tout le matériel nécessaire et va à l'assaut des glaciers, des pics et de lui-même. Film exigeant, mutique, onirique alliant le fantastique et le documentaire, "La montagne" fait très bien ressentir le vertige et l'ivresse ressentis face à la démesure des paysages alpins. La photographie est magnifique, la bande son et la musique excellentes. Vincent Salvador joue lui même le rôle de Pierre, mais on pourrait très vite se demander si Pierre est réellement un personnage où uniquement un prétexte tant il y a peu de psychologie dans ce long métrage qui ne doit comporter qu'une cinquantaine de réplique. L'on croise furtivement la mère et le frère de Pierre lors d'un déjeuner. La scène est l'une des moins bien écrite du film, bizarre d'avoir l'immense Martine Chevallier de la Comédie Française pour lui faire faire si peu. Puis Pierre rencontrera la cheffe du restaurant de l'Aiguille du Midi, interprétée par Louise Bourgoin. Assurément c'est dans la "fiction" qu'est le moins à l'aise Vincent Salvador dans ce projet où la puissante Montagne vampirise tout. Le spectateur est sidéré tout comme le personnage principal devant ce décor fantastique, mais il frise l'hypothermie devant tant de froideur dans le fond. 2 heures sont assurément trop longues pour ce scénario. Vincent Salvador réalisateur se complet dans la perdition de son personnage face aux lueurs nocturnes inexplicables dans les gouffres, et c'est le spectateur qui se détache petit à petit de la cordée à force de répétitions et d'une bluette un peu facile qui ne tombe pas à pic. Magnifique formellement et un peu décevant dans le fond.
J'ai trouvé ce film très lent, mais d'une mauvaise lenteur, et pas tres bien joué. En plus la parabole de la montagne est vraiment tordue et je n'ai pas compris où il voulait en venir.
Pierre est ingénieur à Paris. Durant une réunion au pied des Alpes, il est tout à coup viscéralement attiré par les montagnes aux alentours et décide de se faire porter pâle pour partir bivouaquer en altitude. Sa vie tout juste chamboulée va encore prendre un autre virage lorsque de drôles de lueurs sous la neige vont faire leur apparition lors de ses randonnées en haute montagne... Pendant plus d'une heure, le film nous propose une histoire assez sympathique et fraîche d'un homme prêt à tout plaquer pour aller vivre au plus proche de ce que la nature nous offre de plus culminant. Une fois ce fantasme assumé et consommé, ce drame bascule dans un univers fantastique plutôt déroutant, sans relation aucune avec toute la première partie. J'ai aimé les comédiens : Thomas Salvador (acteur et réalisateur) et Louise Bourgoin, j'ai également adoré les images alpines sublimes, ainsi que l'ambiance feutrée et calme des cimes enneigées. Par contre, je suis resté perplexe et troublé avec ce final abordant un thème à la fois féerique et bizarre, sans forcément d'ailleurs apporter de potentielles explications. Voilà une oeuvre qui m'a soufflé le chaud puis le froid : les fans de surnaturel seront frustrés je pense, les adorateurs de grands espaces seront comblés. Je ressors de ce long-métrage complètement mitigé : une expérience à tenter (ou pas). Site CINEMADOURG.free.fr
Hellas 3 fois hélas. De belles images pour un scénario prétentieux. Que dire de ce personnage en manque d'empathie, bobo parisien , un béotien qui dévalise le vieux campeur avec des états d'âme bien obscurs. La 2e partie sous forme de parabole s'oriente sur une voie fantastique...une fable neo-ecologique branchée. C'est long , très long ,même si on ne peut s'empêcher d'avoir une certaine admiration pour la mise en scène.
Ça parle pas beaucoup. Ça va pas très vite. Mais il y a un je-ne-sais-quoi qui fascine et retient beaucoup l’attention. Comme si on comprenait, ressentait et transposait l’appel de la montagne pour le protagoniste du film. C’est sûrement aussi les très belles images de l’Aiguille du Midi et de ses environs qui aident pour beaucoup. Et puis à un moment, donné, ça part complètement en vrille. Je n’étais pas du tout prêt. J’étais un peu décontenancé. Ce qui est sûrement l’envie du réalisateur.
Plutot nul, deux histoires en un seul film, la première etant platonique sans débouché, la deuxième etant un melange de spiderman, d'un cours de svt et d'un délire psychédélique sous lsd.