Pas bavard, ce film.. de belles scènes dans le massif du Mt Blanc, un héros solitaire se confronte à la montagne, il est comme aspiré par elle. Jusqu’à tourner fantastique. Donc laisser sa raison carrée au vestiaire. Survient enfin la femme rédemptrice et nourricière. Lent et contemplatif, reposant et frais comme un séjour en altitude.
Un film fantastique...au sens propre et figuré ! J'ai adoré le tandem Thomas Salvador Louise Bourgoin. Un film rare, avec beaucoup d'audace, à voir absolument au cinéma pour en prendre plein la vue !
agréable et original. tout fonctionne à merveille. un bon moment. Louise Bourgoin d'une superbe délicatesse et d'une justesse parfaite. elle contribue énormément à ma note
Je vais faire court car pourquoi perdre du temps avec un film de série C. Je cois que ça n'existe pas mais ça vaudrait la peine de la crée. Je ne me souviens plus du dernier navet que j'ai vu car ca fait si longtemps. J'ai failli sortir plusieurs fois mais j'ai résisté pensant à tord qu'il y allé avoir une explication mais NON. Pareille pour les acteur, je ne me souviens pas d'avoir vu un premier rôle aussi mauvais. J'allais dire qu'il avait été peut être mal dirigé mais c'est lui le réalisateur. Il faut absolument que Thomas Salvador change de métier et soit comptable par exemple, il devrait faire moins de dégâts. Quant à Louise Bourgoin que j'avais découvert dans la série Hippocrate et que j'avais beaucoup aimé, elle est d'une platitude monstrueuse avec son air béta. Enfin, que vous arrive t-il, je parle de la critique presse de Criticat.com avec laquelle je partage 95% ??? Désolé, je pensais faire court mais impossible. NB : quelqu'un peut m'indiquer comment on met zéro étoile car une demi c'est déjà trop ?
Proposition intéressante pour ce film au rythme contemplatif mais qui intrigue. J’aime bien le personnage discret , mystérieux sans vouloir l’être. En pleine introspection il se laisse happer par la beauté et le mystère de la montagne. On est loin du blockbuster mais malgré peut être un début légèrement lent on est pris par le rythme inhabituel imposé par le réalisateur-acteur et le plaisir s’installe entre les interstices de la curiosité. Au final un plaisir calme et intriguant qui a su me prendre et j’en suis ravi.
Lamentable navet, aussi ridicule que prétentieux, et d'un ennui à faire piquer du nez un insomniaque. Mais après tout, ce sont les risques du métier (de spectateur). Je m'inquiète juste pour les critiques. Qu'a-t-il bien pu leur arriver ? Une seule explication : les Grosses Limaces rouges. Au secours ! Elles ont traversé l'écran, elles sont parmi nous !
Très long. Mal filmé, mal joué, ennuyeux, même les images de montagnes sont médiocres. J'ai vraiment regretté mon choix de film et pourtant j'aime la montagne..
Tout est en discrétion, en pudeur, en simplicité, en délicatesse. Cependant les message passent....sans forcer mais en confrontant le spectateur à la tentation de l'ennui et à sa capacité de contemplation. Invitation au dépouillement de l'ego qui paradoxalement prend source dans ce qui pourrait passer pour un caprice ou une folie Invitation à développer notre aptitude à prendre en compte l'intériorité de l'autre...à l'aborder comme une île à explorer. Invitation à ne pas sombrer dans le désespoir face au désastre écologique... Invitation à une sexualité qui conjugue l'érotisme le plus torride avec une spiritualité magnifique...la scène d'amour est sublime. Invitation à renouer avec la nature dans un rapport charnel et spirituel...l'immersion dans le ventre de la montagne fait penser au rapport du vendredi de Michel Tournier avec son île. Pour respecter la pudeur et la délicatesse de l'auteur ,je ne devrais pas commenter ce film qu'il faut absolument aller voir. J'en suis ressorti sonné...apaisé et avec un gout de l'autre plus important....plus bienveillant. Merci pour ce cadeau et à ces. acteurs
J'avais adoré Vincent n'a pas d'écailles, son film précédent, que je vous recommande. J'ai été emportée par La Montagne, vers d'autres endroits, preuve que le réalisateur Thomas Salvador sait se renouveler. Le film s'étire un peu, mais on est subjugués par ses plans et son amour de la montagne. L'aspect fantastique du film est justement dosé, très beau, et apporte une belle envolée lyrique au film.
Je suis désolée de cette note et de cette critique mais qu'est-ce que je me suis ennuyée pendant ce film ! Il ne se passe absolument rien et les quelques scènes avec du dialogue et des interactions sont caricaturales et mal jouées... Je n'ai pas ressenti une seule fois "l'amour de la montagne". Et je ne parle même pas du côté "fantastique"... qui s'écroule comme des pierres sur Pierre... c'est trop !
Après le formidable Thomas n'a pas d'écailles, il me tardait de découvrir le nouveau film de Thomas Salvador. L'expérience est là encore intrigante et réussie. Comme pour son précédent, le récit se construit à nouveau à la frontière, sur la faille, entre réalisme et surnaturel. Thomas en cachette et en maillot de bain devenait un super héros, Pierre en solitaire découvrira le mystère de la montagne et la raison métaphorique de son prénom. J'ai donc passé à nouveau une séance de cinéma à ne pas en revenir de l'habilité, du calme avec lesquels le réalisateur fait glisser ses séquences entre ces univers. Il ajoute là aussi une histoire d'amour intense quoiqu'elliptique (Louis Bourgois donne envie d'atteindre les sommets). Malgré tout, la fraicheur de Vincent la dimension délicatement burlesque me parait rétrospectivement plus touchante que La Montagne dont le propos, plus massif (;-) rend la fable un peu trop surlignée. Mais enfin quel plaisir de voir un film qui fait vivre une expérience en vrai, je veux dire que surprend, qui vous attrape, qui vous propose du nouveau et de l'audace.
Film qui ne va au bout de rien et donc d'une réelle prétention sans génie. Le réalisateur, par manque de maitrise et d'humilité, n'explique rien et ne nous fait poser aucune question alors que le sujet aurait pu être intéressant. Images bien moyennes avec une B.O. également sans hauteur...